Ne pas être qu'un "patient" ...

Risque de démence et Parkinson

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°46 – octobre 2011 

Le Parkin­son est souvent asso­cié à des problèmes neuro­psy­cho­lo­giques et neuro­psy­chia­triques dont la préva­lence augmente avec l’âge. C’est ce qu’à rapporté le Profes­seur Heinz Reich­mann, de Dresde, lors du congrès Parkin­son 2011 à Kiel. Il a fait réfé­rence à une étude réali­sée sur 1 300 patients âgés de 66 à 75 ans, dont 38% souf­fraient de démence, 35% de dépres­sion et 18% de psychose. Seul un tiers des patients n’étaient atteints d’aucun trouble. D’autres études confirment que le risque de démence est multi­plié par six pour les patients parkin­so­niens. M. Reich­mann explique que 25% des patients déve­loppent une démence huit ans après le diag­nos­tic, 50% douze ans après et plus des deux tiers seize ans après – celle-​ci se mani­fes­tant aux envi­rons de la 70ème année, indé­pen­dam­ment de la durée de la mala­die. Une étude de 2005 donne les mêmes résul­tats : au bout de quinze années, envi­ron un tiers des 149 patients parti­ci­pants vivait encore. 50% souf­fraient d’une démence, l’autre moitié de dépres­sions et d’hallucinations.

Article lu dans le Parkin­son suisse n°102 de juillet 2011 par Jean GRAVELEAU

11 Commentaires Cliquer ici pour laisser un commentaire

  1. Bonjour
    pour Martine : oui la citi­cho­line est compa­tible avec les patchs nico­tine. Sans problème. Ne pas oublier de donner un peu de sucre en fin de jour­née pour éviter les crises d’hy­po­gly­cé­mie nocturnes (suées et gourme réac­tion­nel à l’emplacement du patch)
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    Ques­tion 1
    Le Neuro­logue de mon mari ( mala­die de Léwy) trouve que je lui donne trop de Rivat­sig­mine. Je donne l’équi­valent d’un patch Exce­lon 15, sinon il est perdu dans le temps et pros­tré. Mon mari tolère très bien les patchs, mais a des passages à vide avec les gélules de forte concen­tra­tion (6 mg). Je suis passé en plus du patch Exel 10 aux gélules à 1,5mg répar­ties régu­liè­re­ment dans la jour­née. Est-​ce que une élimi­na­tion trop impor­tante par les reins est détec­table par une analyse des urines ? Ou est-​ce une accou­tu­mance, comme le dit le Neuro­logue?? Le patch 15 est appa­rem­ment exis­tant en France mais pas remboursé parce que jugé  » pas utile ».

    Ques­tion 2
    je suis obli­ger de donner de la dopa­mine en pleine nuit pour que l’in­tes­tin et la vessie de mon mari fonc­tionnent correc­te­ment. Sinon il est complè­te­ment téta­nisé. Son Neuro­logue a pres­crit de la LDopa à diffu­sion lente (200) au lieu du Sine­met 250 pour la prise du couché. J’ai été obligé de complé­ter avec 50 mg de Sine­met clas­sique étant donné la raideur nocturne persi­tente et l’enu­ré­sie, laquelle appa­raît main­te­nant égale­ment de jour. Je sais plus quoi faire. Ses besoins en Ldopa augmentent très vite (toutes les 3 semaines, 10 ans de maladie).

    Merci de vos réponses et conseils.
    Très cordialement
    Brigitte

    Commentaire by Lanoe Brigitte — 19 février 2017 #

  2. Est-​ce que citi­co­line est compa­tible avec les patch de nicotine ?
    Est-​ce que quel­qu’un utilise les 2 ? Avez vous l’avis du docteur GV ? Merci pour vos retours.

