Ne pas être qu'un "patient" ...

Parkinson et problèmes cognitifs

Paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT N°29 – juin 2007

Résumé d’un article paru dans Le jour­nal de Parkin­son Suisse de septembre 2006

« Ces dernières décen­nies, les progrès théra­peu­tiques ont permis non seule­ment une nette amélio­ra­tion de la qualité de vie des Parkin­so­niens, mais égale­ment un allon­ge­ment de leur espé­rance de vie. Toute­fois, le risque de souf­frir de troubles cogni­tifs et de démence augmente égale­ment. Ce que l’on nomme la démence de type Parkin­son (PDD) exige beau­coup des méde­cins et des personnes soignantes. Souvent une gestion globale est néces­saire afin de trai­ter au mieux aussi bien la mala­die de base que la démence qui fait désor­mais son apparition. »

« Diffé­rentes études le montrent : de 20% à 40% des Parkin­so­niens déve­loppent une démence au cours de l’évolution de la mala­die. Toute­fois la fréquence de la démence dépend forte­ment de l’âge et de la durée de la mala­die. L’âge moyen des patients atteints de démence de type Parkin­son est de 72 ans envi­ron. Le Parkin­son multi­plie par six le risque de démence par rapport au reste de la popu­la­tion. Les facteurs de risque sont les suivants : âge avancé, longue durée de la mala­die, début symé­trique, forme hypocinétique-​rigide de la mala­die et appa­ri­tion d’hallucinations. Jusqu’à présent, il n’existe que peu d’indication sur le degré de gravité de la démence de type Parkinson. »

« Une démence est une affec­tion céré­brale à l’origine d’une perte progres­sive des capa­ci­tés intel­lec­tuelles, de troubles cogni­tifs et de modi­fi­ca­tions psychiques allant gran­dis­sant. Ces troubles peuvent abou­tir à un besoin d’assistance inté­gral. L’orientation, la mémoire, la pensée, la compré­hen­sion, le vécu émotion­nel, le calcul, la capa­cité d’apprentissage, le discer­ne­ment et la langue comptent parmi les fonc­tions du cerveau. »

« Il ne faut pas confondre la démence de type Parkin­son avec la démence de type Alzhei­mer, dont les troubles de la mémoire sont les symp­tômes prin­ci­paux dés le début. La démence de type Parkin­son touche d’autres régions du cerveau. L’aptitude à réali­ser plusieurs tâches et à prêter atten­tion à plusieurs sources de stimuli est de plus en plus limi­tée. Le patient ne peut plus se concen­trer que sur une tâche, il perd rapi­de­ment son pouvoir de concen­tra­tion et il est dépassé par la réali­sa­tion simul­ta­née de tâches simples. La plupart du temps, les troubles de l’aisance élocu­toire s’accompagnent d’un appau­vris­se­ment de la parole. Les modi­fi­ca­tions de la person­na­lité telles que l’apathie et les tendances au repli, la dépres­si­vité et la peur, jusqu’aux phéno­mènes psycho­tiques, aux délires, aux hallu­ci­na­tions (leurres senso­riels), s’inscrivent dans ce contexte. »

« Les troubles du sommeil accom­pa­gnés d’agitation nocturne, de déso­rien­ta­tion et d’une fatigue exces­sive dans la jour­née sont fréquents. Les hallu­ci­na­tions néces­si­tant en règle géné­rale une réduc­tion de la poso­lo­gie des médi­ca­ments contre le Parkin­son, la mobi­lité se dégrade égale­ment, les troubles de la posture augmentent, tout comme la tendance à chuter. Les troubles végé­ta­tifs tels que l’incontinence s’intensifient nette­ment. Les troubles de la mémoire n’apparaissent que tardi­ve­ment dans l’évolution de la mala­die et ne ressemblent pas à ceux des patients souf­frant d’Alzheimer. Ces derniers ne peuvent enre­gis­trer aucune infor­ma­tion ; il leur est donc impos­sible de s’en rappe­ler. Les patients atteints de démence de type Parkin­son possèdent toujours leur capa­cité d’enregistrement et d’apprentissage, mais leur accès est compli­qué et retardé. C’est pour­quoi les aide-​mémoire (feuille de notes, calen­drier), inutiles en cas d’Alzheimer, peuvent s’avérer effi­caces pour eux. »…

