Ne pas être qu'un "patient" ...

Conférence à Treffieux (44) du Professeur Pascal DERKINDEREN du C.H.U. de Nantes

Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n° 21 – juin 2005

Confé­rence donnée dans le cadre de la Jour­née Mondiale Parkin­son d’Avril 2005

Devant envi­ron 90 personnes, le Profes­seur DERKINDEREN, avec beau­coup de simpli­cité et un langage à la portée de tous, nous a entre­te­nus de la mala­die de Parkin­son et a répondu complai­sam­ment aux ques­tions posées par l’auditoire.

Conti­nuer à lire Confé­rence à Tref­fieux (44) du Profes­seur Pascal DERKINDEREN du C.H.U. de Nantes…

Stimulation du cortex moteur dans le traitement de la forme évoluée de la maladie de Parkinson

Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n° 21 — juin 2005

Le docteur Stéphane PALFI de l’Unité Mixte CEA – CNRS – Hôpi­tal Henri Mondor – CRETEIL, promo­teur de la recherche sur la stimu­la­tion corti­cale nous commu­nique des infor­ma­tions sur cette technique.

De nombreuses études cliniques et expé­ri­men­tales tendent à montrer que des anoma­lies de fonc­tion­ne­ment du cortex moteur pour­raient être respon­sables des diffé­rents symp­tômes obser­vés dans la mala­die de Parkin­son. Avant de propo­ser une éven­tuelle appli­ca­tion clinique chez l’homme, une étude expé­ri­men­tale dans un modèle primate de la mala­die de Parkin­son a été menée afin d’étudier l’innocuité, l’efficacité et les méca­nismes d’action de la stimu­la­tion corti­cale implantée.

Dans cette étude expé­ri­men­tale, les effets fonc­tion­nels de la stimu­la­tion du cortex furent analy­sés au moyen d’une combi­nai­son d’approches compor­te­men­tales, d’imagerie céré­brale (TEP ou tomo­gra­phie par émis­sion de posi­trons, IRM ou image­rie par raison­nance magné­tique) et enfin d’électrophysiologie (tech­niques spéci­fiques d’enregistrement unicel­lu­laire de l’activité neuronale)

Des résul­tats encou­ra­geants ont été obtenus :

- La stimu­la­tion du cortex primaire moteur améliore signi­fi­ca­ti­ve­ment les symp­tômes de la mala­die de Parkin­son tels que l’initiation des mouve­ments et la vitesse des mouvements

- L’activité méta­bo­lique des zones du cortex impli­quées dans l’élaboration des mouve­ments (en parti­cu­lier l’aire motrice supplé­men­taire) augmente durant la stimu­la­tion du cortex moteur primaire

- L’activité neuro­nale des noyaux gris profonds, affec­tée par la mala­die, se norma­lise lors de la stimu­la­tion du cortex

- Enfin aucun effet secon­daire n’a été constaté durant cette étude expérimentale.

Appli­ca­tions cliniques

Les résul­tats de cette étude expé­ri­men­tale pré-​clinique sont encou­ra­geants. Ils permettent d’envisager la mise en œuvre d’un trai­te­ment, peu inva­sif, par stimu­la­tion du cortex, une struc­ture située en surface du cerveau. Elle pour­rait, par consé­quent, être acces­sible à un plus grand nombre de patients atteints de la forme évoluée de la mala­die de Parkinson.

Ces résul­tats consti­tuent donc les bases fonda­men­tales d’une appli­ca­tion clinique chez l’homme pour la mala­die de Parkin­son, tout en sachant qu’une étude pilote sur les para­mètres de stimu­la­tion à utili­ser chez l’homme et sur le reten­tis­se­ment sur les symp­tômes de la mala­die reste à faire.

