Ne pas être qu'un "patient" ...

Deux cuites et une mémoire qui flanche !!!

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°63

Alors que le phéno­mène des bitures express (binge drin­king) s’in­ten­si­fie en Europe et notam­ment en France, c’est un résul­tat inquié­tant que livre l’équipe des profes­seurs Olivier Pier­re­fiche et Mickaël Naas­sila (Inserm, groupe de recherche sur l’al­cool et les phar­ma­co­dé­pen­dances, univer­sité de Picar­die). Chez des rats adoles­cents, deux épisodes rappro­chés de binge drin­king suffisent à pertur­ber dura­ble­ment les proces­sus d’ap­pren­tis­sage et de mémo­ri­sa­tion, concluent leurs travaux, parus le 6 août dans la revue Inter­na­tio­nal Jour­nal of Neuropsychoparmacology.

Cette étude s’in­tègre dans le projet euro­péen Alco­Binge, qui réunit des cher­cheurs fran­çais et britan­niques pour explo­rer la théma­tique du binge drin­king dans une popu­la­tion étudiante et avec des modèles animaux. En quelques années, le sujet est devenu une affaire de santé publique. En France, parmi les 18 – 25 ans, la propor­tion de personnes ayant connu une ivresse dans l’an­née est passée de 33% à 46%, entre 2005 et 2014, selon le baro­mètre santé de l’Institut natio­nal de préven­tion et l’édu­ca­tion pour la santé (Inpes).

« Quand nous venons parler des méfaits de l’al­cool en milieu scolaire, les jeunes nous rétorquent souvent qu’une cuite par-​ci par-​là, ce n’est pas dange­reux. D’où l’idée de déter­mi­ner quels sont les seuils, en fréquence et en dose, qui peuvent induire des troubles de la mémoire » raconte Mickaël Naas­sila. Une recherche d’au­tant plus justi­fiée qu’un épisode de black-​out total n’est pas excep­tion­nel dans les jours qui suivent un binge drin­king. « Selon une de nos enquêtes effec­tuées auprès d’étu­diants en méde­cine, envi­ron un sur deux recon­naît avoir eu des pertes de mémoire après une alcoo­li­sa­tion aiguë » ajoute le spécialiste.

Les cher­cheurs d’Amiens ont sélec­tionné des rats âgés d’une cinquan­taine de jours, l’ado­les­cence s’éta­lant, chez ce rongeur, du 30e au 60e jour de vie. Une forte dose d’éthanol leur a été injec­tée pour provo­quer une ascen­sion rapide de l’alcoolémie jusqu’à envi­ron 2g/​l, niveau auquel les jeunes humains se retrouvent volon­tiers aux urgences.

Plas­ti­cité synaptique :
L’administration de cette dose a été répé­tée neuf heures plus tard chez une partie d’entre eux pour repro­duire une deuxième ivresse aiguë, proche dans le temps. Dans les 48 heures suivantes, Mickaël Naas­sila et ses collègues ont évalué les fonc­tions d’ap­pren­tis­sage avec un test « de recon­nais­sance » d’un nouvel objet. Ils ont aussi exploré le méca­nisme à la base de la mémo­ri­sa­tion : la plas­ti­cité synap­tique. Pour cela, ils ont mesuré, sur des tranches de cerveau, l’ac­ti­vité élec­trique au niveau de l’hip­po­campe, une zone céré­brale impli­quée dans les proces­sus de mémorisation.

Les résul­tats sont sans appel. Après une ivresse, la plas­ti­cité synap­tique des rats est conser­vée. Mais deux alcoo­li­sa­tions rappro­chées entraînent une nette pertur­ba­tion de la mémo­ri­sa­tion pendant 48 heures, avec un retour vers la normale au 8ième jour. La plas­ti­cité synap­tique est égale­ment alté­rée. « L’apprentissage et le stockage de nouvelles infor­ma­tions se font par des modi­fi­ca­tions de l’ef­fi­ca­cité de la trans­mis­sion entre neurones. La plas­ti­cité synap­tique à long terme, qui peut être soit augmen­tée : poten­tia­li­sa­tion à long terme (PLT); soit dimi­nuée : dépres­sion à long terme (DLT), détaille Mickaël Naas­sila. On savait déjà que l’al­cool perturbe la PLT, nous avons montré que la DLT est beau­coup plus sensible car complè­te­ment abolie, ce qui n’était pas connu. »

