Un test écrit pour voir si vous êtes à risque de Parkinson
Publié le 31 mars 2018 à 17:39Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°72
Une étude publiée dans la revue Frontiers of Technology, révèle qu’il existe un test relativement simple pour déceler la maladie de Parkinson de façon précoce. Il suffirait de dessiner une spirale sur une feuille de papier.
Mode d’emploi
Les chercheurs de l’Université de Melbourne (Australie) ont mis au point un logiciel capable de mesurer la vitesse d’écriture et la pression du stylo. Lorsque l’on souffre de la maladie de Parkinson, la pression exercée par le stylo est moindre et la vitesse de dessin est lente. Pour cette étude, les chercheurs australiens ont demandé à 55 personnes de dessiner une spirale sur une feuille de format A3. 27 d’entre elles étaient atteintes de la maladie de Parkinson. La pression et la vitesse du stylo ont ensuite été analysées par le logiciel pour obtenir leur correspondance avec le niveau d’avancée de la maladie. Il s’agit du premier outil qui peut diagnostiquer la maladie de Parkinson alors qu’il n’y a pas de symptômes physiques.
Dessiner une forme simple
Le choix de faire dessiner une spirale a une explication. Cette forme simple peut être dessinée par tout le monde et ne demande pas nécessairement un certain niveau de langue ou d’éducation. Le choix de la forme a été fait afin que le test soit accessible au plus grand nombre. Selon les chercheurs, ce test pourrait être un tremplin pour de nouveaux essais cliniques pour le diagnostic de la maladie. Selon l’Association France Parkinson : « la maladie touche plus de 200 000 personnes en France. » Cet outil de diagnostic pourrait donc contribuer à aider dans la recherche d’un traitement plus efficace de la maladie.
Un lien entre mouvements des yeux et troubles de l’équilibre
En comparant des patients parkinsoniens à des sujets sains, des scientifiques de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière et l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, ont identifié un lien entre plusieurs symptômes de la Maladie de Parkinson. Les patients présentent souvent une posture instable, ce qui constitue chez eux le principal risque de chutes.
Dans le même temps, ils souffrent d’anomalies de certains mouvements volontaires des yeux, qui se traduisent par un temps de réaction plus long. Selon Claire Ewenczyk, Cécile Gallea et Sophie Rivaud, sous la direction du Pr Marie Vidailhet et Stéphane Léhéricy, il existe une cause commune à ces différents symptômes : une atteinte de structures cérébrales impliquées à la fois dans le contrôle de la posture et des mouvements des yeux. Faciles à mesurer, ces anomalies des mouvements oculaires pourraient donc être utilisées pour évaluer le risque de chutes des malades.
Article relevé dans Recherche et Santé – 4ème trimestre 2017
Par Françoise Vignon
Diagnostiquée en moyenne à 58 ans, la maladie de Parkinson touche plus de 200.000 personnes en France
Publié le 30 mars 2018 à 12:23Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°72
Vous pleurez ?
L’analyse de vos larmes permettra (peut-être) un jour de diagnostiquer une maladie de Parkinson.L’idée innovante est celle de l’équipe du Dr Mark Lew de la Keck School of Medicine de l’Université de Californie du Sud (États-Unis).
Tout est parti d’un constat. Les chercheurs se sont dit que dans la mesure où les lésions dues à la maladie de Parkinson n’étaient pas toutes d’origine centrale mais aussi périphériques, il était probable que les nerfs commandant la sécrétion des glandes lacrymales soient concernés et que leur altération se traduise donc par une modification du contenu des larmes.
D’autre part, on sait depuis quelques années que l’alpha-synucléine, une protéine constituée de 140 acides aminés, est le constituant majeur des corps de Lewy, ces agrégats anormaux cérébraux qui « signent » la maladie de Parkinson. D’autres travaux franco-belges, plus récents, ont eux aussi montré l’importance de cette protéine.