Par ailleurs, il faut signa­ler que cette étude expé­ri­men­tale permet d’envisager de nouvelles pers­pec­tives pour le trai­te­ment de symp­tômes obser­vés dans d’autres mala­dies neuro­lo­giques en modu­lant l’activité des struc­tures céré­brales profondes par l’intermédiaire d’une stimu­la­tion céré­brale de surface.

Docteur Stéphane PALFI

Attribution d’une bourse À un jeune chercheur du CNRS de Marseille Par le fond de « CECAP Recherche »

Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n° 21 — juin 2005

Etudiant en docto­rat de Neuros­ciences au sein du labo­ra­toire « Inter­ac­tions Cellu­laires, Neuro­dé­gé­né­res­cence et Neuro­plas­ti­cité  » IC2N dirigé par le profes­seur André NIEOULLON du CNRS UMR 6186 de Marseille, Abid OUESLATI a demandé l’aide de CECAP Recherche pour un soutien financier.

En effet, il se trouve malheu­reu­se­ment, comme nombre de jeunes cher­cheurs moti­vés, sans aucune ressource pour conti­nuer ses recherches sur la mala­die de Parkin­son, travaux qui vont prochai­ne­ment faire l’objet d’une publication.

L’objet de la recherche

Il s’agit de « L’étude des réor­ga­ni­sa­tions anatomo-​fonctionnelles induites dans les ganglions de la base par stimu­la­tion à haute fréquence du noyau subtha­la­mique dans un modèle de la mala­die de Parkin­son, chez le rat  ».

En fait, comme nous le précise le profes­seur NIEOULLON, elle « aborde la ques­tion très impor­tante des limites théra­peu­tiques de la mala­die de Parkin­son, en parti­cu­lier en rapport avec les effets secon­daires de la L‑DOPA. Dans ce contexte, il est notam­ment impor­tant de vali­der d’autres approches théra­peu­tiques et de comprendre plus avant plus préci­sé­ment ici les méca­nismes de la stimu­la­tion à haute fréquence du noyau sous-​thalamique, qui concerne de nombreux patients.  »

L’intérêt de cette recherche et la quasi-​impossibilité de trou­ver, dans l’immédiat, le finan­ce­ment lui permet­tant de pour­suivre ses travaux de recherche, ont conduit l’assemblée géné­rale perma­nente de CECAP à soute­nir ce projet. Il y a, cepen­dant, un bon espoir qu’une bourse univer­si­taire puisse lui être allouée à la rentrée prochaine.

Une orien­ta­tion poli­tique de CECAP Recherche

Cette déci­sion entre plei­ne­ment dans les orien­ta­tions poli­tiques de CECAP Recherche qui visent à soute­nir par des bourses, les jeunes cher­cheurs qui autre­ment seraient contraints d’interrompre leurs travaux.

Il est, en effet, plus facile en France de trou­ver de lourds finan­ce­ments pour des équi­pe­ments consé­quents que pour la « subsis­tance » de jeunes cher­cheurs débu­tants et ne pouvant pas immé­dia­te­ment prétendre aux bourses universitaires.

Ceci nous appa­raît domma­geable et c’est la raison pour laquelle les fonds collec­tés au travers de CECAP Recherche nous semblent devoir être alloués en prio­rité dans cette direction.

Bien entendu, nous prenons la précau­tion de véri­fier autant qu’il nous est possible le contenu de ces recherches et d’avoir les cautions morales et scien­ti­fiques de direc­teurs de recherche recon­nus dans le milieu scientifique.

Un enga­ge­ment en retour

Le jeune bour­sier s’engage, en retour, à nous tenir régu­liè­re­ment infor­més de l’évolution de son travail et nous donner la primeur des résul­tats de ses recherches en même temps qu’il les publie dans les revues spécialisées.

Nous esti­mons ainsi répondre à l’attente des dona­teurs qui demandent, avec raison, que leurs dons ne soient pas distri­bués dans n’importe quelle condition.