Les cher­cheurs ont, par ailleurs, établi que les effets délé­tères de l’al­cool sur la mémoire passent par le gluta­mate, un neuro­trans­met­teur, et son récep­teur NMDA, ce toxique entraî­nant une modi­fi­ca­tion d’une sous-​unité de ce récep­teur. Chez ces animaux de labo­ra­toire, les effets amné­siants de l’al­cool ont pu être préve­nus par l’ad­mi­nis­tra­tion au préa­lable de D‑sérine, une molé­cule aux proprié­tés promné­siantes (qui favo­rise la mémoire) Inver­se­ment, une injec­tion de kéta­mine, un anes­thé­sique bloquant le récep­teur NMDA, a eu des effets compa­rables à ceux de l’alcool.

La prochaine fois que l’équipe de Naas­sila ira faire de la préven­tion dans les écoles, elle saura quoi répondre aux élèves qui croient encore que les ivresses occa­sion­nelles sont sans conséquences.

Article de Sandrine Cabut du Monde,

Le cerveau en surchauffe ?

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°63

Les symp­tômes de la Mala­die de Parkin­son seraient liés à une « surchauffe » de certains neurones jouant un rôle précis dans le contrôle du mouve­ment, selon une étude cana­dienne parue dans Current Biology.

« Comme un moteur qui tour­ne­rait trop vite, ces neurones doivent produire beau­coup d’éner­gie pour fonc­tion­ner. Ils s’épuisent et meurent préma­tu­ré­ment » explique Louis-​Eric Trudeau, profes­seur à l’uni­ver­sité de Mont­réal, respon­sable des travaux publiés. Plus préci­sé­ment, ce sont les mito­chon­dries (petites struc­tures cellu­laires) qui, trop solli­ci­tées, ne fonc­tionnent plus correc­te­ment et provoquent la mort cellulaire.

Des neurones trop gour­mands en énergie.
Selon les obser­va­tions faites chez la souris, cette surchauffe est circons­crite à des régions spéci­fiques du cerveau comme la substance noire (locus niger), le locus coeru­leus et le noyau dorsal du nerf vague. En se concen­trant sur ces zones, les scien­ti­fiques ont décou­vert que le « burnout des mito­chon­dries » est dû à des neurones très complexes connec­tées à plusieurs autres neurones et formant un nombre impor­tant de synapses (connexions).

Or, ces multiples échanges entre neurones néces­sitent une produc­tion d’éner­gie impor­tante car la libé­ra­tion des neuro­trans­met­teurs, comme la dopa­mine, est gour­mande en éner­gie. Une surpro­duc­tion qui mène­rait à une usure préma­tu­rée de ces neurones. Un dysfonc­tion­ne­ment qui découle d’une certaine façon de l’al­lon­ge­ment de l’es­pé­rance de vie.

« D’un point de vue évolu­tif, certains de nos neurones ne sont pas program­més pour durer 80, 90 et même 100 ans comme on le voit de plus en plus. Il faut s’at­tendre à ce qu’une partie du système subisse plus diffi­ci­le­ment les outrages du temps », souligne Louis-​Eric Trudeau. Et cela vaut pour l’en­semble des mala­dies neurodégénératives.

Mieux comprendre la pathologie.
Par ailleurs, ces travaux permet­traient de faire évoluer les modèles animaux sur lesquels travaillent les scien­ti­fiques. « Pour une ques­tion obscure, les labo­ra­toires spécia­li­sés ne parviennent pas à repro­duire chez la souris les symp­tômes de la M.P., même en recou­rant à la trans­gé­nèse pour mimer les muta­tions retrou­vées chez l’hu­main dans les formes fami­liales de cette mala­die. Notre décou­verte pour­rait permettre à court terme de propo­ser des lignées mieux adap­tées à la recherche », explique Louis-​Eric Trudeau.