    Commentaire by Martine — 15 décembre 2016 #

  3. Ne se demarque pas des autres ll va travailler a son pole d’ex­cel­lence mais pas ur nous. Ses recherches abou­ti­ront dans deux gene­ra­tions et si nous sommes en droit. et devoir de lui dire que c’est parfait en ce qui concerne sa demarche au niveau de la science son entre­prise est enta­chee de deux malfa­çons a corri­ger urgemment
    1) lui et sa savante equipe travaillera non en syner­gie profes­sion­nelle avec d’autres cher­cheurs mais en compe­ti­ti­vite et concur­renncc et le patient, le souf­frant aura droit des annees durant a « des pistes promet­teuses, des avan­cees promet­teuses, un nouvel espoir« mais aucune realite d’un trai­te­ment imme­dia­te­ment gagnant
    2)Ce trai­te­ment existe on ne veut ni s’y inter­res­ser ni le connaitre encore mons le recon­kaitre. Je le lui ai fait savoir par un mail reste comme il se doit sans reponse . Mais j’ai pu joindre un de ses poches colla­boa­teurs au tele­phone et l’ai oblige ecou­ter ce que j’avais a diire comme je l’avais fait en janvier avec Erwan Bezard de Bordeaux 2. La balle est dans leur camp.
    Mais je suis tota­le­ment delmu­nie et side­ree par 5 lignes de la chro­nique offerte a Mme Anne Arthus Bertrand qui emet des soup­çons fait naitre une rumeur a propos de celui qui porte nos espoirs.
    Le rangeant dans la cate­go­rie fantasque et deplo­rant qu« il fasse des victimes.
    Je ne suis pas une victime de ce prati­cien auquel j’ai fait entie­re­ment confiance pour la thera­pie duquel j’ai opte sciem­ment deliberement.
    Je suis sans doute un cas d’ecole et merite large­ment d’etre elevee au grade de patient referent expert parkinson
    Grade qu’on aurait plutot tendance a me refuserr
    Mes propos etant quali­fies de calomnieux
    Moi aussi cepen­dant j’ai­me­rais qu’on m’offre une tribune la ou Mme A B Bertrand l’a obte­nue sans peine.
    J’ai a remer­cier de tout coeur le site du GP29 ‚une ancienne presi­dente du GP de l’Ile de France qui m’a fait rentrer a Mondor et a parti­cipe a ma redemption
    Remer­cier le CECAP et Jean Grave­leau du Parkin­so­nien Independant.
    Me feli­ci­ter de certaines de mes qualites innees dont la premiere est la perse­ve­rance doublee d’une volonte faroucjhe.
    Mme A B Bertrand a trouve sur sa route un mede­cin qui lui a conseille d’al­ler voir le prati­cien meconnu de Mondor main­te­nant exile a Vidart.
    Je voidrais connaitre l’iden­tite de ce medecin
    Car et c’est bien la ou le bat blesse aucun mede­cin ne conseille publi­que­ment le docteur G Villa­fane tout fonc­tionne a la debrouille et a la poli­tique du bouche a oreillen
    Le 27/​09/​2012 j’ai decide qu’il fallait en finir avec cette omerta
    J’ai trouve essen­tiel­le­ment des portes fermees des rebuf­fades des humiliations
    Mais aussi une ecoute bien­veillante et certain appui poli­tique que je ferai savoir en temps et heure dans un lieu adequat
    Et ma contri­bu­tion ne se veut ni belli­queuse ni pole­mique juste infor­ma­tive au nom de notre devise revo­lu­tion­naire et republicaine
    « Liberte, egalite, fraternite »

