[vu sur le net] Maladies neurodégénératives : vers une meilleure prise en charge de la douleur ?
Publié le 24 mai 2016 à 10:35article trouvé sur le site de France TV info
C’est l’une des mesures du Plan maladies neurodégénératives : mieux prendre en charge les douleurs présentes dans les maladies d’Alzheimer et de Parkinson et la sclérose en plaques. Un colloque*, organisé le 12 mai 2016, a rassemblé les différents acteurs pour mieux comprendre ces souffrances invalidantes, leurs mécanismes, leur traitements et les voies de recherche. Compte-rendu d’une journée très riche.
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[vu sur le net] PARKINSON : Médicaments et troubles compulsifs, quelles options
Publié le 13 mai 2016 à 09:10article trouvé sur le site Santé Log
Addiction alimentaire, au jeu, au shopping ou au sexe, retour avec cette étude de l’University Health System Loyola sur ces effets secondaires de risque de troubles compulsifs, avec certains médicaments indiqués dans le traitement de la maladie de Parkinson. Une revue de neurologues américains experts, des options disponibles, pour gérer au mieux, pour chaque patient, le traitement et ses effets collatéraux.
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informations régionales — association de parkinsoniens de Haute-Vienne (87)
Publié le 12 mai 2016 à 10:28Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°64
Le 04 février 2016 : Assemblée Générale.
Le Président retrace l’historique de cette toute nouvelle association, qui a pris la suite de l’association du Limousin (ADPL) dissoute fin 2014, est repartie un 12 avril 2015 (9 adhérents réunis à Toquenelle Montjovis) sous la Présidence de Mme Potron qui a démissionné en octobre 2015 après le décès de son mari en août 2015.
Reprenant les mêmes objectifs que l’ADPL, l’AP87 se renforce après avoir participé au forum des associations de Limoges des 05 et 06 septembre 2015 et à celui du 10 octobre 2015 à l’Isle Jourdain. Nous avons aussi bénéficié d’une émission sur France Bleue Limousin animée par Jean Claude Boulesteix et récemment d’un reportage vidéo sur FR3 Limousin grâce à François Clapeau. Qu’ils soient remerciés pour leur concours à notre cause, et nous les solliciterons lors d’événements importants.
Cependant il est toujours aussi difficile de constituer un bureau complet et équilibré par manque de volontaires, Benoit Dagès accepte la fonction de Trésorier et Jacques Piaser cumule le Secrétariat et la Présidence. Aucun volontaire ne se manifeste, le Président Secrétaire et le Trésorier sont reconduits dans leurs fonctions à l’unanimité.
3 nouvelles adhésions sont enregistrées ce qui porte l’effectif à 29 adhérents nous sommes en progression mais encore loin des 1600 malades qui sont recensés en Limousin (Haute-Vienne, Creuse, Corrèze) !
Le rendez-vous mensuel de l’AP87 à la MDPH87 (Maison Départementale du Handicap) est maintenant conditionné par la prise d’un rendez-vous. En effet, nous passions notre temps en pure perte.
La lettre de l’AP87 doit être mise en service : elle correspond à une demande des adhérents. Ce ne sont pas les sujets qui manquent mais notre situation financière est précaire et dans l’immédiat nous n’avons pas les moyens de publier et diffuser ce document.
Réponse au questionnaire sur les activités, 8 questionnaires ont été restitués, il ressort qu’une majorité se retrouve pour la gymnastique adaptée, le projet est en cours et nous devrions obtenir une réponse pour l’attribution d’une salle adaptée très prochainement. La journée mondiale pour la maladie de Parkinson est fixée au 11 avril 2016, nous vous tiendrons au courant des manifestations qui pourrons avoir lieu.
Le Président a reçu une réponse positive sur la pérennité de la poursuite de l’action du Centre Expert Parkinson Régional du CHU de Limoges, dans sa mission d’aide aux malades et aux aidants, par ses actions d’information sur la maladie et de formation thérapeutique des patients.
Le Président va se renseigner sur l’opportunité de notre adhésion au CISS (Comité Inter associatif Sur la Santé en Limousin).
Rédigé par Jacques Piaser, président
Vivre et accompagner le parkinsonien au quotidien, point de vue du neurologue
Publié le 06 mai 2016 à 21:45Texte de la conférence donnée par Dr Amélie Leblanc le 1er avril 2016, devant 200 personnes, à l’invitation par le GP29 à Landivisiau.
Pour mieux vivre sa maladie ou accompagner au mieux un patient parkinsonien en tant qu’aidant, il paraît indispensable de connaître la physiopathologie de la maladie de Parkinson, ses signes cliniques, les traitements et leurs effets secondaires ainsi que les structures d’aides médico-sociales. C’était le but de la conférence du 1er avril dernier à Landivisiau.