Les chercheurs américains ont donc recueilli des échantillons de larmes de 55 personnes atteintes de la maladie de Parkinson et les ont comparés à ceux de 27 volontaires non malades, de même âge et de même sexe. Les résultats montrent que des différences significatives ont été identifiées au niveau de l’alpha-synucléine et d’un de ses dérivés, une forme dite oligomérique, respectivement diminuée et augmentée chez les patients parkinsoniens.
Un marqueur biologique fiable et peu coûteux
« Nous croyons que notre recherche est la première à montrer que les larmes peuvent être un marqueur biologique fiable, peu coûteux et non invasif de la maladie de Parkinson » a déclaré l’auteur principal de ces travaux. « Savoir que quelque chose d’aussi simple que les larmes pourraient constituer une aide au diagnostic est excitant », a aussi déclaré Mark Lew. Et le chercheur de poursuivre : « On sait aujourd’hui que la maladie de Parkinson peut commencer des années ou des décennies avant même l’apparition des symptômes, donc un marqueur biologique comme celui-ci pourrait être utile précocement, tant pour le diagnostic que pour le traitement » …
Peu d’informations sont encore disponibles sur la procédure exacte de réalisation des dosages d’alpha-synucléine, mais l’étude doit être présentée plus en détail fin avril à l’occasion de la 70e assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, à Los Angeles
Lu par Martine Delmond
Pourquoi le vieillissement cérébral ?
Publié le 29 mars 2018 à 09:29Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°72
Les conséquences
La première réponse à cette question de la dégénérescence du cerveau du « Parkinsonien » et de « l’Alzheimerien » est la constatation de la diminution des neurones et cellules gliales situées dans la substance noire, locus Niger pour la première pathologie, le stress cellulaire qui forment les fibrilles en région temporale et de l’hippocampe, pour la seconde. Certains parkinsoniens ont malheureusement le risque de développer aussi cette diminution avec la dégénérescence neurofibrille. Le stockage mnésique est perturbé puis bloqué par les plaques Amyloïdes qui entravent les connexions et l’hippocampe est privé de communications ainsi que la perte des neurofibres. La cellule intrinsèque sera remplacée un temps par la protéine Amyloïde puis béta-Amyloïde puis la plaque du même nom faisant écran. Un éclairage supplémentaire sur l’Alzheimer, cette pathologie chez les anglo-saxons est appelée diabète type 3, simple à comprendre et nous met tout de suite « la puce à l’oreille » par un excès de certains nutriments et le manque d’élimination vont occasionner un stock cytotoxique.
Le scénario des causes au commencement de la maladie de Parkinson est quasi identique à l’Alzheimer même si la frontière paraît encore floue pour de nombreux spécialistes car ils se focalisent sur l’origine physiologique des symptômes, à mon humble avis le commencement n’est pas aux premiers signes mais bien avant, pourquoi ? Les zones touchées sont seulement différentes par le fait du hasard. Les récepteurs dopaminergiques ne sont plus réceptifs, une carence en dopamine progressive, car le cellulaire se meurt par l’inclusion des intrus (ex : excès de calcium d’origine mammifère). Les cellules dopaminergiques ont moins de protection. Les cellules du mouvement sont défaillantes comme les cellules nerveuses de la mémoire. Il faut noter que ce scénario est « joué » avec une grande variabilité d’un sujet à l’autre avec une réponse allant de « gravité » à « sévère ».
