Ne pas être qu'un "patient" ...

Le parcours résumé de notre nouveau Ministre de tutelle

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°69

Au cours de ses années d’in­ter­nat en méde­cine, Agnès Buzyn s’est spécia­li­sée dans l’hé­ma­to­lo­gie. C’est dans ce domaine qu’elle a construit sa carrière. « J’ai fait ce choix car c’est une spécia­lité très tech­nique mais aussi très humaine », explique-​t-​elle à La Croix. « En chirur­gie, on opère puis on ne voit plus le patient. Moi, j’avais envie de soigner les gens en les accom­pa­gnant dans la durée ». A Paris, elle est respon­sable pendant près de vingt ans de l’unité de soins inten­sifs d’hématologie et de greffe de moelle osseuse à l’hô­pi­tal Necker, qui soigne notam­ment les leucémies. 

Par ailleurs profes­seure à la fac Marie-​Curie, elle occupe ensuite de hautes fonc­tions au sein de l’Ins­ti­tut natio­nal du cancer : membre du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion en 2009, vice-​présidente en 2010 et enfin prési­dente en 2011. En mars 2016, deux ans après avoir refusé la Direc­tion géné­rale de la santé, cette héma­to­logue a fina­le­ment pris la tête de la Haute Auto­rité de santé. Elle devient alors la première femme à occu­per ce pres­ti­gieux poste. Libé­ra­tion, qui lui consacre alors un portrait, évoque une « person­na­lité effi­cace, peu sensible aux mirages du pouvoir et très atten­tion­née sur les ques­tions des inéga­li­tés de santé ».

Trans­mis par Martine Delmond

Mais aura-​t-​elle les moyens de son action ?
Ques­tion posée par la rédac­tion

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