La maladie de Parkinson représente la deuxième maladie neuro-dégénérative en France après la maladie d’Alzheimer. Elle touche ainsi 150 000 personnes chaque année en France. Elle débute en moyenne vers 60 ans, plus rarement avant 40 ans et touche autant les hommes que les femmes. Elle est désormais intégrée au plan des maladies neuro-dégénératives (PMND) 2014 – 2019 visant à améliorer sa prise en charge.
La maladie de Parkinson est secondaire à un dysfonctionnement des noyaux gris centraux, siège de la motricité automatique. Du point de vue anatomopathologique, on peut observer une dépigmentation de la substance noire siégeant dans le mésencéphale liée à la dégénérescence des neurones dopaminergiques. A un niveau plus microscopique on observe des corps de Lewy dans les neurones. De nombreuses structures non dopaminergiques sont également touchées par le processus neurodégénératif. Les causes de cette perte neuronale sont la plupart du temps inconnues même si la responsabilité des pesticides est maintenant établie et si des formes familiales sont décrites.
Signes cliniques
Il est désormais acquis qu’il existe une phase pré-motrice précédant sûrement de plusieurs années l’apparition des symptômes moteurs. Cette phase comporte des signes cliniques variés tels que les troubles olfactifs, la constipation ou les troubles du comportement en sommeil paradoxal. Une des hypothèses physiopathologique serait l’existence d’une progression ascendante des lésions depuis le système nerveux digestif jusqu’au bulbe olfactif et au tronc cérébral.
Les signes moteurs apparaissent quant à eux lorsque les neurones dopaminergiques ont diminué de 70%. Ils comportent le tremblement de repos, l’akinésie et l’hypertonie extra-pyramidale (rigidité) qui composent la triade parkinsonienne.
Les patients parkinsoniens peuvent aussi se plaindre de symptômes non moteurs divers qui pourraient être représentés comme la partie immergée d’un iceberg. Ces symptômes souvent moins bien connus que les signes moteurs peuvent parfois être déroutants pour le patient et son entourage.
La mobilité peut être limitée par un freezing et des chutes secondaires à des troubles de l’équilibre, de la posture ou à une hypotension orthostatique.
Les capacités de communication sont parfois diminuées par une dysarthrie avec hypophonie ou par une hypersalivation.
Le sommeil est souvent agité avec un trouble du comportement en sommeil paradoxal ou un syndrome des jambes sans repos.
Outre un syndrome anxio-dépressif fréquent, pouvant précéder le diagnostic, la maladie de Parkinson peut comporter d’autres signes psychiatriques au premier rang desquels les hallucinations visuelles, le trouble du contrôle des émotions ou l’apathie peuvent surprendre l’entourage.
A un stade évolué, des troubles cognitifs peuvent survenir avec notamment des troubles de l’attention, un ralentissement cognitif qui entraînent une altération de l’autonomie cognitive et comportementale à des niveaux variables.
Beaucoup d’autres signes sont en fait liés à l’atteinte du système nerveux autonome : hypersudation, troubles vésico-sphinctériens, troubles sexuels, troubles de l’accommodation visuelle.
Les patients peuvent aussi présenter des signes plus généraux tels que des douleurs ostéo-articulaires ou neuropathiques, une dermite séborrhéique, des troubles de la vision des contrastes, un syndrome respiratoire restrictif…
Traitements
Sur le plan thérapeutique, trois grandes voies sont employées. Le traitement médical est utilisé en première intention alors que le traitement chirurgical est réservé aux formes compliquées. Quant à la rééducation et la réadaptation, elles sont utiles à tous les stades de la maladie.
Le traitement médical repose sur le principe de la compensation du déficit dopaminergique avec une multitude de médicaments disponibles que l’on peut classer dans 3 grandes voies thérapeutiques : apport d’un précurseur exogène de la dopamine (Levodopa), stimulation directe des récepteurs de la dopamine (agonistes dopaminergiques), réduction du catabolisme de la dopamine (IMAO, ICOMT). Dans la mesure du possible, les neurologues tendent à apporter une stimulation dopaminergique la plus continue possible et s’appuient de plus en plus fréquemment sur des techniques de perfusion sous-cutanée (pompe à Apomorphine) ou intra-duodénale (pompe à Duodopa).
La stimulation cérébrale profonde destinée aux patients parkinsoniens peut avoir plusieurs cibles : noyau ventral intermédiaire médian du thalamus pour le tremblement, noyau sub-thalamique en cas de forme akinéto-hypertonique et globus pallidus interne si des dyskinésies invalidantes viennent compliquer le traitement oral. Dans tous les cas son principe est d’inhiber les neurones cibles en appliquant une stimulation électrique à haute fréquence par le biais d’électrodes intra-crâniennes reliées à un stimulateur sous-cutané. Du fait de la lourdeur de la procédure chirurgicale, cette technique nécessite une sélection rigoureuse des patients éligibles pour éviter de possibles complications post-opératoires et des effets secondaires de ce traitement.