… « Les patients atteints de démence légère peuvent encore se prendre en charge seuls. Les premières diffi­cul­tés appa­raissent au cours de tâches complexes telle que la conduite. Les hallu­ci­na­tions peuvent égale­ment marquer le début d’une démence. S’ensuivent une perte des apti­tudes sociales et profes­sion­nelles, et les premières modi­fi­ca­tions de la person­na­lité. Les patients souf­frant de démence modé­rée ont besoin d’aide au quoti­dien, perdent leur auto­no­mie et négligent les tâches courantes. Les patients atteints de démence sévère requièrent une surveillance et des soins vingt quatre heures sur vingt quatre. En géné­ral, l’intensification des troubles cogni­tifs s’accompagne d’une progres­sion de la confu­sion. La démence de typa Parkin­son évolue très lente­ment ; toute progres­sion plus rapide requiert une révi­sion du diagnostic. »

« Le diag­nos­tic est épineux. Souvent la démence de type Parkin­son se diffé­ren­cie diffi­ci­le­ment des handi­caps liés à la mala­die de base. Le diag­nos­tic néces­site abso­lu­ment, outre une anamnèse* détaillée, une impli­ca­tion des proches. En outre on procède à des analyses de labo­ra­toire, à des analyses neuro­psy­cho­lo­giques et élec­tro­phy­sio­lo­giques, ainsi qu’à des procé­dures d’imagerie médi­cale. Il s’agit d’exclure d’autres causes des troubles de la mémoire. »…

…« La démence de type Parkin­son peut être trai­tée phar­ma­co­lo­gi­que­ment, par exemple à l’aide d’un inhi­bi­teur de l’acétylcholinestérase. … Les anti­dé­pres­seurs peuvent trai­ter effi­ca­ce­ment les dyspho­ries dépres­sives ; les hallu­ci­na­tions et les états d’agitation requièrent souvent l’emploi de neuro­lep­tiques atypiques. Toute­fois, l’établissement d’un bon diag­nos­tic et la recon­nais­sance des parti­cu­la­ri­tés de cette mala­die sont de prime impor­tance pour le patient et ses proches soignants. Une physio­thé­ra­pie régu­lière, l’exercice au grand air, un apport suffi­sant en liquide et une alimen­ta­tion saine sont les piliers de tout trai­te­ment de base. Il est essen­tiel d’établir un schéma théra­peu­tique psycho­so­cial (par ex. : cliniques de jour, conseil des proches, suivi pendant les vacances, service de secours, etc.).

Source : www.parkinson-web.de

Lu et résumé par Jean GRAVELEAU graveleau.jean2@wanadoo.fr

* ANAMNESE : ensemble des rensei­gne­ments que le méde­cin recueille en inter­ro­geant un malade sur l’histoire de sa maladie. 

25 Commentaires Cliquer ici pour laisser un commentaire

  1. Andrade , je vous conseil de stop­per le Sifrol , pris le soir il ne peut que pertur­ber la dopa­mine et stimu­ler les récep­teurs pour un effet contraire de sommeil. C’est a prendre en début de mati­née, c’est un stimu­la­teur direct des récep­teurs D2 . Il n’ap­porte pas de dopamine.

    Suppres­sion avec l’ac­cord du médecin(enfin un autre car celui ci a bien mal étudié notre patho­lo­gie) la prise de Modo­par du midi.
    Prendre Modo­par a jeun le matin et 2 heures après le dîner.

    A bien­tôt.

    Commentaire by prevost — 6 août 2020 #

  2. Un père de deux personnes atteintes de la mala­die de Parkin­son dit que sa vie a été trans­for­mée par un chien dressé pour l’ai­der à la mobi­lité et à la stabi­lité. Le projet pilote de l’Ins­ti­tut neuro­lo­gique de Dublin à l’hô­pi­tal Mater est une première pour l’Ir­lande et peut-​être pour le monde. https://www.facebook.com/rtenews/videos/775489716594508/

    Commentaire by Bibiane breton — 29 juillet 2020 #

  3. Bonjour,

    modo­part 125 matin /​midi/​soir

    Sifrol le soir 1,05 + 0,26

    Poids -> 43 pour 1m50

    Depuis quelques temps il y a de la demense ou peut etre un syndrome confusionnel. 

    Elle veut arrê­ter ses medocs. Que faire ? 