Les causes
La seconde réponse rarement développée vient étayer la première car, en moyenne le désordre apparait 40 à 50 ans après l’adolescence, suite d’une consommation déséquilibrée en nutriments essentiels et sans équilibre ACIDO-BASIQUE. Pour les officiels : « nous vivons plus longtemps qu’autrefois, [et ces maladies sont le] résultat d’une fatalité du vieillissement ». Cela plaît aux politiques et arrange bien les lobbies de l’agroalimentaire qui doucement nous empoisonnent par profits. Les années ont passé, la qualité nutritive des légumes et des fruits s’est appauvrie par les croisements, la productivité. Une pomme d’un verger à grand rendement 100 fois moins de vitamine C que la même variété produite il y a 50 ans. Sans vous détailler les pesticides, fongicides et engrais chimiques pour ces deux groupes. Le lait de vache (sauf lait cru bio) sous toutes ses formes, après la puberté est à bannir, car responsable de nombreux troubles. Eviter l’alimentation acidifiante et oxydante, les barbecues, viandes grillées du week-end (carbonées = molécules de Maillard), alcool, cigarettes et les boissons avec ajout de gaz carbonique qui se balade dans le sang et ne sera pas expectoré en totalité. L’acidose que génèrent les barres sucrées chocolatées caramélisées. (Contenant bien souvent des nano particules d’aluminium, pour exemple : la mini surface de la coupe d’un cheveu représente équivalent de cent nano particules).
Quand l’acidose tissulaire devient chronique
Il faut impérativement équilibrer la consommation d’aliments acides oxydatifs par d’autres basiques alcalins [Exemple d’aliments Antioxydants : Goyave, cassis, fraises, orange, citron, poivron rouge, betterave, brocoli, chou-fleur, noix, noisette, épinard, carotte, patate douce, tomate crue (de saison), foie de veau, bœuf rôti ou cru, blanc de poulet, œuf, gingembre, cacao, thé vert…]. Dans toute pathologie le pH[pH Potentiel Hydrogène, facilement contrôlable avec des languettes de papier dédiées, vendues en pharmacie] urinaire est acide, alors que pour le bien portant le pH est neutre, proche du pH sanguin. L’acidose tissulaire complexe peut se définir comme l’évidence de l’intoxication des tissus et de l’encrassage de l’organisme surtout d’origine alimentaire, ainsi que la production excessive d’acides endogènes, comme l’acide lactique produit par un effort sportif intense.
Les acides sont libérés par la fermentation dans l’intestin due à la consommation excessive de protéines animales et de produits laitiers génératrice d’acide sulfurique. L’excès de ce mauvais calcium sur les neurones dopaminergiques agit comme un empoisonnement, ils deviennent donc plus vulnérables à l’oxydation. La caséine, les peptides et débris bactériens dans l’intestin vont perturber le système immunitaire, celui-ci va donc fabriquer des anticorps, or ces anticorps vont finir par faire la confusion avec les structures de l’individu, et vont se retourner contre elles créant ainsi une affection auto-immune.
La gravité même, puisque ces cellules blanches vont s’attaquer à certains organes et empêcher l’absorption de minéraux. D’autres acides viendront amplifier le problème. Mais il existe la parade, l’équilibre se maintient par l’apport normalement de ions alcalins, comme le potassium ou le magnésium provenant des légumes et des fruits d’une bonne qualité nutritive.
Or l’alimentation dite moderne n’apporte plus suffisamment de micronutriments, comme les minéraux alcalinisant ainsi que toute la panoplie des vitamines et enzymes. Par contre, le Bio est notre salut ainsi que le jardin potager sans ajout, dit phytosanitaire, sans oublier les maraîchers engagés dans l’agriculture dite responsable.
Le corps devient un producteur d’acides pour le cerveau bien que l’acidose soit métaboliquement régulée par tout un système tampon (Glutathion), l’organisme s’acidifie avec les années et ne s’alcalinise que très rarement pour les raisons expliquées plus avant. Les catalyseurs activateurs des enzymes sont carencés en vitamines et micronutriments, les acides aminés ne parviennent plus aux cellules de notre cerveau, ces acides ne sont pas évacués car non reconnus ; ils se fixent sur les fibres des tissus conjonctifs – la structure tissulaire de soutien de tous les organes – empêchant une bonne oxygénation et l’alimentation des cellules.
