L’Éveil : un film à (re-)voir.
Publié le 14 août 2014 à 12:22A l’ occasion de la disparition de Robin Williams, Henri DAVID (32 ans de Parkinson), nous a recommandé de voir ou de revoir le film « L’ éveil », film de Penny Marshall, avec un scénario de Steven Zaillian, d’ après le livre éponyme d’ Oliver Sacks.
Acteurs principaux : Robert De Niro & Robin Williams. (Sortie en 1990 aux états-Unis), en France le 20 février 1991.
Ce film parle de l’ avènement de la dopathérapie, de ses bienfaits et de ses effets psychiques secondaires.
Ce film a été tiré du livre « Awakenings » d’ Oliver Sacks, première édition 1973 par Gerald Duckworth & Co, édition revue en 1976 et 1982 par Pan Books
Traduit en français aux éditions du Seuil, avril 1987, avec comme titre : « L’ éveil » d’ Oliver Sacks, Pierre POLLAK en prend référence dans son livre « La maladie de parkinson au quotidien », page 104/105 aux éditions Odile Jacob, août 1993. (On peut trouver ces deux ouvrages sur internet, ainsi que le DVD).
3 Commentaires Cliquer ici pour laisser un commentaire
Laisser un commentaire
Flux RSS des commentaires de cet article. Rétrolien URI
Propulsé par WordPress et le thème GimpStyle créé par Horacio Bella. Traduction (niss.fr).
Flux RSS des Articles et des commentaires.
Valide XHTML et CSS.
Françoise d’ici ou d’ailleurs , merci à vous
Commentaire by saint genez — 13 mars 2015 #
Bravo et merci Isabelle pour ce très beau poème qui touche nos émotions les plus profondes.
Ces petits coins de ciel bleu sont d’autant plus intenses que nous devons les rechercher parfois, avec difficulté. Il nous faut alors les cultiver, les magnifier pour mieux les partager. Seul ce partage, la solidarité et la convivialité qui souvent se raréfient méritent au firmament des Valeurs Humaines le qualificatif d’Azur Céleste.
Commentaire by Françoise — 10 mars 2015 #
Il y a des jours ou le ciel est insolemment bleu
ou l’on sent palpiter la bas dehors la vie
En tout cas bien loin de son corps douloureux
Echoue, terrasse, crucifie
Et on cherche l’avant quand on pouvait regarder l’autre
Et faire un pied de nez a la guigne
Qu poisse irremediablement le quotidien
Il y a des matins moins noirs
Mais ou bien vite le desespoir passe la porte
Malveillant, obsedant, entetant.
Que n’ai je invente pour le chasser, l’envoyer au tapis
J’ai chante a tue tete a m’en pourrir la voix
Je me suis invente des berceuses pour enfants apeures
Je me suis raconte de belles histoires
Comme je sais si bien le faire
J’ai chante, parle, crie, hurle
Mais il y a des jours comme ca
Ou la vie n’est pas un cadeau
C’est un fardeau si lourd
Qu’on aimerait dire « pouce » comme a la recre
Quand on etait jeune, innocent et heureux
Il y a des moments comme ca ou rien ne va
Un jour de desesperance, novembre 2002
Septembre 2014 l’espoir a repris le dessus
J ai trouve un chemin,Le Chemin
Je vis, je revis pleinement.
Debout
Commentaire by isabelle saint genez — 16 septembre 2014 #