Cette décou­verte ouvre de nouvelles pistes de recherches. Le cher­cheur cana­dien évoque par exemple le déve­lop­pe­ment de médi­ca­ments capables de limi­ter la consom­ma­tion d’éner­gie ou d’ai­der les neurones en cause à produire de l’éner­gie plus efficacement.

Article publié le 30/​08/​15 dans Actu Santé par P. Berna­nose

La nicotinothérapie présentée le 8 octobre 2015 à Plestin les Grèves par le Dr Villafane

La nico­ti­no­thé­ra­pie présen­tée le 8 octobre 2015 

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°63

Une autre Alter­na­tive Théra­peu­tique pour la mala­die de Parkin­son Depuis plusieurs années, la Nico­tine a été un motif de contro­verse dans le trai­te­ment des mala­dies neuro­lo­giques et psychia­triques. La mala­die de Parkin­son a été le prin­ci­pal prota­go­niste de cette contro­verse. Effec­ti­ve­ment, des auteurs ont publié sur les effets néga­tifs et d’autres sur les effets béné­fiques de la Nico­tine pour la mala­die de Parkinson.

Depuis 1998, on a constaté qu’à hautes doses et pendant une longue période (plus de 8 mois de trai­te­ment) les effets de la nico­ti­no­thé­ra­pie par la voie trans­der­male ont montré une bonne tolé­rance et des effets béné­fiques sur le plan moteur, végé­ta­tif et au niveau des troubles de la mémoire chez les parkin­so­niens. Récem­ment une étude a montré chez plusieurs patients la rémis­sion de la globa­lité des symp­tômes prin­ci­pa­le­ment moteurs, les dysto­nies, les dyski­né­sies et les trem­ble­ments. Les effets indé­si­rables de la nico­ti­no­thé­ra­pie sont faci­le­ment suppor­tés par les patients grâce à la bonne tolé­rance de la molé­cule et à leur facile correction.

La Nico­tine trans­der­male nous fait penser qu’elle peut deve­nir un médi­ca­ment pour la mala­die de Parkin­son. En effet, elle présente diffé­rents avantages :

  • trai­te­ment médi­cal et donc non chirur­gi­cal (non. invasif);
  • mode d’ad­mi­nis­tra­tion simple (patchs);
  • accès rapide au noyau nigros­tria­tal en traver­sant la barrière hémato-​encéphalique sans contrainte ;
  • libé­ra­tion rapide et prolon­gée dans le taux sanguin en garan­tis­sant une bonne impré­gna­tion dans les noyaux gris centraux et par consé­quent une stimu­la­tion de la dopa­mine et une neuro­trans­mis­sion semblent être assu­rées au niveau des récep­teurs dopa­mi­ner­giques pour la mala­die de Parkin­son et une stimu­la­tion de l’acé­tyl­cho­line pour la mala­die d’Alz­hei­mer et autres démences (entre autres : démence à Corps de Loewy, ou Parkin­son démence) par le récep­teur de l’acé­tyl­cho­line par le biais de récep­teurs nicotiniques.

Il faut distin­guer clai­re­ment les effets dange­reux de la ciga­rette dus à des produits comme les monoxydes de carbone, les goudrons et beau­coup d’autres substances nocives mélan­gés à la nico­tine, ET LA NICOTINE A L’ÉTAT PUR, laquelle n’est pas dange­reuse. Même le fait qu’elle entraîne une dépen­dance est aujourd’­hui remis en ques­tion. Dans l’in­té­rêt des patients atteints de la mala­die de Parkin­son, Alzhei­mer et autres mala­dies neuro­dé­gé­né­ra­tives, il est donc impé­ra­tif que l’in­for­ma­tion soit trans­mise le plus clai­re­ment et le plus rapi­de­ment possible par les méde­cins, infir­mières, groupes hospi­ta­liers, person­nels soignants, labo­ra­toires phar­ma­ceu­tiques et médias. 