    Commentaire by saint genez — 12 avril 2015 #

  4. Brigite vous avez trouve ce dont nous souf­frons. Appe­lons cela omerta reten­tion d’in­for­ma­ton soigneu­se­ment entre­te­nue par des media negli­gents quii « enfument » l »opinion publique en des-​informant, mal-​informant lecteurs et audi­teurs. La nico­tine= tabac . On le laisse croire. On le fait croire et personne n’y trouve.a redire puisque les puis­sants y trouvent leur compte.
    Et les media sont coupables de cette desinformaton
    Et les poli­tiques passent leur chemin sans etat d’ame
    Et la commu­naute scien­ti­fique reste dans le deni d’une evidence . N’a cure du seul trai­te­ment gagnant imme­dia­te­ment. Meprise denigre se moque au motif que ce ne serait pas scien­ti­fique. Aban­donne la vertu premiere du scien­ti­fique as savoir la curio­site intel­lec­tuelle pour endos­ser le role malvei­lant de la male­hon­ne­tete intellectuelle.
    Et nous sommes dans une situa­tion para­soxale inex­tri­cable qui.satisfait les mandarins
    Au CHU Henri Mondo de Creteil ou les travaux sur la NEPT sont menes ‑et entraves- avant hier le Pr mede­cin referent du centre ecpert parkin­son initia­teur de « confe­rences citoyennes » a tenu une reunion publique dans le cadre des jour­nees parkin­son .il a de l . Pres­tance , possede un art oratoire consomme . Il. est PU sur de lui a tres bien parlea simple­ment omis de parler de nous et personne n’a ose se lever pou lui porter ouver­te­ment contradiction
    Quel­qu’un l’au­rait il fait qu’on lui aurait.intime l’ordre de se taire commer recem­ment a Blois et a Rennes
    En Aqui­taine on ne fait pas dans la denteiie. Voudrais je parler a un respon­sabe de Neuro­caaam­pus (72M pour la premiere tranche de travaux je ne vais pas au dela du stan­dard. A Bayonne le mede­cin referent parkin­son m’a convo­quee mi.decembre . Je lui ai apporte des docu­ments , des publi­ca­tions recentes sur la nico­ti­no­the­ra­pie elle ne voulait pas les prendre . J’ai insiste .elle les a pris avec une morgue suffi­sante et ces propos« je vous les rendrai je ne suis pas sure de vouloir les lire. On n’a pas a lire ce qui n’a pas d’interet »
    Propos insul­tants comme est malhon­nete une certaine revue trimes­trielle quii relaie le grand appel d’offre du drec­teur de l’ICM Alexis Brice . Ce cher­cheur ne se demarq

    Commentaire by saint genez — 12 avril 2015 #

  5. Mon mari (66 ans est atteint de la mala­die de Léwy depuis 2006 (déclin cogni­tif, observé par moi) et diag­nos­ti­quée comme tel en 2010. La riva­stig­mine et la léva­dopa donnent de bons résul­tats, en croi­se­ment avec un panel de vita­mines B, dont la B1 et la B5. Mais il est arrivé à des concen­tra­tions impor­tantes (4 prises). En cher­chant sur le net , je suis tombé sur la citi­co­line (CTD Choline) un précur­seur de l’acé­tyl­cho­line qui passe la barrière céré­brale. Cet addi­tif « alimen­taire » a été auto­risé sur le marché euro­péen en juillet 2014, soit 6 ans après les USA.…. No comment!! La dose de 500 mg /​ jour en 2 prises a donné une amélio­ra­tion et un ralen­tis­se­ment notable( 4 mois entre les augmen­ta­tions de concen­tra­tion LDopa et Riv.au lieu de 1,5 mois). Une concen­tra­tion plus élevée ne donne pas de résul­tats. D’usage courant en Amérique du nord en palia­tif pour Alzhei­mer, il est dommage qu’il ne soit pas divul­gué en France d’au­tant qu’il améliore les perfor­mances dopa­mi­ner­giques (Citi­co­line Jarrow, US, dispo­nible sur Amazon). Comme mon mari conti­nue a se dégra­der , je suis en train d’es­sayer le patch nico­tine pour limi­ter les augmen­ta­tions de LDopa et Riv. et essayer de repous­ser l’échéance . Etant cher­cheur, j’ai l’ha­bi­tude des expé­ri­men­ta­tions. Mais pour­quoi faut-​il que les infor­ma­tions soient si mal divul­guées en France??? Cela fait 3 ans que je fouille le net et je viens seule­ment de trou­ver votre site (aucune publi­cité chez les neuro­logues hospi­ta­liers BZH ni le CLIC, ni les phar­ma­cies)!!! Ce serait bien d’avoir aussi des infos sur la DCL ( famille parkin­son). On se senti­rait un peu moins seul !