Rédigé par Jean GRAVELEAU Sous contrôle de CECAP Recherche

La Stimulation corticale : un réel progrès dans la thérapie…

Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n°21 – juin 2005

Les travaux de recherche menés sur la stimu­la­tion du cortex sous la direc­tion du docteur PALFI nous inté­ressent au plus haut point.

En effet jusqu’ici, « il était géné­ra­le­ment admis que seules certaines régions profondes du cerveau – les noyaux gris – étaient respon­sables de l’apparition des signes cliniques moteurs obser­vés dans la mala­die de Parkinson.Or des recherches expé­ri­men­tales et cliniques ont récem­ment montré qu’une région située en péri­phé­rie – le cortex moteur – contri­buait égale­ment à la genèse de ces signes cliniques », expli­quait le docteur PALFI dans l’interview
reprise par le jour­nal Le Monde du 3 décembre 2004.

« Dès lors, il était tentant d’avoir recours à la stimu­la­tion élec­trique par l’intermédiaire d’une élec­trode placée direc­te­ment au contact du cortex moteur, à la surface du cerveau. Avant de propo­ser une éven­tuelle appli­ca­tion clinique chez l’homme, l’équipe fran­çaise a étudié l’innocuité, l’efficacité et les méca­nismes d’action de la stimu­la­tion corti­cale chez sept babouins sur lesquels on avait induit, en provo­quant une lésion céré­brale spéci­fique, une patho­lo­gie équi­va­lente à la forme sévère de la mala­die de Parkinson »

Des expé­riences ont été prati­quées sur 7 babouins avec des résul­tats encou­ra­geants. Les cher­cheurs ont constaté : qu’une stimu­la­tion du cortex de 30 minutes, au moyen d’une élec­trode placée sous le crâne, améliore de manières signi­fi­ca­tive les symp­tômes de la mala­die de Parkinson.

Ce nouveau proces­sus de stimu­la­tion évitera les risques encour­tus lors de la stimu­la­tion céré­brale profonde du noyau sous-thalamique.

Rappe­lons que ces 2 tech­niques n’agissent que sur les symp­tômes de la mala­die, elles ne guérissent pas.

Jean GRAVELEAU

Informations sociales : La carte d’invalidité

Le Parkin­so­nien indé­pen­dant n° 21 — juin 2005

Une prise en charge en ALD par la Sécu­rité Sociale n’ouvre pas droit à la carte d’in­va­li­dité. La carte d’in­va­li­dité est déli­vrée par le préfet, sur demande à la COTOREP, seule compé­tente pour évaluer le taux d’incapacité des personnes adultes handicapées.

La Demande
Il faut reti­rer un dossier soit au Service Social de votre commune (CCAS), soit direc­te­ment à la COTOREP.
Le formu­laire du certi­fi­cat médi­cal doit être rempli de préfé­rence par votre neuro­logue (il sera sans doute mieux pris en compte), ou bien par votre méde­cin traitant.
Le dossier complet peut être déposé à la mairie de votre lieu de rési­dence, ou adressé à la COTOREP. Le délai de trai­te­ment d’un dossier est de 6 mois à 1 an.

Le deman­deur devra passer devant un méde­cin expert. Pour la mala­die de Parkin­son, il est impor­tant de bien faire état des blocages et autres symp­tômes que vous rencon­trez dans la vie quotidienne.
La COTOREP évalue le taux d’in­ca­pa­cité perma­nente sur la base d’un barème d’évaluation, et fixe la durée d’attribution de la carte d’invalidité. Une noti­fi­ca­tion de déci­sion est adres­sée à l’intéressé.
Si le taux d’invalidité est égal ou supé­rieur à 80%, une carte d’in­va­li­dité est délivrée.
Si la déci­sion est néga­tive, vous pouvez contes­ter la déci­sion dans un délai de 2 mois en appor­tant des précisions.
En cas d’évo­lu­tion de la mala­die, il est possible de deman­der la révi­sion de votre dossier.
La déli­vrance de la carte d’in­va­li­dité n’est pas soumise à condi­tion de ressources.
La carte d’invalidité n’ouvre aucun droit à une pension ou une allocation.
La demande de renou­vel­le­ment doit être faite selon la même procé­dure, 6 mois avant la date d’échéance de vali­dité de la carte.
Des mentions parti­cu­lières peuvent ouvrir certains droits tels que « station pénible debout » ou « tierce personne » en cas de néces­sité prou­vée d’une tierce personne pour l’accomplissement des actes ordi­naires de la vie.

