Bilan des deux boursières soutenues par CECAP (1/2)
Publié le 27 décembre 2013 à 09:17Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°55
Bilan de la thèse d’Elodie Mathieux : Le rejet suite à la greffe intracérébrale : étude de la réponse humorale et propriétés immunosuppressives des cellules souches.
La maladie de Parkinson est caractérisée par la dégénérescence progressive et sélective des neurones dopaminergiques de la voie nigrostriatale. La destruction des neurones dopaminergiques de la substance noire a pour conséquence une diminution de la sécrétion de dopamine au niveau du striatum.
Actuellement, il n’existe pas de traitement curatif de la maladie, mais différents traitements symptomatiques sont utilisés. L’administration par voie orale de L‑DOPA (lévodopa), précurseur de la dopamine capable de traverser la barrière hématoencéphalique, est l’un des traitements les plus couramment prescrits. Un inconvénient majeur de la prise de L‑DOPA est l’apparition, au bout de quelques années, de dyskinésies (mouvements anormaux). Une autre stratégie basée sur la stimulation électrique du noyau sous-thalamique montre une efficacité sur les troubles moteurs dans la plupart des cas, mais les risques chirurgicaux et les critères d’inclusion en font une opération accessible à un très faible nombre de patients. De plus, de nombreux symptômes ne sont pas corrigés par ces thérapies.
Aussi, il apparaît important de poursuivre les recherches sur les stratégies restauratrices, notamment la greffe intracérébrale de neuroblastes dopaminergiques fœtaux.
Des neuroblastes mésencéphaliques issus de fœtus humains (7 – 9 semaines) et transplantés dans le cerveau de patients parkinsoniens ont conduit à des améliorations cliniques basées, entre autres, sur la production de dopamine par les neurones greffés. Cependant, le recours à des cellules fœtales humaines est freiné par des considérations éthiques et logistiques qui limitent l’accès à ces greffes. Il est apparu alors nécessaire de se tourner vers d’autres sources cellulaires et notamment les cellules d’origine porcine.
En effet, le porc présente de nombreux avantages pour la xénotransplantation : un grand nombre d’embryons à chaque portée, une facilité d’élevage, la possibilité de contrôler la reproduction des animaux et de pouvoir pratiquer des manipulations génétiques. De plus, les neuroblastes issus de fœtus porcins émettent des neurites de longueurs similaires à celles observées chez l’Homme. Une survie des cellules greffées, une réinnervation du striatum ainsi qu’une récupération des fonctions motrices ont été observées lors d’essais cliniques menés chez certains patients parkinsoniens traités par des immunosuppresseurs (molécules permettant de limiter l’activité du système immunitaire). Mais le problème rencontré reste le rejet de ces greffes.
En effet, en l’absence d’immunosuppresseur comme la cyclosporine A, les greffes de neuroblastes porcins dans le striatum de rat sont systématiquement rejetées au bout de 7 – 8 semaines. Les traitements par des immunosuppresseurs prolongent la survie de la greffe, mais de manière transitoire. De plus, utilisés à fortes doses, ceux-ci entraînent des effets secondaires, notamment une toxicité rénale. Il est donc important de comprendre et d’étudier les mécanismes en cause dans le rejet pour envisager une survie à long terme de la greffe.
Diverses études ont mis en évidence un rôle important de la réponse immunitaire cellulaire dans le rejet. En effet, en l’absence d’immunosuppresseur, on observe vers 7 à 8 semaines une forte infiltration de la greffe par des lymphocytes T, des cellules dendritiques et des cellules microgliales activées.
Outre la réponse cellulaire, il a été observé un dépôt d’anticorps et de complément au niveau du greffon. Cette observation suggère une réponse humorale caractérisée par la production d’anticorps dirigés contre la greffe, qui, à ce jour, a été très peu étudiée.
Une partie de mon travail de thèse au sein de l’INSERM U1064 de Nantes a eu pour but de caractériser le rôle de la réponse humorale dans le rejet des xénogreffes intracérébrales.