Cette fixation des déchets bloque les échanges indispensables avec les cellules des organes. L’acidification tissulaire provoque un enraidissement généralisé bloquant en partie les échanges de la nutrition : des fibrilles, des corps de Lewy, des protéines Tau, vont former une enveloppe de gel qui tend à se rigidifier plus ou moins hermétiquement, bloquant en partie les échanges de la nutrition, et privant ainsi le cerveau de « carburant protéines-glucose ». Avec les années, le déroulement de ce scénario provoque une diminution du cerveau : la sénilité en sera malheureusement la fin.
Conclusion : il se produit, alors, petit à petit un état de souffrance des organes avec anoxie, malnutrition, auto-intoxication cellulaire qui aboutissent à cette mort cellulaire des neurones et cellules nerveuses. Pour une explication plus simple nos cellules baignent dans une lymphe toxique acidifiée avec déchets. C’est le processus de dégénérescence, le mécanisme du vieillissement accéléré (sénescence), Alzheimer, Parkinson, Sclérose en Plaques, douleurs articulaires, arthrose, maladies auto-immunes, asthme, allergies, diabète type 1, 2, 3 ! Etc.
Et notre patrimoine génétique alors ?
Le patrimoine génétique a une infime part de « responsabilité de protection ou pas », la grande majorité des personnes est protégée, le génome va retarder au maximum le déséquilibre de cette inflammation chronique, à condition de ne pas abuser d’une mauvaise hygiène de vie. Il existe une exception que je qualifie de malheureuse : « les sujets porteurs d’une mutation monogéniques de la maladie de Parkinson, la mutation dite PARK2 sur le gène d’une protéine du nom de parkine et de la mutation PARK6 protéine du nom de PINK1. Dans ces deux cas la maladie à un début très précoce, vers la vingtième année, l’évolution est très lente et répond bien à la L‑Dopa », (Professeur A. Nieoullon).
Une seule solution nourrissez bien votre cerveau.
Rédigé par Jean Claude Prevost
Éditorial
Publié le 28 mars 2018 à 10:20Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°72
Le collectif Parkinson avait décidé de réagir à la suite des ruptures répétées des stocks de médicaments qui nous sont indispensables pour vivre une vie sociale équilibrée et indépendante. Nous avons décidé de provoquer une conférence de presse et de faire poser une question au Gouvernement par un député, ceci devant permettre à d’autres partenaires de dénoncer une pratique qui se généralise trop souvent y compris pour des affections, pouvant provoquer de graves dérèglements allant même jusqu’à la mort.
J’étais en train de préparer ce nouveau numéro où je faisais état du problème ; c’est juste à ce moment-là, que parvint au Président de France Parkinson, Didier Robillard, une réponse du Directeur de la Santé, le Professeur Salomon ! Permettez-moi de m’interroger sur la coïncidence d’autant plus que, s’il est assez prolixe pour décrire et énumérer les faits, il n’engage pas vraiment la responsabilité de son administration.
Nous avons donc à maintenir la pression et amener d’autres représentants des maladies touchées comme nous par ces ruptures de stock, à nous accompagner. Il devient urgent de rappeler aux laboratoires que nous ne sommes pas des clients tout à fait comme les autres qui vont faire leurs courses et devant l’absence du produit recherché le remplacent ou s’adressent à un concurrent. La position de quasi-monopole des laboratoires nous n’avons aucun moyen de la contourner, elle leur permet d’exercer une forme de chantage, ce qui est visible dans le cadre des négociations pour les prix (cf. le Xadago).
A lire également quelques informations sur la Recherche et quelques pistes qui se développent tant dans le diagnostic d’origine que dans les effets induits par la maladie. Par ailleurs, certains chercheurs se penchent sur les cellules gliales l’autre moitié du cerveau jusques là un peu négligée.
Une information sur la formation organisée au CHRU de Brest pour aller vers une médecine plus humaine et fondée sur la responsabilité du malade qui doit s’approprier son traitement et revendiquer son droit à être entendu.
Nous avons ajouté une pointe d’humour : un remède naturel, le crémant d’Alsace ou le Champagne et une bataille d’oreillers en Belgique pour récolter des fonds pour la recherche.