LES AVANTAGES DE LA CARTE D’INVALIDITE

- octroi d’une demi-​part supplé­men­taire pour le calcul de l’im­pôt sur le revenu
 — exoné­ra­tion de la taxe d’ha­bi­ta­tion et de la rede­vance TV sous certaines condi­tions (béné­fi­ciaire de l’A.A.H. (allo­ca­tion adulte handi­capé), du FNS et non imposable).
 — des places réser­vées dans les trans­ports en commun avec la mention « station debout pénible »
 — gratuité ou réduc­tion du titre de trans­port pour l’accompagnant d’une personne titu­laire d’une carte d’invalidité avec la mention « tierce personne »
 — la possi­bi­lité de deman­der le maca­ron GIC déli­vré par la DDASS. Il permet à son titu­laire ou l’ac­com­pa­gna­teur de la personne handi­ca­pée d’uti­li­ser des station­ne­ments réser­vés sur la voie publique et dans les parcs de station­ne­ment. L’ob­ten­tion du maca­ron GIC est attri­bué avec le certi­fi­cat d’un méde­cin expert qui atteste d’une impos­si­bi­lité de se dépla­cer à pied.

REMARQUES :
La déli­vrance de la carte d’in­va­li­dité n’est pas soumise à condi­tion de ressources.
La carte d’invalidité n’ouvre aucun droit à une pension ou une allocation

Fran­çoise BELLIOT-NIGET

La Macuna Pruriens (suite)

Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n° 21 – juin 2005

Notre article paru dans le numéro précé­dent a suscité de nombreuses interrogations.

Nous allons tenter d’y appor­ter quelques réponses :
–Tout d’abord, nous n’avons pas nous-​même essayé cette plante.
–Nous avons fait la demande à un herbo­riste mais il ne nous a pas répondu. Certains lecteurs l’ont recher­chée et ont trouvé des réfé­rences sur Internet.
–Si vous utili­sez Inter­net, tapez « macuna pruriens » sur Google et vous trou­ve­rez 540 références… !
–La revue « Plantes et Santé  » est éditée par Santé Port-​Royal (éditeur de Pratiques de Santé, Santé Yoga). 4.20 € le numéro.

Abon­ne­ment : DIP Plantes et Santé 18 – 24, quai de la Marne 75164 PARIS CEDEX 19 — Tel : 01 40 46 00 46 — E‑mail : plantesetsante@noos.fr

Notre but n’était pas de propo­ser une « nouvelle théra­pie » mais de vous faire décou­vrir qu’il existe, de part le monde, d’autres méthodes de soins tradi­tion­nels et peut-​être aussi aler­ter tel ou tel cher­cheur qui pour­rait s’intéresser à ces techniques.

D’ailleurs les infor­ma­tions recueillies font montre d’une grande prudence quand à l’utilisation de ce produit, indi­quant des risques de troubles simi­laires à ce que nous obser­vons par ailleurs avec la phar­ma­co­pée qui nous est familière.

Enfin, notre « déon­to­lo­gie » nous impose de ne pas faire de publi­cité quel­conque pour un produit ou pour un établissement.