    Commentaire by Lanoe brigitte — 11 avril 2015 #

  6. @ F. Cani­vet : C’est en effet une erreur de dire que  » la L-​​​dopa et sans doute les agonistes dopa­mi­ner­giques sont des anti­cho­li­ner­giques ». Il ne faut pas confondre dopa­mine et acétyl­cho­line. La plupart des anti­par­kin­so­niens actuels agissent sur la dopa­mine en augmen­tant le taux (L‑dopa) ou en faci­li­tant le trans­fert dopa­mi­ner­gique entre les neurones. Les anti­cho­li­ner­giques étaient surtout pres­crits avant les années 70. On savait déjà qu’il y avait une dette dopa­mi­ner­gique dans la mala­die de Parkin­son mais on ne savait pas qu’il fallait donner le précur­seur de la dopa­mine (L‑dopa) pour augmen­ter son taux. Alors on donnait un anti­cho­li­ner­gique pour permettre un meilleur équi­libre dopamine/​acéthylcholine. Évidem­ment la personne se retrou­vait ensuite en dette au niveau de ces deux neuro­trans­met­teurs. Conclu­sion : il vaut mieux ne pas reve­nir 40 ans en arrière et vive le progrès de la méde­cine (même si beau­coup de chemin reste à faire). J’es­père avoir été assez clair dans cette complexité.
    Amica­le­ment vôtre.

    Commentaire by Hubert COLOMBEL — 31 mars 2014 #

  7. D’après une étude scien­ti­fique récente, les médi­ca­ments anti­cho­li­ner­giques accé­lèrent le déclin cogni­tif et même le décès des personnes âgées de plus de soixante-​dix ans.

    Or, la L‑dopa et sans doute les agonistes dopa­mi­ner­giques sont des anti­cho­li­ner­giques (sauf erreur de ma part !).

    Donc, inutile de cher­cher plus loin : la raison du déclin des parkin­so­niens âgés est à recher­cher dans les trai­te­ments médi­caux par les antiparkinsonniens.

    Donc, si on pouvait se « soigner » autre­ment qu’a­vec eux, on se préser­ve­rait de leurs effets secon­daires visibles et invisibles.

    Mais qui cherche réel­le­ment à échap­per à la filière médicamenteuse ?

    Allons, ne station­nons que le temps néces­saire devant l’or­di­na­teur et profi­tons de ce qui nous reste d’au­to­no­mie pour faire de l’exercice !

    Commentaire by F. CANIVET — 26 octobre 2011 #

  8. Merci beau­coup Monsieur Colombel !
    Merci d’avoir compris les dégâts que cet article pouvait causer au moral des personnes humaines que nous sommes, nous qui sommes deve­nus parkin­so­niens et qui avons telle­ment besoin d’es­pé­rer pour garder l’en­vie et la force de conti­nuer à faire un pas après l’autre…

    Commentaire by Marie-Paule Subarroque — 25 octobre 2011 #

  9. Merci de ces préci­sions qui, je le confesse, manquaient sans doute à l’ar­ticle incri­miné. Il est toujours désa­gréable de passer pour « fou » lors­qu’on parle de démence mais c’est l’ac­cep­tion la plus couram­ment admise par le plus grand nombre…
    Cet article entraîne des réac­tions que je conçois bien volon­tiers ayant moi-​même hésité à le faire paraître pour son approche de la mala­die assez désa­gréable. Cepen­dant, il m’a semblé judi­cieux d’en parler malgré tout parce que la réalité ne dispa­raît pas en l’igno­rant et que certains de nos lecteurs se posent cette question.
    Je vous remer­cie de vos obser­va­tions qui ne pour­ront qu’a­mé­lio­rer la clarté du propos.
    Amicalement
    Jean Graveleau