Evolution de la production d’anticorps au cours des différents stades du rejet.
Les anticorps produits suite à la greffe vont venir se fixer sur les cellules porcines du greffon et le détruire. Nous avons pu mettre en évidence que la production d’anticorps augmentait en fonction du délai post greffe et du statut de la greffe. En particulier, une forte concentration d’anticorps est observée dans le sérum de rats pour lesquels la greffe est rejetée. Les anticorps accompagnés d’une activation du complément seraient cependant, en premier lieu, attirés au sein de la greffe avant d’être détectés dans le sérum.
Evolution de la production d’anticorps au cours des différents stades du rejet.
Les anticorps vont préférentiellement venir se fixer sur les neurones et en moindre mesure sur les astrocytes. De plus, la survie des greffes de cellules mésencéphaliques porcines est augmentée chez des rats ne possédant plus d’anticorps. Ces résultats suggèrent un rôle important de la réponse humorale dans le rejet des xénogreffes intracérébrales.
Afin de limiter le rejet des greffes intracérébrales, une autre partie de mon travail a été d’étudier les propriétés immunosuppressives des cellules souches et en particulier des cellules souches neurales (CSN). Les CSN sont des cellules multipotentes capables d’auto-renouvellement et de prolifération. Elles peuvent générer les trois types cellulaires principaux du système nerveux central que sont les neurones, les astrocytes et les oligodendrocytes. Les CSN vont pouvoir être cultivées sous forme de neurosphères.

Cellules souches neurales de rat sous forme de neurosphères.
Nous avons pu démontrer que les CSN de rat inhibaient la prolifération des cellules T de rat de manière dose dépendante. Les CSN agissent alors par l’intermédiaire de facteurs solubles dont l’hème oxygénase.

Inhibition de la prolifération des cellules T de rat par les cellules souches neurales de rat de manière dose dépendante.
Les CSN possèdent donc des propriétés immunosuppressives qui permettraient de limiter le rejet lors de greffes intracérébrales tout en diminuant l’utilisation d’immunosuppresseurs systémiques.
L’ensemble des résultats de ma thèse ouvre des nouvelles perspectives pour parvenir à contrôler le rejet de xénogreffes intracérébrales. En l’occurrence, on pourrait espérer qu’une immunosuppression locale, basée sur la transplantation de cellules souches associées à une administration systémique d’immunosuppresseurs ciblant les réponses humorales et cellulaires, soit suffisamment efficace pour assurer la survie à long terme de cellules neurales xénogéniques dans un cerveau.
Je tenais à remercier tous les membres de l’association CECAP pour leur soutien tout au long de ma thèse.
Rédigé par Elodie Mathieux
[vu sur le net] Résultats de l’enquête nationale à destination des aidants
Publié le 23 décembre 2013 à 08:16Article trouvé sur le site de l’association française des aidants
Dans le cadre de sa mission d’utilité sociale, l’Association Française des AIDANTS a lancé une enquête, de juin à octobre 2013, afin d’identifier la vision des aidants de leur rôle vis-à-vis de leurs proches, et la perception du regard que la société porte sur eux. Une façon de se rapprocher de ces aventures humaines pour mieux comprendre quelles peuvent être les attentes et les messages que les aidants souhaitent faire passer auprès des pouvoirs publics et de la société en général.
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Cure de nicotine contre la maladie de Parkinson
Publié le 20 décembre 2013 à 07:42Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°55
Article paru dans Sud-ouest Dimanche du 10 novembre 2013
Isabelle Castillon part en croisade pour défendre la nicotinothérapie.
Isabelle Castillon vit à Bayonne. Atteinte depuis 1987, elle participe au protocole unique de nicotinothérapie en France. Et ça va mieux ! La maladie de Parkinson a eu tort de s’en prendre à Isabelle Castillon. Elle est tombée sur un os. Car cette enseignante, installée à Bayonne, n’est pas du genre à se laisser attraper sans broncher. À 64 ans, elle participe en tant que patiente à un protocole thérapeutique unique en France. Totalement alternatif, révolutionnaire, archicontroversé, puisqu’il fait appel à la nicotine. Un mot est né de cette initiative médicale : nicotinothérapie.