Actuel­le­ment l’opi­nion publique a bien compris l’im­por­tance d’ar­rê­ter de fumer mais elle ne sait pas que la nico­ti­no­thé­ra­pie trans­der­male à l’état pur n’a rien à voir avec la ciga­rette et ses compo­sants, ni avec les mala­dies liées direc­te­ment au taba­gisme. En effet la nico­tine à l´état pur est un alca­loïde ressem­blant à d’autres médi­ca­ments qui sont donnés depuis long­temps dans les décom­pen­sa­tions cardiaques par exemple, et d’autres types de mala­dies. Effec­ti­ve­ment le prin­cipe actif de la nico­tine est obtenu à partir de la feuille du tabac (comme certains médi­ca­ments sont obte­nus à partir des végé­taux, par exemple la dioxine, la morphine, la caféine, et autres). 

Mode d’action de la nico­tine et de ses dérivés :
La nico­tine est un neuro­mo­du­la­teur des neurones du système nerveux central. Un neuro­trans­met­teur qui inter­vient au niveau de la synapse neuro­nale, des récep­teurs de la dopa­mine dans le cas de la mala­die de Parkin­son et de l’acé­tyl­cho­line dans le cas de la mala­die d’Alzheimer. 

Elle agit comme un agoniste dopa­mi­ner­gique indi­rect en multi­pliant le nombre de récep­teurs nico­ti­niques et en ouvrant les canaux des neurones permet­tant ainsi une meilleure trans­mis­sion dopa­mi­ner­gique entre neurones du système nigros­tria­tal. Un facteur neuro­tro­phique est sécrété à partir de l’ad­mi­nis­tra­tion de la nico­tine, donc la neuro­pro­tec­tion semble être assu­rée. De là, les obser­va­tions cliniques et d’ima­ge­rie (DAT-​Scan) montrent que la mala­die a un ralen­tis­se­ment voire un arrêt de son évolu­tion à partir de cette administration.

La nico­tine est un anti­stress oxyda­tif très puis­sant c’est-​à-​dire un anti­vieillis­se­ment cellu­laire. Après l’étude pilote réali­sée auprès des patients parkin­so­niens sous nico­ti­no­thé­ra­pie trans­der­male à hautes doses et à long terme, et avec la parti­ci­pa­tion des angio­logues, cardio­logues, phar­ma­co­logues, on a observé sous laser que les capil­laires des vais­seaux des petites et moyennes artères ont une vaso­di­la­ta­tion très impor­tante, ce qui implique une meilleure irri­ga­tion de tous les tissus du corps comme par exemple la peau, et bien entendu une amélio­ra­tion de la micro­cir­cu­la­tion au niveau des artères céré­brales et des autres organes qui dépendent des petites artères. On a constaté une dimi­nu­tion de la tension arté­rielle maxi­male à partir de la prise de nico­tine trans­der­male à doses moyen­ne­ment hautes. Ce qui signi­fie que pour les patients parkin­so­niens qui souffrent d’hy­per­ten­sion, l’in­di­ca­tion de nico­ti­no­thé­ra­pie est la plus adéquate. Pour les patients parkin­so­niens qui souffrent d’hy­po­ten­sion ortho­sta­tique, il faut ajou­ter à la nico­ti­no­thé­ra­pie des hyper­ten­seurs qui vont équi­li­brer la tension artérielle.

En décembre 2004, nous avons présenté les effets de la nico­tine à long terme. Au-​delà de 6 ans, les malades conti­nuent à avoir une amélio­ra­tion globale des symp­tômes surtout les dysto­nies, dyski­né­sies, akiné­sies, raideurs et plus tardi­ve­ment les trem­ble­ments, avec une réduc­tion de 70 à 90 % du trai­te­ment anti­par­kin­so­nien dopaminergique. 