    1- dimi­nuer les médi­ca­ments parkinsonien
    2- stoper les médi­ca­ments parkinsonien
    3- passer le tout en natu­rel direct
    4- dimi­nuer puis si tout est ok passé au naturel

    Commentaire by Andrade — 26 juin 2020 #

  4. @Prevost .….. votre réponse en résumé est  » ok moogle, vieillis­se­ment …  » … envi­ron 4 329 000 résul­tats (0,36 secondes) … coste­sec, il vous faudra reve­nir dans quelques années avant de poser une ques­tion à prévost

    Commentaire by kidoo — 27 mai 2018 #

  5. cote­sec, Bonsoir, avant de répondre à vos ques­tions, allez dans le rectangle de recherche et tapez « Pour­quoi le vieillis­se­ment cérébrale »
    Puis je vous indi­que­rais quelques pistes.
    A bientot.

    Commentaire by Prévost — 26 mai 2018 #

  6. Bonjour à tous
    j’ai la mala­die de parkin­son depuis 10 ans .
    Du point de vue cogni­tif , ça se dégrade ;pertes de mémoire ,
    j’ai beau­coup de mal à me concen­trer , à réflé­chir , par moment, j’ai l’im­pres­sion de deve­nir dingue , je réponds à ma compagne souvent à coté , elle fait preuve de beau­coup de patiente avec moi , parfois les choses les plus simple me paraissent très compli­qués , j’ai aussi du mal être cohé­rent , je manque d’ana­lyse .…… Bon j’ar­rête la liste …!!!!
    je suppose que la prise de médi­ca­ments n’est pas étran­gère à cette dégra­da­tion , aujourd’­hui je prends 7 cachets de175 mg de stalevo plus 2 requips 4 mg par jour !!!!!
    Tous les conseils avisés me feront du bien
    MERCI D’AVANCE

    Commentaire by costesec — 24 mai 2018 #

  7. Oui bien sûr je suis en train de polir le pavé je m assure de ne pas écrire de bêtise et d être le plus precis possible.synthétiser une douzaine de feuillets en quatre pages ce n est pas évident.
    Après lecture de ce brûlot à la condi­tion de mettre tout en oeuvre vous allez reduire au silence les maldies neuro­lo­giques et bien d autres.
    A bien­tôt Ludo­vic Limery.

    Commentaire by Limery — 30 janvier 2018 #

  8. Alors .….….…. limery .. vous la balan­cez ce caillou cette pierre ce pavé dans la mare ?? vous myto­nez tous le monde !!!!

    Commentaire by Kidoo — 29 janvier 2018 #

  9. Isabelle , merci ! votre commen­taire « du petit lait » pour moi, je n’étais pas informé de ce projet débile sauf si l’en­ga­ge­ment de de futur village serait de faire sortir complè­te­ment guéri les pension­naires après seule­ment trois semaines de soins . Mais comme le système est enclen­ché hypo­cri­te­ment vers le profit du bâtis­seur et des gestion­naires point de salut. Pour confir­mer vos doutes j’ai assisté au GRAAL sur l’Alz­hei­mer qui se dérou­lait à La Ciotat c’est le nom du colloque le GRAAL ! Avec spécia­listes de Marseille et du cru et un tas d’as­so­cia­tions plus ou moins basées sur le béné­vo­lat. Ne tenant plus sur ma chaise à causes de bana­li­tés de spécia­listes, qui déjà ont passé une heure trente à se congra­tu­ler les uns et les autres sans oublier les éminents absents pour une raison profes­sion­nelle. j’ai donc quitté la salle avant la projec­tion d’un film sur la vie en maison de retraite en Alzhei­mer durée prévue une heure. Un film de Charly-​Chaplin m’au­rait retenu !
    En fait tous ces gens « émérites » sont en trains de cher­cher à grand renfort de millions d’Eu­ros, ou nous font croire, comment retar­der le plus possible l’al­lu­mage du voyant témoins de la jauge d’es­sence du réser­voir de notre véhi­cule car nous roulons sur la réserve depuis un demi siècle et plus alors qu’il SUFFIT SIMPLEMENT D’EN FAIRE LE PLEIN !
    Ceci n’est pas le pavé dans la marre médi­cale que je dois commenter.
    A bientôt.

