Enquête CECAP « Vivre avec Parkinson »
Publié le 04 septembre 2009 à 20:23Enquête effectuée par les Associations de Parkinsoniens des départements : Charente, Deux-Sèvres, Finistère, Ille et Vilaine, Loire-Atlantique, Manche, Morbihan et Seine-Saint-Denis composant en partie CECAP, de mars à juillet 2009 auprès de leurs adhérents.
La base de données comporte 305 personnes.
22 – 08-09 — enquête CECAP août 09 – 1. Cliquez sur le lien pour lire le document « en ligne ». Pour le lire « à tête reposée », téléchargez le document en faisant un « clic-droit » (cliquer avec le bouton droit de la souris) et choisissez « enregistrer sous… ».
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Monsieur Lemay, merci pour votre réponse détaillée et instructive .Effectivement « les dysfonctionnements » de l’ADPL n’ont pas à êtres traités sur ce site de GP29 et je n’en dirai pas plus.
très cordialement . j p.
Commentaire by piaser — 5 décembre 2009 #
Bonsoir Monsieur Piaser, je suis assez étonné de votre question car cette histoire a été réglée en son temps avec mon correspondant de l’association du Limousin.
La question a été posée sur le site alors qu’elle aurait du être posée au bureau de l’association du Limousin, je dois donc vous répondre par le même canal.
J’ai travaillé en toute clarté et en bon intelligence avec mon correspondant de l’association du Limousin et je peux donc répondre avec précision, la très grande majorité des 16 (et non 30 comme vous l’indiquez) questionnaires remplis du Limousin étaient inexploitables car il manquait un grand nombre d’informations et je n’ai pu en utiliser aucun. Ces questionnaires étant remplis dans l’anonymat, nous ne pouvions pas les faire compléter et il était hors de question de repartir de zéro compte tenu des délais. En accord avec mon correspondant de l’association du Limousin, afin de ne pas décourager les bonnes volontés, nous avons décidé de faire tant bien que mal un dépouillement partiel et approximatif pour redonner une information incomplète strictement locale aux personnes qui avaient pris la peine de remplir très imparfaitement ce questionnaire et nous n’avons pas intégré ces résultats trop partiels à la base de données générale de l’enquête.
Pour en terminer, c’est un problème local qui aurait du être réglé en local, le site GP29 n’est pas le lieu idéal pour régler les problèmes locaux.
Je crois que vous devriez poser votre question directement au bureau de l’association du Limousin pour de plus amples renseignements.
Cordialement également.
Commentaire by Pierre Lemay — 4 décembre 2009 #
Bonjour ‚l’enquête CECAP « vivre avec parkinson« apporte un éclairage supplémentaire et réaliste du bouleversement que cette maladie impose à ceux qu’elle atteint.De nombreuses associations y ont participé ‚8 sont citées sauf l’ADPL qui avait pressé ses adhérents dont environ 30 avaient fait l’effort de remplir le questionnaire.Les questionnaires de l’ADPL n’ont ils pas été intégrés et pourquoi?Cordialement,jp
Commentaire by piaser — 3 décembre 2009 #
Monsieur Labrique — bonjour — toutes mes excuses pour avoir tardé à vous répondre et pour ne pas avoir publié vos deux dernières interventions. Vous dites « mieux connaître sa maladie pour mieux la guérir » , comme vous avez pu le remarquer notre site s’intitule « ne pas être qu’un patient » , nous sommes donc d’accord. Cependant, je ne peux publier vos longues interventions à la suite de chacun de nos articles et surtout pas vos appréciations sur la médecine et les médicaments. Ce que nous voulons c’est informer le mieux possible de tout ce qui existe et cela seulement. Donc Monsieur soyez gentil de bien vouloir en rester là. avec mes meilleurs sentiments. E. Six — responsable de ce site.
Commentaire by GP29 — 12 octobre 2009 #
On découvre dans le document servant à cette enquête, cette volonté affichée de : « mieux connaître sa maladie pour mieux la gérer ».