La prise en charge rééducative repose essentiellement sur la kinésithérapie et l’orthophonie. Le kinésithérapeute s’attachera à pratiquer des étirements globaux ainsi qu’un travail à haute intensité contre résistance et de dissociation axiale. La technique d’orthophonie la plus efficace dans la maladie de Parkinson est la Lee Silverman Voice Treatment (LSVT) pour la dysarthrie mais les séances sont également utiles pour la micrographie ou les éventuels troubles de la déglutition. L’intervention d’un ergothérapeute peut être nécessaire pour aménager le domicile dans les stades avancés.
Afin d’améliorer de nombreux paramètres moteurs et non moteurs, il est maintenant recommandé aux patients une activité physique quotidienne à type de marche nordique, Taï Chi, Qi Kong, tango… Cette prise en charge non médicamenteuse nécessite un investissement personnel de la part du patient et parfois de l’aidant mais apporte des bénéfices parfois insoupçonnés.
Il est important de savoir que les traitements médicamenteux peuvent provoquer des effets secondaires moteurs et non moteurs afin de pouvoir les dépister et les prendre en charge précocement. Au niveau moteur, on voit apparaître des fluctuations d’efficacité motrice et des dyskinésies liées à une diminution d’efficacité après plusieurs années de traitement. Des effets secondaires non moteurs peuvent aussi survenir : signes digestifs (nausées, vomissements, sécheresse buccale), hypotension orthostatique, troubles psychiatriques (trouble du contrôle des impulsions avec développement d’addictions alimentaires, au jeu, sexuelles … , hallucinations visuelles, troubles du comportement), somnolence.
Pour mieux connaître la maladie.
Selon l’OMS, l’éducation thérapeutique du patient. (ETP) vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique. C’est une avancée dans la conception de la prise en charge des maladies chroniques dont fait partie la maladie de Parkinson, c’est pourquoi l’ETP prend sa place dans les actions à développer dans le PMND. Un projet est d’ailleurs en cours de rédaction par le service de neurologie du CHRU de Brest, en association avec l’association des parkinsoniens du Finistère et sera déposé à l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Bretagne courant juin.
Les patients et leur entourage font souvent des démarches personnelles pour obtenir des informations complémentaires sur la maladie. Divers documents édités par des organismes d’Etat (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé) ou des sites internet tels que le site du réseau Oniric http://www.neurobretagne-oniric.com sont à même d’apporter des informations fiables sur la maladie et les traitements.
Comment se faire aider ?
Si un problème médical ou social survient au cours de la prise en charge, le réseau de soins, médical, paramédical, et social qui s’est tissé autour du patient et de l’aidant doit être sollicité. Les associations de malades peuvent parfois apporter une aide complémentaire. Pour répondre aux questions plus sociales (aides financières, mise en place d’aides à domicile, aménagement du domicile) les structures sanitaires et sociales (CLIC = Centre Local d’Information et de Coordination, CCAS ou CDAS= Centre Communal ou Départemental d’Action Sociale, service APA = Allocation Personnalisée d’Autonomie, MAIA = Maisons pour l’Autonomie et l’Intégration des malades d’Alzheimer, Services d’aide à domicile, SSIAD = Services de Soins Infirmiers A Domicile) peuvent être sollicitées. Par ailleurs, des structures de répit existent afin d’éviter l’épuisement de l’aidant.
Pour conclure, il est important que le parkinsonien devienne l’acteur principal de sa prise en charge. Pour cela, l’ETP est d’un intérêt fondamental car elle a pour but d’induire une meilleure connaissance de la maladie et des traitements pour une meilleure gestion de la vie quotidienne. Le patient peut aussi s’impliquer dans sa prise en charge en pratiquant une activité physique quotidienne.
La place des aidants est maintenant reconnue et développée dans le PMND. L’accompagnement d’un patient au quotidien nécessite pour lui aussi une meilleure compréhension des symptômes de la maladie afin d’entretenir la plus grande autonomie possible.
Il est indispensable de mettre en place un réseau local centré sur le couple « patient-aidant » mais dans les situations difficiles, le recours aux structures d’aides et de répit peut être nécessaire.
