Ne pas être qu'un "patient" ...

Vu sur le net : Avancée dans le domaine des cellules nerveuses artificielles

Suède — Les équipes des dépar­te­ments de physio­lo­gie des univer­si­tés de Stock­holm et de Linkö­ping ont réussi à créer la première cellule nerveuse arti­fi­cielle capable de commu­ni­quer avec les cellules nerveuses d’un homme.

Vous pouvez lire l’in­té­gra­lité de l’ar­ticle sur le site de Maxi Sciences.

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  1. Recou­rir aux (seuls) médi­ca­ments ou trai­te­ments symp­to­ma­tiques comme proposé ici dans le cas notam­ment de la mala­die de Parkin­son, c’est encore persis­ter à igno­rer la piste psycho­lo­gique et qui est INCONTOURNABLE dans la surve­nance, notam­ment de cette maladie. 

    Tout ce qui peut être diag­nos­ti­qué comme symp­tômes divers ou comme facteurs maté­riels possibles ne consti­tue que la face visible de l’iceberg ; c’est bien à l’image de cette méde­cine réso­lu­ment et dogma­ti­que­ment symp­to­ma­tique qui ne s’occupe de ce qui est en AVAL, alors qu’il faut ici aussi consi­dé­rer ce qui est en AMONT. 

    C’est comme un jeu de domi­nos : il ne servira à rien à moyen terme de ne s’occuper que des mani­fes­ta­tions en queue de liste car il faut s’occuper de ce qui a été à l’origine réelle des maux. La plupart des scien­ti­fiques modernes sont main­te­nant d’accord pour dire que l’origine des mala­dies est dans le stress oxydant ou oxydatif. 

    Mise à part les (coûteuses) pistes compor­te­men­ta­liste et allo­pa­thique mais qui ne résolvent rien en profon­deur, est très effi­cace la piste (réel­le­ment) psycho­thé­ra­peu­tique dans ce qu’elle intègre les neuros­ciences cogni­tives ou psycho­bio­lo­gie (qui font partie des sciences de la psycho­lo­gie officielle). 

    En témoigne cette personne qui a livré en confé­rence le témoi­gnage de son auto-​guérison de la mala­die de Parkin­son : http://www.retrouversonnord.be/belva.htm

    A médi­ter :

    « Des études cliniques, effec­tuées sur des malades dont on a pu établir tous les anté­cé­dents biogra­phiques, ont montré l’existence d’un rapport chro­no­lo­gique entre l’évolution de leur mala­die et les événe­ments reten­tis­sant sur leur vie affec­tive. La situa­tion qui préci­pite le sujet dans la mala­die revêt pour ce malade une signi­fi­ca­tion affec­tive parti­cu­lière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une problé­ma­tique conflic­tuelle non réso­lue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. »
    (A. BECACHE– Psycho­lo­gie Patho­lo­gique, p. 219 – Abré­gés Masson). 

    « C’est la méde­cine tout entière qui doit s’ou­vrir à la psycho­lo­gie et deve­nir psycho­so­ma­tique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH : « Toute mala­die relève à la fois de l’es­prit et du corps et toute théra­peu­tique est, de ce fait, de la méde­cine psycho­so­ma­tique. Lors­qu’on en sera dûment persuadé, le terme psycho­so­ma­tique pourra dispa­raître, les données qu’il traduit étant désor­mais impli­quées dans le terme méde­cine ». Mais pour cela il faut que tous les méde­cins et psychiatres soient authen­ti­que­ment formés à la psycho­lo­gie et aient renoncé au préjugé orga­ni­ciste. » Marc-​Alain Descamps (1992). Corps et psyché, p16.

    Commentaire by Baudouin Labrique — 11 août 2009 #

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