A la lumière de mon expérience professionnelle en la matière et par rapport à ce que je peux lire à ce sujet, je constate qu’on pose ici comme ailleurs la seule piste médicamenteuse [« médica-menteuse » !!], même si on parle d’accompagner psychologiquement (mais sous seule forme de groupe de parole) comme pouvant aider à la résolution de tels maux et comme reconnu, elle n’est évidemment pas efficace,
Il est pourtant dit dans ce rapport que les patients réclament une aide psychologique mais on persiste ici encore à ignorer la piste psychobiologique et qui est INCONTOURNABLE dans la survenance, notamment de cette maladie.
Le célèbre professeur Henri LABORIT qui avait écrit un célèbre livre « Inhibition de l’action » (Editions Masson Paris & Presses Universitaires de Montréal, 1980) expose la théorie psychosomatique
« (…) pour faire une infection ou une affection néoplasique [Ndlr :cancer], il ne suffit pas d’un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi.
On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement.
Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l’individu qu’ils atteignent. (…)
Nous sommes les autres, c’est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres — nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs — ont fait de nous, consciemment ou non.
Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie. »
Tout ce qui peut être diagnostiqué comme symptômes divers ou comme facteurs matériels possibles ne constitue que la face visible de l’iceberg ; c’est bien à l’image de cette médecine résolument et dogmatiquement symptomatique qui ne s’occupe de ce qui est en AVAL, alors qu’il faut ici aussi considérer ce qui est en AMONT.
C’est comme un jeu de dominos : il ne servira à rien à moyen terme de ne s’occuper que des manifestations en queue de liste car il faut s’occuper de ce qui a été à l’origine réelle des maux. La plupart des scientifiques modernes sont maintenant d’accord pour dire que l’origine des maladies est dans le stress oxydant ou oxydatif.
Mise à part les (coûteuses) pistes comportementaliste et allopathique mais qui ne résolvent rien en profondeur, est très efficace la piste (réellement) psychothérapeutique dans ce qu’elle intègre les neurosciences cognitives ou psychobiologie (qui font partie des sciences de la psychologie officielle).
En témoigne cette personne qui a livré en conférence le témoignage de son auto-guérison de la maladie de Parkinson grâce à ce type de psychothérapie :
« Diagnostiquée parkinsonienne, on la déclare condamnée. Elle ne se résigne pas et décide de se tourner vers des thérapies alternatives pour ne pas rentrer dans « l’engrenage de la chimie » et ne pas être rangée dans « le camp des malades » : « je me suis mise résolument du côté de la vie ! » déclare-t-elle au psychothérapeute qui l’accompagnera vers son autoguérison. Au vu des surprenantes analyses médicales qui en attestent, un médecin abasourdi écrit « l’hypothétique parkinson » »
Source : http://www.retrouversonnord.be/belva.htm
A méditer :
« Des études cliniques, effectuées sur des malades dont on a pu établir tous les antécédents biographiques, ont montré l’existence d’un rapport chronologique entre l’évolution de leur maladie et les événements retentissant sur leur vie affective. La situation qui précipite le sujet dans la maladie revêt pour ce malade une signification affective particulière, parce qu’elle est liée à son passé ou à une problématique conflictuelle non résolue. C’est en raison de ces liens qu’elle a pour lui un effet de stress. »
(A. BECACHE– Psychologie Pathologique, p. 219 – Abrégés Masson).
« C’est la médecine tout entière qui doit s’ouvrir à la psychologie et devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH : « Toute maladie relève à la fois de l’esprit et du corps et toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique. Lorsqu’on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra disparaître, les données qu’il traduit étant désormais impliquées dans le terme médecine ». Mais pour cela il faut que tous les médecins et psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient renoncé au préjugé organiciste. » (Marc-Alain Descamps (1992). Corps et psyché, p16).
ce qui suit, je corrigerais en « « mieux connaître sa maladie pour mieux la GUERIR ».
Commentaire by Labrique Baudouin — 5 septembre 2009 #