Retour en 1987. Isabelle se souvient : « Je me dédouble, je m’entends parler, avec un écho, parfois je me mets à trembler. Je ne dors plus. En consultation, je vois un neurologue, il me prescrit un anxiolytique. Mais en 1992, je plonge. Trois semaines sans pratiquement dormir. Je suis hospitalisée pour dépression pendant un mois et j’en sors toujours aussi mal. Mes problèmes physiques se multiplient. C’est un neurologue que je croise qui va me diagnostiquer : Parkinson. »
Panique et soulagement. Isabelle sait ce qu’elle a ; elle est désormais prise en charge et traitée à la L‑dopa. « Je découvre ce que signifie l’expression lune de miel. La L‑dopa dope… pendant dix ans en moyenne », poursuit-elle. Puis, Isabelle Castillon la battante, toujours prof, est rattrapée par les symptômes de Parkinson qui se bousculent. « Mon écriture se rétrécit, je marche de plus en plus lentement, des difficultés d’élocution, tremblements, dyskinésie (mouvements involontaires). J’ai peur de sortir, je me renferme. J’ai honte qu’on me juge, car on me juge. Je prends des renseignements partout, pour aller mieux. »
Quatre ans de patience :
Parkinson est une maladie neurodégénérative, Isabelle sait qu’il faudra accepter la dégringolade. Elle se rebelle. « Un jour, en 2000, je découvre un reportage sur CNN. Il est question de nicotine dans le traitement de Parkinson. Je note le nom du médecin : Gabriel Villafane, de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil (94). Je vais batailler des mois pour obtenir un rendez-vous. La débrouille et le bouche-à-oreille. Je débarque à Mondor avec mon dossier médical, mais il faudra encore quatre ans de patience avant d’obtenir mes premiers patchs de nicotine pure. » DAT-Scan, un scanner qui date les courts-circuits du cerveau générés par la maladie, examens du cœur, tension, sang. Le corps et le cerveau d’Isabelle sont passés au crible. En 2009, elle obtient enfin la première série de patchs.
« Il faut le positionner en bas de la colonne, dans le dos. La nicotine diffuse alors jusqu’au cerveau », précise la patiente. Les effets positifs du traitement se font sentir au bout de quelques semaines. La maladie ne disparaît pas, mais les symptômes régressent. Isabelle demeure sous L‑dopa, bien entendu. « J’ai recommencé à marcher, je ne tremble plus, la dyskinésie a pratiquement disparu, je suis plus active, le moral revient. Je vois des gens, je sors et, surtout, je me moque éperdument du regard des autres. La joie de vivre à nouveau… Aujourd’hui, je m’occupe de mes petits-enfants, je chante. Sans la nicotine pure, je serais à ce jour en fauteuil roulant. J’ai diminué de moitié la dose de mes médicaments. Ce fut un parcours du combattant, et aujourd’hui encore, je me heurte à l’incrédulité de mes médecins, des neurologues, des pharmaciens. Je suis considérée comme une malade récalcitrante. »
Thérapie ostracisante :
Des médecins l’accusent de s’adonner à une thérapie « ostracisante » parce que les patchs ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale. « Que font les autres, ceux qui ne peuvent pas payer ? » entend-elle. Les pharmaciens lui font la morale. Certains lui ont même asséné : « À ce prix, mieux vaut reprendre les cigarettes, c’est moins cher ! » En effet, deux boîtes de patchs par mois reviennent à 80 euros (1). Pas à la portée de toutes les bourses…
D’un autre côté, les réseaux sociaux bouillonnent, les malades de Parkinson cherchent des solutions pour aller mieux, ils veulent tout tenter, s’intéressent de près aux travaux de recherche. Alors, Isabelle Castillon est partie en croisade, elle mesure que tout le monde n’a pas son tempérament têtu. « Si je me fais connaître, c’est pour qu’un réseau défendant la nicotinothérapie se monte. Je sais que tous les patients ne peuvent pas être traités, parce que le traitement répond à des critères exigeants. Il n’est pas sans risque s’il est prescrit n’importe comment. Il faut savamment doser le taux de nicotine. » Les patients suivis à l’hôpital Mondor de Paris sont en train de se fédérer pour monter un collectif pro-nicotinothérapie. Et inciter le réveil des pouvoirs publics qui, enfin, cautionneront le médicament.