Jean GRAVELEAU

Le resvératrol au secours des neurones qui dysfonctionnent

Paru dans Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n° 21 – juin 2005

L’équipe Avenir de l’INSERM coor­don­née par Chris­tian NERI vient de montrer que l’activation de certaines enzymes – déjà connues pour leurs effets protec­teurs vis-​à-​vis du stress cellu­laire et impli­quées dans la longé­vité – protège la cellule neuro­nale de la toxi­cité induite par la hunting­tine, la protéine de la mala­die de Huntington.

Ces résul­tats ont été possibles grâce à l’approche origi­nale utili­sée par les cher­cheurs, fondée sur l’étude de deux modèles animaux complé­men­taires : le ver Caeno­rhab­di­tis elegans sur lequel des tests in vivo ont été effec­tués, et la souris dont une caté­go­rie de neurones situés dans le cerveau ont été analy­sés in vitro.

Ce travail est publié dans la revue Natura Gene­tics.

Le néma­tode C. elegans a été utilisé comme modèle trans­gé­nique car il faci­lite le suivi in vivo – notam­ment au plan géné­tique – des effets neuro­naux induits par les substances à tester. Les cher­cheurs de l’INSERM se sont inté­res­sés au poten­tiel neuro­pro­tec­teur de certaines enzymes, les sirtuines, qui régulent l’activité des protéines cibles en enle­vant des grou­pe­ments acétyles (un arran­ge­ment parti­cu­lier de quelques atomes d’oxygène, de carbone et d’hydrogène) de certains acides aminés (les compo­sants des protéines).

Par ce méca­nisme, les sirtuines augmentent les défenses contre le stress cellu­laire. Les cher­cheurs montrent en parti­cu­lier que l’activation de ces enzymes via le resvé­ra­trol – une molé­cule chimique présente dans le raisin – conduit à une moindre toxi­cité dans les cellules neuro­nales qui expriment une forme mutée de la huntingtine.

Les résul­tats obte­nus par Chris­tian NERI et son équipe montrent que l’effet neuro­pro­tec­teur chez le ver C. elegans passe par une cascade de réac­tions qui débute par l’activation des sirtuines par le resvé­ra­trol, entraî­nant celle des facteurs de trans­crip­tion de type FOXO. Ces derniers inter­viennent pour leur part, en bout de chaîne, sur l’expression d’un large ensemble de gènes parti­cu­liè­re­ment impli­qués dans la résis­tance au stress et à la longévité.

Le resvé­ra­trol, composé à l’origine de ces réac­tions en chaîne, fait partie de la famille des poly­phé­nols. Cette molé­cule était connue pour son fort pouvoir anti­oxy­dant, évoqué comme l’un des ingré­dients respon­sable du « French para­doxe » (note 1.). La stimu­la­tion des sirtuines est un autre aspect des proprié­tés de cette molé­cule. Le pouvoir anti­oxy­dant du resvé­ra­trol est-​il en partie la consé­quence de l’activation des sirtuines ? D’autres inves­ti­ga­tions sont néces­saires sur ce point.

L’importance des sirtuines et des facteurs de trans­crip­tion FOXO fait actuel­le­ment l’objet de nombreuses études, en lien avec leur rôle dans la résis­tance géné­rale de la cellule au stress, et dans la longévité.

Le travail publié ce jour par les cher­cheurs de l’INSERM suggère pour la première fois que la stimu­la­tion de la résis­tance des neurones au stress par l’intermédiaire des sirtuines, pour­rait conduire à des trai­te­ments pour les mala­dies neuro­dé­gé­né­ra­tives comme la mala­die de Huntington.

Pour en savoir plus, Contact avec le chercheur :
Chris­tian NERI Tel. : 01.40.78.86.52. neri@broca.inserm.fr

Trans­mis par Jean GRAVELEAU

Note 1. : Le « para­doxe fran­çais » : des études sérieuses ont démon­tré que la consom­ma­tion raison­nable de vin, rouge en parti­cu­lier, avait un effet théra­peu­tique indé­niable sans doute lié au tanin et aux phénols.

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