    Commentaire by Limery — 29 janvier 2018 #

  10. bonsoir
    je m’im­misce dans la conver­sa­tion sans y être invi­tée mis puis­qu’il est ques­tion de Parkin­son  — j’a essayé de faire au mieux c’es raté  —  ce que vous ne savez peut-​être pas c’est qu’un village Alzhei­mer pilote au plan natio­nal et premier du nom devait être fonc­tion­nel fin 2018 dans les Landes 120 rési­dents enca­drés par 120 béné­voles eux mêmes coachés par 120 agents médi­caux méde­cins , psys aides soignants et tout le panel des inter­ve­nants clas­siques à une diffé­rence près c’est que tous seraient à égalité pas de blouse blanche ni signe distinc­tif qui dirait qui est qui et qui fait quoi ; le but étant de décom­plexer les malades oublieux de leur passé récent et oublieux parfois de bien­séances sociales ainsi le mari de mon amie Brigitte, chirur­gien dentiste , mort depuis s’est vu dénon­cer un soir de Noël par son petit fils  » dis mamy c’est normal que Papy soit tout nu dans le salon et qu’il fasse pipi sur le gâteau ?  » vendredi dernier pages 11 et 12 du Sud Ouest jour­nal régio­nal et local Isabelle Castéra la jour­na­liste santé raconte les objec­tifs revi­si­tés de ce projet dont les travaux vont pouvoir commen­cer avec plus d’un an de retard sur le calen­drier initial Laurence Rossi­gnol e personne était venue le 22 septembre 2015 annon­cer offi­ciel­le­ment la créa­tion de ce nouveau concept, un site clos sur plusieurs hectares un côté rural un cita­din un vrai faux village où chaque résident et libre de ses mouve­ments dans un péri­mètre sécu­risé il y a un cinéma des bars et des bicy­clettes mais l’unique porte est infran­chis­sable et les murs aussi le coût de la struc­ture au départ 24 M ( hors budget MND ? ) 8 à 10 M fonc­tion­ne­ment /an.…les prix ont dû s’en­vo­ler depuis je n’ai cessé de combattre cette idée cde regrou­pe­ment de malades de même patho­lo­gie en si petite nombre ’ il y a 7000 cas recen­sés dans les Landes à quoi vont servir ces 120 VIP enfer­més dans ce que je nomme camp /​ ghetto /​ dupe­rie orga­ni­sée /​ cirque non ambu­lant une manière d faire au départ de sérieuses écono­mies pour moindre consom­ma­tion de médi­ca­ments sur une idée d’ Henri Emma­nuelli ‚conseiller géné­ral des landes sur une idée déjà réali­sée ai Canada et en Norvège ( deux villages marche­raient bien selon des sources non défi­nies ) Mr Joël Jaouen a été en délé­ga­tion ‑on n’a pas voulu de moi —  en Hollande Nord d’ Amster­dam en octobre 2015 il est peu disert sur le sujet mais certains d’entre vous sont peut-​être plus au courant que moi , ceux qui sont aux affaires main­te­nant sont d’une part le Pr Dartigues inter­na­tio­na­le­ment reconnu pour ses recherches sur Alzhei­mer , il, figure parmi le comité scien­ti­fique monté autour de ce projet landais , dirigé par le Pr Bernard Bouliac, ancien direc­teur de l’Ins­ti­tut de neuros­ciences de Bordeaux , ces scien­ti­fiques fran­çais oint l’in­ten­tion d’être des pion­niers univer­sels en obser­vant ce site clos come un grand labo­ra­toire ; le débat sur une nouvelle forme de prise en charge de notre santé demain est ouvert pour venir et s’ins­crire http://www.forum-sante-avenir.fr no comment . Henri Emma­nuelli est mort à Bayonne le 22 mars d’une neuro­pa­thie héréditaire

    Commentaire by isabelle saint genez — 29 janvier 2018 #

  11. un échange avec vous par mail peut s’avé­rer judicieux
    je suis a votre dispo­si­tion mon adresse :
    graveleau.jean2@orange.fr
    amicalement
    jean graveleau

    Commentaire by d'accord avec vous — 26 janvier 2018 #

  12. Jean Grave­leau , je ne suis pas tout a fait d’ac­cord avec l’ar­ticle, car la perte est iden­tique dans les ces deux patho­lo­gies, au début avant tout
    la raison est une perte des termi­nai­sons nerveuses qui entraî­ne­rons bien plus tard la mort des neurones ( apop­tose) la diffé­rence est la zone touchée.
    On peut se poser la ques­tion quel dérè­gle­ment produit cet effet désas­treux ? Après 3 ans de lecture en neuros­cience Je crois avoir débus­qué avec quasi certi­tude les intrus hors envi­ron­ne­ment connus comme les pesti­cides ainsi que la parade mais je préfère m’en­tre­te­nir avec vous par mail avant de l’écrire sur le site.
    A bien­tot bien cordialement.