Dr. Amélie Leblanc
Spécialiste des hôpitaux des armées
Service de neurologie et unité neuro-vasculaire
CHRU Cavale-Blanche, Brest
informations régionales — association de parkinsoniens du Morbihan (56)
Publié le 03 mai 2016 à 15:20Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°64
Le dimanche 20 décembre 2015, Un dimanche convivial :
Notre association avait organisé un concert de chants, ouvert à tous. Des prospectus ont été distribués dans la ville. Nous nous sommes retrouvés à Vannes en l’église Notre Dame de Lourdes (merci aux organisateurs (trices) de Vannes. Nous étions environ 150 personnes pour écouter le chœur d’hommes Grég’orian qui interprétait des chants grégoriens, byzantins, de la musique sacrée d’orient et d’occident. Ces voix d’hommes qui vocalisaient « a capella » ne pouvaient nous laisser insensibles.
Pendant la courte interruption, Milène, notre présidente, présenta l’association et expliqua ce qu’était la maladie et comment nous réagissions avec des séances de gymnastique, des exercices de prononciation, d’articulation, du chant. L’organisation de ce spectacle se faisait au profit de la recherche : le montant de la collecte de ce concert reversé à CECAP Recherche. Retour du chœur d’hommes pour une fin d’après-midi agréable, se terminant par le très connu « amaizing grace ». Un « pot de l’amitié » nous a tous réunis ce dimanche.
Oublions 2015 pour aborder 2016 avec sérénité.
Dès la première semaine nous intervenons auprès des futures assistantes de vie, au Lycée Technique Ampère de Josselin, puis le 14 janvier au CLPS de Vannes. Ces contacts prouvent l’intérêt de faire connaître la M.P. Car, lors de leurs stages en établissements ou chez des particuliers, il ressort que ces futures assistantes de vie se trouvent confrontées à des situations délicates, qu’elles ne savent ni ne peuvent pas toujours gérer.
Galette des Rois :
Nous étions une bonne trentaine à nous retrouver avec joie salle St Eloi, et nous installer autour des tables accueillantes. Jean-Paul notre « accordéoniste » nous entraîne avec des chansons que nous fredonnons tout en bavardant. A l’occasion de cette réunion, nous célébrons l’anniversaire de notre « jeune » amie Yvette qui vient d’atteindre ses 93 printemps ! et reste toujours aussi coquette, pimpante et souriante. C’est avec un grand plaisir que nous lui chantons Bon Anniversaire ! Nous faisons honneur aux galettes des rois, toujours aussi bonnes. Jean-Paul entraîne les danseurs dans une série de tangos, de pasodobles. Nous entonnons quelques chants dont un « Kalinka » endiablé qui amène certains d’entre nous à montrer leur savoir-faire en danses russes, sous les rires et applaudissements. Heureux de nous être retrouvés, nous terminons cet agréable après-midi par des danses bretonnes.
Article rédigé par Nicole Lecouvey
Le Bureau de l’ADPM
A noter : Notre Assemblée Générale le Mardi 22 Mars au Restaurant « La Forestière » à Nostang route de Landevant et le 27 Avril anniversaire de la création de notre association en 1991 : 25 ans d’échanges, d’écoute, d’amitié, quelle belle aventure !
Nous vous la ferons revivre prochainement.
informations régionales — association de parkinsoniens de la Manche (50)
Publié le 02 mai 2016 à 07:57Le jeudi 17 mars 2016 : Assemblée Générale à Saint-Lô avec la participation de Jean Graveleau, président du CECAP. Le matin Assemblée Générale avec différents intervenants. Le midi repas pris en commun. Après-midi, groupes de paroles aidants, aidés, avec un animateur différent dans chaque groupe. Nous comptons vivement sur votre présence.
Mardi 12 avril 2016 : journée Parkinson, intervention du Dr DRESS neurologue et autres intervenants avec la participation du CLIC des Marais.
Juin journée rencontre dans la région des PIEUX à partir de 11 heures causeries, repas, découverte de la région en fonction de chacun etc….
Nous avons pris contacts avec les nouveaux centres médicaux sociaux avec documentation à l’appui.
Nous avons repris des contacts physiques ou téléphoniques avec les adhérents qui ne peuvent se déplacer. Nous répondons à toutes demandes de renseignements ou de visites dans la mesure du possible, nous commençons à organiser des mini rencontres autour d’un goûter, d’un repas ou tout simplement d’un café : Saint Hilaire du Harcouet, Agneaux Jullouville et d’autres à venir.
Espérant vous voir nombreux à toutes ces manifestations .et nous comptons sur vos propositions et vos attentes. N’hésitez pas à appeler, ne restez pas seul, sortez, bougez dans la mesure du possible et pour terminer tout le bureau vous souhaite une santé la meilleure possible.
Brigitte Leroux, présidente
Propulsé par WordPress et le thème GimpStyle créé par Horacio Bella. Traduction (niss.fr).
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