(1) À ce jour, les patchs de nicotine sont remboursés à hauteur de 50 euros par an.
Interview de Gabriel Villafane, neurologue à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil
C’est lui qui a mis au jour ce traitement alternatif de la maladie de Parkinson. Neurologue au sein de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, Gabriel Villafane a, en 1999, avec son chef de service, le professeur Pierre Cesaro, déposé une demande de brevet sous cette appellation : « Utilisation de la nicotine à l’état pur comme médicament pour les maladies neurodégénératives, notamment la maladie de Parkinson… »
Sud-ouest Dimanche : Comment avez-vous pensé à utiliser la nicotine pure ?
Gabriel Villafane : J’ai observé des malades, notamment psychiatriques, placés sous neuroleptiques qui devenaient accros à la cigarette. Alors qu’ils étaient atones, lorsqu’ils fumaient, ils retrouvaient une énergie, le temps de la cigarette. J’ai fait le lien : la nicotine. Nous avons déposé un brevet en1999, au nom de l’Assistance publique. Il est protégé durant vingt ans. En 2009, la validité scientifique du brevet a été validée.
S‑O : Combien de patients avez-vous suivis avec ce traitement ?
G. V. : À ce jour, plus de 1 000 personnes. Le plus ancien est sous nicotine pure transdermale (NEP) depuis douze ans. Il va bien. Le premier protocole a permis à six patients de tenter cette aventure. En 2004, face à une arrivée massive de demandes de patients, nous avons été débordés. Il a fallu créer un second protocole, intitulé « protocole compassionnel ». Nous assurons le diagnostic, les examens, la prescription, mais les patients doivent payer la NEP, pas remboursée.
S‑O : Pourquoi cette thérapie alternative, alors qu’elle semble porter ses fruits, tarde-t-elle à trouver plus d’écho ?
G. V. : D’abord, elle n’est pas politiquement correcte. Le message autour de la nicotine est complexe. D’un côté, on connaît les dégâts du tabac, de l’autre, on veut faire entendre que la nicotine peut être un médicament… Il ne s’agit pas de fumer, la cigarette est un danger. La nicotine à l’état pur n’est pas dangereuse. Elle est un neuro-modulateur des neurones du système nerveux central. Un neurotransmetteur qui intervient au niveau de la synapse neuronale, des récepteurs de la dopamine dans le cas de Parkinson. Les observations cliniques et d’imagerie (DAT-Scan) montrent un ralentissement de la maladie. Alors, pourquoi ce blocage ?
Aujourd’hui, on soigne Parkinson avec des traitements chimiques et chirurgicaux. En dehors de la NEP, aucun traitement n’agit aussi bien sur l’évolution de la maladie. À ce jour, nous n’arrivons pas à obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) des patchs nicotiniques, qui sont conçus pour un usage transitoire et seulement à vocation de sevrage tabagique. Du coup, les parkinsoniens que nous traitons sont quasi clandestins… Aux États-Unis, en Allemagne, les publications sur les vertus de la nicotine dans le traitement de Parkinson affluent. Ils vont nous doubler et déposer des brevets de patchs nicotiniques pour Parkinson avant nous.
Trop de lenteurs administratives, de peurs.
