Ne pas être qu'un "patient" ...

Lu sur le net : Cinq nouveaux facteurs de risque identifiés pour la maladie de Parkinson

Article trouvé sur le site de l’INSERM.

Des cher­cheurs améri­cains et euro­péens, au sein d’un consor­tium inter­na­tio­nal sur l’étude géno­mique de la mala­die de Parkin­son ont iden­ti­fié 11 régions géno­miques de suscep­ti­bi­lité à la mala­die de Parkin­son dont 5 nouvelles.

Pour lire l’ar­ticle dans son inté­gra­lité, suivez ce lien…

Un appel…

Je suis Didier JAMBART, la 1ère victime ayant fait recon­naître les effets indé­si­rables des AD (agonistes dopa­mi­ner­giques) en CRCI.
Vous l’avez vu dans les médias, j’in­tente la même démarche auprès de la justice civile du TGI de Nantes

Dans le cadre de mon appel (collecte de décla­ra­tion d’effets indé­si­rables lié au agonistes) de février 2011, je vous propo­sais d’être le porte-​parole de tous ceux qui ont subis ou ont été témoins des effets indé­si­rables lors de leurs trai­te­ments anciens ou actuels sous AD (Agonistes Dopaminergiques).

Bref, une forme parti­cu­lière de péti­tion mais sans aucune déla­tion car je ne veux y voir en aucun cas le nom d’un neurologue

NOTA IMPORTANT
Aucun docu­ment ne sera infor­ma­tisé (ma démarche est décla­rée auprès de la CNIL N° 1483272 du 07/​02/​2011 )

  • Aucune asso­cia­tion de défense de victimes ne les démar­chera (sinon ce serait du raco­lage et c’est condam­nable), ces documents(comme déclaré auprès de la CNIL) reste­ront ma propriété
  • Il n’est demandé aucun nom de méde­cin ou de neuro­logue (pas de délation)
  • seuls les personnes( directes, conjoints, veufs ou veuves, etc.) ayant subis des effets indé­si­rables doivent répondre et ne dirent que la stricte vérité (ne pas mentir)

Afin de simpli­fier la parti­ci­pa­tion et le soutien de tous à ma démarche qui nous concerne tous ( tous ceux qui ont subis ou ont été témoins de personnes victimes d’ef­fets indé­si­rables (troubles du compor­te­ment, etc..) lors de leurs trai­te­ments parkin­so­niens), je vous adresse ci-​joint un docu­ment simpli­fié à la portée de tous qui est une attes­ta­tion pré-​remplie que les personnes ont juste à complé­ter et à me retour­ner à mon adresse personnelle.

Je compte sur vous tous pour faire circu­ler et diffu­ser ce message, afin de faire connaître par ces attes­ta­tions auprès des instances de la santé le nombre le plus réel possible de cas de victime d’effets indésirables.

Merci beau­coup, sans vous, sans votre parti­ci­pa­tion je n’y arri­ve­rai pas.

Bien cordia­le­ment.

Didier JAMBART.
6 rue de l’Allier
44610 INDRE
Tél. : 02.40.36.27.35
Port : 06.30.95.42.83

Les agonistes dopaminergiques, sachons les maîtriser…

Après la diffu­sion par l’Afssaps de la liste des médi­ca­ments à surveiller incluant la famille des agonistes dopa­mi­ner­giques, les malades peuvent ressen­tir certaines inquié­tudes ; pour les lever, France Parkin­son vient de mettre sur son site un commu­ni­qué de Pierre Pollak dont nous nous faisons l’écho.

CECAP compte égale­ment donner suite à cette diffu­sion en réali­sant rapi­de­ment une « enquête flash » permet­tant d’y voir un peu plus clair dans les troubles compor­te­men­taux induits par les agonistes car les chiffres de personnes atteintes varient dans de grandes propor­tions selon les sources. 

A bien­tôt et j’espère que vous serez nombreux à parti­ci­per à cette enquête
Raymonde Jacque­mart
Prési­dente de CECAP

Commu­ni­qué de Pr Pierre Pollak ,
vice-​président du Comité Scien­ti­fique de France Parkinson
Ne soyons pas victimes des effets indé­si­rables
d’une classe de médi­ca­ments efficaces.
Les agonistes dopaminergiques
Sachons les maîtriser.
Si vous avez des compor­te­ments anormaux,
il faut abso­lu­ment en réfé­rer au méde­cin trai­tant, immédiatement.
4 conseils fonda­men­taux aux patients parkinsoniens :

1) L‑dopa et agonistes dopa­mi­ner­giques ont une effi­ca­cité prou­vée sur l’état moteur du parkinsonien.
2) Néan­moins, à doses exces­sives, chez certains patients, les agonistes dopa­mi­ner­giques et, dans une moindre mesure, la L‑dopa, peuvent entraî­ner des troubles compor­te­men­taux redou­tables : compul­sions d’achat, addic­tion au jeu, hyper­sexua­lité…, mettant en danger la vie person­nelle et fami­liale du patient.
3) Si vous ou votre entou­rage remar­quez un chan­ge­ment de votre compor­te­ment, voire de votre person­na­lité, signalez-​le immé­dia­te­ment à votre méde­cin trai­tant. Ne lais­sez pas s’ins­tal­ler un déséqui­libre dans votre vie.
Un ajus­te­ment de dose est nécessaire.
4) Atten­tion, toute modi­fi­ca­tion de trai­te­ment ne peut se faire
que sur avis médical.

Lu sur le net : Médicaments : que faire de la liste des 77 ?

Article trouvé sur le site de Sciences et Avenir

Les diffi­cul­tés tech­niques rencon­trées par le site inter­net de l’Afssaps en témoignent : la liste de médi­ca­ments « sous surveillance » est très deman­dée. Elle contient cepen­dant des cas très hété­ro­gènes de médi­ca­ments et ne doit pas être consi­dé­rée comme une « liste noire ». Sciences et Avenir.fr propose une liste exhaus­tive mais hiérar­chi­sée de ces produits pharmaceutiques.

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Lu sur le net : Les principaux médicaments sous surveillance

Trouvé sur le site du jour­nal 20 minutes.

Les médi­ca­ments de cette liste, qui ont tous obtenu une auto­ri­sa­tion de mise sur le marché, ont été réper­to­riés « soit parce les auto­ri­tés sani­taires ont jugé néces­saire, à titre préven­tif, de renfor­cer ce suivi, soit parce que des signaux de risque ont été détec­tés », rappelle l’Af­ssaps. « Les patients ne doivent pas arrê­ter leur trai­te­ment ou modi­fier la dose sans consul­ter leur méde­cin », a prévenu le direc­teur géné­ral de la Santé Didier Houssin. 

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