    Commentaire by JEAN GRAVELEAU — 24 octobre 2011 #

  10. En tant que profes­sion­nel du soin ayant long­temps donné des cours sur le syndrome parkin­so­nien, je comprends qu’on puisse être perturbé par ce résumé du rapport du Pr Heinz Reich­man. Je me permets donc d’ap­por­ter quelques préci­sions. La démence se carac­té­rise, sur le plan psychia­trique, par une perte impor­tante de facul­tés cogni­tives. Mais commu­né­ment, la démence est asso­ciée à la folie. Je viens d’en faire l’ex­pé­rience en deman­dant à des personnes, atteintes ou non par la mala­die de Parkin­son, de me défi­nir la démence. Elles asso­cient toutes la démence à la folie, à la perte globale des facul­tés mentales : la personne « perd la tête ». Ce n’est pas le cas dans la mala­die de Parkin­son car la démence parkin­so­nienne est dite sous-​corticale c’est-​à-​dire qu’il y a une atteinte prin­ci­pa­le­ment des fonc­tions exécu­tives, non-​déclaratives, impli­cites, perceptivo-​motrices et motrices sans pertur­ba­tion véri­ta­ble­ment des fonc­tions décla­ra­tives, corti­cales contrai­re­ment au malade atteint de la mala­die d’Alz­hei­mer : en clair et pour être sché­ma­tique, alors que celui-​ci pourra s’as­seoir sur une chaise sans pouvoir la nommer, le malade atteint par la mala­die de Parkin­son pourra toujours nommer la chaise mais aura du mal à trou­ver les séquences gestuelles pour s’as­seoir dessus. Sa mémoire motrice, procé­du­rale lui fera défaut. Si le trouble est parti­cu­liè­re­ment constant et inva­li­dant, on pourra alors parler de démence du fait de cette atteinte cogni­tive parti­cu­lière, une démence sous corti­cale spéci­fique au trouble parkin­so­nien. Il faut savoir aussi que, si les pertur­ba­tions enva­hissent trop les zones corti­cales, nous pouvons sortir du champ de la Mala­die de Parkin­son Idiopathique(MPI) pour être devant un trouble appa­renté, un syndrome, certes parkin­so­nien, mais entraî­nant une pertur­ba­tion plus diffuse des fonc­tions cogni­tives (démence à corps de Léwy, dégé­né­res­cence cortico-​basale…). Toujours est-​il qu’il est impor­tant de dire que la démence parkin­so­nienne n’a rien à voir avec la folie pour être dans le vrai et ne pas risquer de devoir ramas­ser le malade à la petite cuiller ! (Hubert COLOMBEL psycho­mo­tri­cien, relaxo­thé­ra­peute, ortho­pho­niste, instruc­teur en acti­vité physique)

    Commentaire by Hubert COLOMBEL — 24 octobre 2011 #

  11. Merci à Monsieur Reich­mann pour ses obser­va­tions si optimistes…
    A le lire, on aurait envie
     — soit de se préci­pi­ter sur les jeux de hasard,
     — soit de deve­nir nymphomane,
    enfin de faire tout et n’im­porte quoi pour échap­per à l’ave­nir qu’il nous promet…
    Main­te­nant que je sais que je serai atteinte d’ici 10 ans, à suppo­ser que je vive encore, soit de démence, soit d’hal­lu­ci­na­tions, je ne vais plus craindre la grippe!!!!
    Ah, si, il faut encore faire atten­tion si on veut faire partie du tiers survivant !
    Je propose que ceux d’entre vous qui ont plus de quinze années de mala­die, qui ont dépassé les 70 ans, lui envoient un temoi­gnage afin de l’ai­der à revoir ses statis­tiques sinistres !
    e‑mail:Heinz.Reichmann@mailbox.tu-dresden.de

    Commentaire by Marie-Paule Subarroque — 16 octobre 2011 #

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