    Commentaire by Limery — 25 janvier 2018 #

  13. yann, Parkin­son et Alzhei­mer même combat , sont concer­nées quelques pertes de termi­nai­sons nerveuses, je suis passé par cette séquence et m’en suis remis avant que cela ne prenne de l’im­por­tance en consom­mant de l’huile de noix de coco une C Café le matin ou dans la soupe et 3 à 4 gélules de Bacopa par jour (petite plante indienne) connue depuis 3000 ans sauf par notre médecine.
    Je suis convaincu que si dès les premiers symp­tômes de perte de mémoire , absence, de repère dans l’es­pace les gens consom­mant cette « recette » dont j’ai déjà évoquée en commen­taire l’Alz­hei­mer serait éloignée.

    Commentaire by prevost — 25 janvier 2018 #

  14. Meriem , bien souvent les sujets en démences sont en surdo­sage d’ago­nistes dopa­mi­ner­giques, réduire les prises, car la L dopa reste accro­chée sur les récep­teurs, voir avec le méde­cin si pas d’amé­lio­ra­tion recours aux anti­psy­cho­tiques. Suppri­mer le sucre , soda et calcium de vache en particulier.

    Commentaire by Leparigo — 25 janvier 2018 #

  15. bonsoir ma compagne est atteinte de parkin­son parfois elle divague un peu est ce la parkin­son ou alzhei­mer???? je ne sais pas si toutes les personnes atteintes de la parkin­son ont les memes symp­tomes lais­sez moi vos commen­taires merci
    PS dans l attente de trou­ver un nouveau traitement

    Commentaire by yann — 25 janvier 2018 #

  16. Clara, Boutara, pardon mais lisez mon commen­taire précé­dent et consul­tez un autre méde­cin car ces désa­gré­ments sont les consé­quences dit effets secon­daires de beau­coup de médi­ca­ments l’al­lo­pa­thiques qui ne retardent en rien la progres­sion de notre mala­die, seul une prise en main de notre patho­lo­gie avec un régime spéci­fique afin de suppri­mer les désordres et appor­ter l’es­sen­tiel a notre cerveau. 

    Je vous invite a parcou­rir les commen­taires qui donnes des piste pour nous en sortir.
    Bon été.

    Commentaire by limery — 11 août 2017 #

  17. Mon pere soufre de la mala­die depui 10ans ‚et depui puel­pue mois il presente une demance mais le medcin trai­tant ne donne pas l impor­tance. Il est sous (parki­nane ‚Revamed)il a des hallu­ci­na­tins avec agitation.

    Commentaire by Bouteraa Meriem — 8 août 2017 #

  18. mon père est atteint de la démence de Parkin­son, hier , il a débu­ter un trai­te­ment par le lepo­nex 25 et le dopé­zil 5.. il n’a pas pu dormir la nuit, ni se réveiller le jour..je doute du traitement..ces médi­ca­ments sont t’ils vrai­ment effi­caces pour retar­der l’évo­lu­tion de la mala­die… qq’un peut-​il m’aider ?

    Commentaire by clara — 21 juillet 2017 #

  19. Cora­lie .c est regret­table car bien souvent la démence est un des effets secon­daires graves causé par les médi­ca­ments chimiques avec peut etre un debut d alzhei­mer, ce que les neuro­logues par leur forma­tion ne veulent pas en conve­nir. Deman­dez a son mede­cin d’al­lé­ger les doses .
    Faites moi savoir la liste des médocs.
    A bien­tôt peut etre trou­ve­rons nous­vun début de solution.

    Commentaire by Limery — 12 juillet 2017 #

  20. Bonjour
    Mon papa qui vit chez ma soeur depuis le divorce de mes parents à parkin­son depuis 10 ans.
    Il est atteint de démence, devient agres­sif dès qu’on l’empêche de faire quelque chose pour sa sécurité.
    Nous l’avons fait hospi­ta­li­ser depuis 3 semaines suite à une crise très forte et depuis une semaine il ne supporte plus de rester là bas.
    Les méde­cins sont obli­ger de le mettre sous séda­tif et même de l’at­ta­cher pour sa sécu­rité et celle des autres malades et agents hospitalier.
    Nous vivons un cauche­mar et surtout lui.
    Avez vous déjà vécu une telle expérience ?