Très bientôt le printemps et la douceur de la renaissance qui viendra effacer la froidure de ces derniers jours!!!
Jean Graveleau
[vu sur le net] Maladie de Parkinson : sur la piste du microbiome
Publié le 27 mars 2018 à 07:00article trouvé sur le site Destination Santé
Pour la première fois, des scientifiques américains ont établi un lien entre la nature des bactéries intestinales et le risque de développer la maladie de Parkinson. Le déséquilibre du microbiome fragiliserait en effet les compétences motrices.
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[vu sur le net] PARKINSON : Un trop plein de calcium dans les neurones ?
Publié le 26 mars 2018 à 21:47article trouvé sur le site Santé Log
Et si le calcium jouait un rôle clé dans le développement de la maladie de Parkinson ? C’est ce que suggère cette étude de l’Université de Cambridge qui constate que des niveaux excessifs de calcium dans les cellules du cerveau peuvent entrainer la formation de grappes toxiques caractéristiques de la maladie de Parkinson et la mort des cellules cérébrales Ces conclusions, présentées dans la revue Nature Communications, en révélant un nouveau mécanisme d’équilibre entre calcium et protéine alpha-synucléine, apportent une toute nouvelle compréhension du développement de la maladie de Parkinson.
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[vu sur le net] 10 conseils pour améliorer son bien-être intestinal
Publié le 22 mars 2018 à 17:55article trouvé sur le site Top Santé
Les principaux ennemis du microbiote intestinal ? La fatigue, le stress, les déséquilibres alimentaires, la prise de certains médicaments, comme les antibiotiques. Pour le protéger, on agit sur tous les fronts.
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APCA (Association de Parkinsoniens des Côtes d’Armor) pour la journée mondiale de la maladie de Parkinson
Publié le 18 mars 2018 à 12:50
[vu sur le net] Pays de Quimperlé. Mieux vivre la maladie de Parkinson
Publié le 17 mars 2018 à 17:30Un point de rencontre est ouvert une fois par mois à la salle Ellé de l’espace Benoîte-Groult, à Quimperlé (Finistère), pour les personnes souffrant de la maladie de Parkinson.
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[vu sur le net] — Maladie de Parkinson : « Pour la moitié des personnes, les symptômes démarrent avant 60 ans »
Publié le 12 mars 2018 à 21:42article trouvé sur le site Medisite
La maladie de Parkinson est la deuxième maladie neurologique la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer. Elle touche plus de 150 000 personnes en France et 8000 nouveaux cas sont déclarés chaque année en France. Quels sont les premiers symptômes ? Les causes sont-elles connues ? Le professeur Philippe Damier, neurologue au Centre Hospitalier Universitaire de Nantes et président du Comité scientifique de l’association France Parkinson a répondu aux questions de Medisite.
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Conférence du 31 mars
Publié le 12 mars 2018 à 06:31
[vu sur le net] Ce que les dormeurs « agités » nous apprennent
Publié le 02 mars 2018 à 19:12article trouvé sur le site d’Ouest-France
En phase de sommeil, une sorte de « verrou » paralyse les muscles et nous empêche en principe d’extérioriser nos rêves. Mais chez certains, ce verrou ne fonctionne plus et ils passent des nuits très agitées. Ce phénomène encore mystérieux est porteur d’espoir pour les malades de Parkinson.
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[vu sur le net] Vélo club. Un don de 2.512 € contre Parkinson
Publié le 01 mars 2018 à 09:50article trouvé sur le site du Télégramme
Le 11 février, la matinée sportive organisée par le Club de vélo et ses partenaires au profit de l’Association des parkinsoniens du Finistère avait établi un nouveau record de participation, en réunissant près de 900 cyclistes, traileurs, vététistes et marcheurs. Samedi, c’est donc un chèque au montant, lui aussi record, de 2.512 €, qu’ont reçu ses représentants.
pour lire cet article dans son intégralité, suivez ce lien…
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