La nico­ti­no­thé­ra­pie et ses déri­vés méta­bo­liques, la coti­nine, méritent d’être recon­nus comme un médi­ca­ment pour la mala­die de Parkin­son, Alzhei­mer et autres mala­dies neuro­dé­gé­né­ra­tives. Hypo­thé­ti­que­ment, avec un raison­ne­ment neuro­phar­ma­co­lo­gique du mode d’ac­tion de la nico­ti­no­thé­ra­pie trans­der­male, on peut imagi­ner dans l’ave­nir de trai­ter d’autres types de mala­dies neuro­lo­giques comme l’épi­lep­sie, les épilep­sies secon­daires à des trau­ma­tismes crâniens, post-​AVC et autres par exemple. D’autres types de mala­dies que l’on peut envi­sa­ger trai­ter, toujours hypo­thé­ti­que­ment avec le même prin­cipe et la même expec­ta­tive : la SLA (sclé­rose laté­rale amyo­tro­phique), la mala­die de Char­cot Marie Tooth, la mala­die de Hunting­ton et la SEP (sclé­rose en plaques). 

Sur le plan écono­mique il semble­rait être égale­ment très inté­res­sant de réflé­chir sur le moindre coût pour la sécu­rité sociale que repré­sen­te­rait ce type de théra­pie clinique non invasive. 

Docteur Gabriel Villa­fane, Hôpi­tal Henri Mondor-​Créteil, Hôpi­tal Rothschild-Paris
Trans­mis par Domi­nique BONNE Président GP29

ÉDITORIAL

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°63

Une ques­tion sur GP29, notre site parte­naire, m’a ramené dans le passé, en juin 2009 pour être précis… Effec­ti­ve­ment, j’étais en pleine recherche d’équi­libre de ma médi­ca­tion, alliée à une démarche inté­res­sante : le déco­dage biolo­gique… Hélas, depuis cette époque, la mala­die a évolué, peu mais suffi­sam­ment pour que j’uti­lise le stylo à Apoki­non lorsque les crises s’avèrent diffi­ciles à surmon­ter. Je disais, dans cet article, qu’il ne fallait rien lâcher à notre parte­naire Parkin­son : il en profi­tait aussi­tôt pour se déve­lop­per et s’installer plus large­ment. C’est exact et je le véri­fie chaque jour… 

21 ans de trai­te­ment (depuis avril 1994) m’ont appris à tenir bon et résis­ter le plus long­temps possible ! Mais quelle éner­gie il faut déve­lop­per et je ne vous cache­rais pas que parfois le doute m’habite et qu’une certaine fatigue morale s’installe : ça ne s’arrêtera donc jamais…. 

NON JAMAIS MON BON MONSIEUR !!! Bien au contraire … 

La rédac­tion du Parkin­so­nien Indé­pen­dant et les réac­tions des lecteurs me font beau­coup de bien et me permettent de tenir encore cette revue. Le 62 s’ouvre sur l’annonce de la décou­verte d’une cause très vrai­sem­blable de l’arrivée et du déve­lop­pe­ment de Parkin­son : l’alphasynucléine serait la respon­sable. Ceci laisse entre­voir la possi­bi­lité de conte­nir voire de réduire notre ennemi commun. Mais ce ne sera pas avant plusieurs décen­nies sans doute ! Cepen­dant, cela donne de l’espoir… Voilà mes réponses sans doute pas aussi enthou­siastes que dans l’article de juin 2009. Mais qu’importe, je suis toujours convaincu de notre respon­sa­bi­lité dans l’évolution de la mala­die : nous pouvons frei­ner, retar­der, mais pas gagner, son évolution…

Bon courage à tous

De joyeuses fêtes et tous nos vœux pour cette nouvelle année 

Jean Grave­leau

[vu sur le net] Maladie de Parkinson : un projet européen coordonné au Luxembourg

article trouvé sur le site du Luxem­bur­ger Wort

Une étude doit permettre de trou­ver de nouvelles substances actives ‑servant à élabo­rer ensuite un médicament- contre la mala­die de Parkinson.

Dotée d’une enve­loppe de 5,9 millions d’eu­ros (2 millions vont direc­te­ment au Luxem­bourg), elle est coor­don­née par le centre de recherches de l’Uni­ver­sité du Luxem­bourg : le Luxem­bourg Centre for Systems Biome­di­cine (LCSB) installé au pied des Hauts four­neaux à Belval. Près de 50% des 230 cher­cheurs et employés du LCSB planchent déjà sur la mala­die de Parkinson. 

pour lire l’ar­ticle dans son inté­gra­lité, suivez ce lien…

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