    Commentaire by Coralie Mantovani — 11 juillet 2017 #

  21. mon mari est atteint de la MP depuis une petite dizaine d années on vient de me dire qu il commence une démence parkin­son­nienne je viens de le mettre dans un centre de reva­li­da­tion afin d essayer de le remettre autant que faire se peut j ai très diffi­cile à vivre cette situa­tion car j aime passion­né­ment mon époux et il n est plus la que dois je faire pour accep­ter au mieux cette situa­tion en essayant de vivre encore de petits moments de bonheur

    Commentaire by michele — 10 février 2016 #

  22. Lorsque j’ai lu cet article, j’ ai reconnu exac­te­ment tous les compor­te­ments de mon mari. Il n’a que 61 ans et je vous dirais que ça fait au moins 2 @ 3 ans que la démence est installée.

    Son neuro­logue ne le délec­tait pas jusqu’à cette année mais le test qu’il lui fait passer (test d’en­vi­ron 5 minutes ou il lui fait execu­ter des dessins et lui pose des ques­tions de mémoire) est baisse de 28 @ 18 en un an.

    Je vu une très nette progres­sion en un an moi aussi.
    Jusqu’à présent, je réus­sis à compen­ser pour les diffi­cul­tés rencon­trées au quoti­dien mais il est telle­ment inac­tif et endormi dans le jour contrai­re­ment a la nuit ou son sommeil est perturbé et il se leve pour manger. Il a des hallu­ci­na­tions jour et nuit.

    Ce qui m’in­quiète un peu c’ est qu’on n’a procède à analyses de labo­ra­toire, ni à des test neuro psycho­lo­giques ou elec­tro­phy­sio­lo­giques et autres tests mentionnes, ainsi que des tests d« image­rie médicale.

    Croyez-​vous qu’il s’avè­re­rait utile d’ en passer pour en connaître la sévérité,
    Son neuro­logue m’a dit qu’il n y avait pas de tests autres utiles passer

    Si oui, est ‑que je peux les deman­der et même les exiger

    Je peux m » absen­ter quelques heures et je ne vais pas loin. Je l’ap­pelle pour qu il prenne ses pilules et l’aide dans plusieurs acti­vites de son Quotidien

    Je me demande s’il n’est pas déjà au stade modéré à avance delà maladie

    Merci

    Commentaire by Carmen poirier — 10 septembre 2013 #

  23. Les hallu­ci­na­tions du Parkin­so­nien provoquent l’in­quié­tude du patient et de son entou­rage. J’en ai été victime à partir de 2004, en moins grave que votre mère appa­rem­ment. Mon neuro­logue m’avait alors pres­crit Lépo­nex, que je prend depuis cette date avec succès.
    Lépo­nex ( molé­cule Cloza­pine ) a en France des condi­tions assez strictes de dispen­sa­tion et d’uti­li­sa­tion ( voir article du 16 juillet 2012 sur le site GP29 )
    Courage !

    Commentaire by Jean Pierre Lagadec — 31 janvier 2013 #

  24. votre article m’a beau­coup inté­ressé ma mere souffre d’un Parkin­son depuis 16 ans sa mala­die se complique elle ne dort plus, a des hallu­ci­na­tions voit un chat noir, ou une personne qui imagi­naire qui passe son mede­cin nous à pres­crit temes­tat en cas de besoin et risper­dal le soir que je viens de démar­rer il y a deux jour mais les risques de ce dernier m’inquiètent pouvez-​vous m’ai­der j’ha­bite au maroc
    Merci

    Commentaire by Ajana — 31 janvier 2013 #

  25. Bonjour,
    C’est la 1ère fois que je trouve quelque chose sur la démence reliée au Parkin­son et je vous informe que votre texte m’a gran­de­ment rassuré. Car, mon père souffre du Parkin­son depuis 10 ans et ça fait 2 à 3 ans que ma mère et moi trou­vons qu’il est entrain de décla­rer une démence car il a quelques fois des hallu­ci­na­tions, il ne peut pas faire 2 choses à la fois quand on lui demande, il a aussi de la diffi­culté à arti­cu­ler et à répondre aux ques­tions qu’on lui pose et surtout, il ne veut plus sortir, il se repli. Nous en avions parlé à son neuro­logue et il nous répon­dait qu’il n’avait pas de démence car sa réso­nance magné­tique ne démon­trait rien. Mais avec ce que je viens de lire, c’est certain qu’à son prochain rende-​vous, nous allons lui expo­ser les faits. Merci encore

    Commentaire by Lucie Bédard — 5 juillet 2011 #

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