Recueilli par Isabelle Castera i.castera@sudouest.fr
Transmis par Dominique Bonne dominique.bonne@gmail.com
Éditorial
Publié le 19 décembre 2013 à 07:49Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°55
La nicotinothérapie :
Nous nous sommes engagés dans une action pour faire reconnaître et diffuser la Nicotinothérapie. En effet, nous en avions parlé dans le précédent numéro, cette pratique thérapeutique est en œuvre depuis plus de dix ans (cf. le numéro 3 du P. I. de mars 2001) et elle apporte de réels progrès pour les « rares élus » qui en bénéficient. Malheureusement elle demeure très discrète, voire clandestine, et pratiquée dans un seul lieu sous la direction du docteur Villafane au CHU Henri Mondor à Créteil.
Pourquoi cette absence de diffusion ? C’est toute la question que nous nous posons : pourquoi une pratique thérapeutique, dont les résultats semblent permettre de réduire considérablement la consommation médicamenteuse, ne bénéficie-t-elle pas d’une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) pour les patchs de nicotine ?
A cela plusieurs réponses et pistes de réflexions : « Tout d’abord, elle n’est pas politiquement correcte. Le message autour de la nicotine est complexe. D’un côté, on connaît les dégâts du tabac, de l’autre, on veut faire entendre que la nicotine peut être un médicament… Il ne s’agit pas de fumer, la cigarette est un danger. La nicotine à l’état pur n’est pas dangereuse. Elle est un neuro-modulateur des neurones du système nerveux central. Un neurotransmetteur qui intervient au niveau de la synapse neuronale, des récepteurs de la dopamine », explique le docteur Villafane dans une interview au journal Sud-ouest.
Mais peut-être y a‑t-il une réponse plus prosaïque : les intérêts financiers en jeu tant des laboratoires pharmaceutiques que des équipes chirurgicales engagées dans la Neurostimulation Cérébrale Profonde (NCP) ? C’est en toute connaissance des conséquences de nos propos que nous évoquons cette interrogation : il y va d’économie substantielle pour les régimes d’assurance médicale !
Certes, tous les patients ne sont pas concernés par cette pratique mais, pour les malades susceptibles d’en bénéficier, il s’agit là d’une thérapie non agressive qui réduit les risques de dyskinésies bien connues liées à la L‑dopa.
Le bilan du fond de Recherche CECAP :
Nos deux boursières de cette année nous présentent leur bilan certes un peu ardu à la lecture mais ô combien optimiste pour l’avenir des recherches sur la maladie ! Vos dons permettent des avancées modestes certes mais importantes pour la connaissance de notre partenaire imposé&nbnsp;: Parkinson.
Témoignage :
Et puis, un témoignage bouleversant que nous avons voulu vous présenter pour dire à nos accompagnants, quand nous en avons ( !), combien leur rôle est important pour nous les patients et mérite d’être valorisé y compris par les Pouvoirs Publics car ils représentent une économie, là aussi, substantielle pour la collectivité !
Permettez-moi, enfin, de vous souhaiter tous mes vœux de bonheur et de santé pour cette nouvelle année 2014 !
Jean GRAVELEAU graveleau.jean2@orange.fr
[vu sur le net] Maladie de Parkinson, le coupable est démasqué
Publié le 17 décembre 2013 à 10:33Article trouvé sur le site de l’INSERM
Injectée en petites quantités dans le cerveau d’animaux, la forme « malade » d’une protéine nommée α‑synucléine déclenche à elle seule la neurodégénérescence associée à la maladie de Parkinson. C’est ce que viennent de démontrer des chercheurs de l’Inserm.
Pour lire l’article dans son intégralité, suivez ce lien…
La révolution des cellules souches
Publié le 09 décembre 2013 à 08:30Ce film est encore visible ici ou là, et pour combien de temps ?
La Révolution des Cellules Souches von 007ovni
(Dailymotion)
Propulsé par WordPress et le thème GimpStyle créé par Horacio Bella. Traduction (niss.fr).
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