Ne pas être qu'un "patient" ...

[vu sur le net] Parkinson : vers un test précoce par dépistage sanguin en Israël

article trouvé sur le site siliconwadi.fr

Le labo­ra­toire israé­lien BioShai prévoit de cham­bou­ler l’horizon médi­cal par son test sanguin PDx commer­cia­lisé dès 2017. Il s’agit d’une prise de sang pour détec­ter et trai­ter la mala­die de Parkin­son à son stade le plus précoce.

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de diag­nos­ti­quer la mala­die avant l’apparition de ses premiers symp­tômes. Son dépis­tage, possible entre 5 et 10 ans après l’apparition des dommages, rend la mala­die diffi­cile à trai­ter voire irréversible.

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[vu sur le net] Et si Parkinson venait du ventre ?

article trouvé sur le site de Sciences & Avenir

Une étude suédoise montre que la section du nerf vague qui innerve l’intestin décroît le risque de mala­die de Parkin­son. Un argu­ment de plus pour la théo­rie de l’origine intes­ti­nale de la maladie. 

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[vu sur le net] Maladie de Parkinson : des risques plus élevés dans les zones agricoles

article trouvé sur le site La santé publique

Le lien entre pesti­cides et mala­die de Parkin­son chez les agri­cul­teurs est déjà avéré. Mais qu’en est-​il des habi­tants des zones rurales ? L’Inserm a mené une étude pour répondre à cette question.

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[vu sur le net] PARKINSON : Pourquoi ce gain de poids après stimulation cérébrale profonde

article trouvé sur le site Santé log

La stimu­la­tion céré­brale profonde est une alter­na­tive ‑lorsque les médi­ca­ments ne parviennent plus à corri­ger les tremblements- qui a fait ses preuves sur les perfor­mances motrices et la qualité de vie des patients. Cette étude de l’Institut SISSA (Trieste) dévoile les causes du gain de poids chez les patients atteints de Parkin­son trai­tés par stimu­la­tion céré­brale profonde. Ces données, présen­tées dans l’excellente revue Cortex, et qui révèlent, entre autres conclu­sions, un niveau d’im­pul­si­vité élevé et un désir accru de nour­ri­ture, apportent des bases d’interventions de préven­tion pour limi­ter le surpoids chez les patients parkinsoniens.

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[vu sur le net] Parkinson : une augmentation du risque associé aux activités agricoles, même en population générale

article sur le site de l’IN­SERM

Les personnes qui ne sont pas expo­sées aux pesti­cides dans leur cadre profes­sion­nel pour­raient, comme les agri­cul­teurs, encou­rir un risque accru de mala­die de Parkin­son lorsque l’ac­ti­vité agri­cole est dense autour de leur lieu d’habitation.

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[vu sur le net] 10 nouvelles pistes de recherche sur la maladie de Parkinson

article trouvé sur le site de Retraite Plus

Si les causes de la mala­die de Parkin­son sont encore mal connues, ce syndrome céré­bral est le mieux étudié en France et la recherche sur cette mala­die y est très active. Voici quelques unes des pistes promet­teuses qui sont aujourd’hui ouvertes :

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[vu sur le net] PRATIQUE : comment trouver un accueil de jour proche de votre domicile

Nous avons trouvé sur le site « pour les personnes âgées » un formu­laire vous permet­tant de trou­ver un accueil de jour dans un rayon (para­mé­trable) quel­conque de votre domi­cile. Exemple, sur notre illus­tra­tion, nous avons choisi un rayon de 10 kilo­mètres autour de Limoges.

Pour trou­ver un accueil de jour proche de chez vous (vous pouvez aussi y trou­ver un établis­se­ment, un point infor­ma­tion ou un service d’aide et de soins à domi­cile) , suivez ce lien…

[vu sur le net] La carte mobilité inclusion pour faciliter les déplacements

article trouvé sur le site « pour les personnes âgées » (Portail natio­nal d’information pour l’autonomie
des personnes âgées et l’accompagnement de leurs proches)

À partir du 1er janvier 2017, les cartes d’invalidité, de prio­rité et de station­ne­ment seront progres­si­ve­ment rempla­cées par la CMI (carte mobi­lité inclu­sion) pour simpli­fier vos démarches.

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[vu sur le net] La protéine de Parkinson voyage du cerveau à l’estomac

Article trouvé sur le site de Science et Avenirs

La protéine alpha-​synucléine est l’ennemi numéro 1 dans la mala­die de Parkin­son. C’est elle, en effet, qui s’agrège en amas dans les neurones à dopa­mine du cerveau et les dété­riore. Ce qui provoque les symp­tômes (troubles moteurs) de la mala­die. Les premiers agré­gats d’alpha-synucléine se forment à la base du tronc céré­bral (qui relie l’encéphale et la moelle épinière) puis remontent progres­si­ve­ment avant de se répandre dans les diffé­rentes régions du cerveau. Les cher­cheurs du German Center for neuro­de­ge­ne­ra­tive Diseases (DZNE) de Bonn (Alle­magne) asso­ciés à l’Université Purdue (Etats Unis) ont fait une décou­verte éton­nante, publiée dans Acta Neuro­pa­tho­lo­gica : l’alpha-synucleine serait aussi capable de voya­ger du cerveau jusqu’à l’estomac ! Et ce, via une auto­route, le nerf vague.

La diffu­sion de l’alpha-synucléine demeure encore mal connue mais des études anté­rieures ont montré qu’elle pouvait « sauter » d’un neurone à l’autre et se retrou­vait dans des organes péri­phé­riques comme l’intestin des malades. Mieux, en 2014 une équipe de l’Uni­ver­sité de Lund (Suède) montrait que la protéine pouvait remon­ter de l’in­tes­tin vers le tronc céré­bral (qui relie le cerveau et la moelle épinière) chez le rat. Elle emprun­tait pour cela le nerf vague, le nerf crânien reliant de nombreux organes et muscles du système cardiaque, diges­tif et respi­ra­toire. « En partant de ces obser­va­tions intri­gantes, l’hypothèse a été faite que le proces­sus patho­lo­gique sous-​jacent de la mala­die de Parkin­son pouvait en fait débu­ter dans le trac­tus gastroin­tes­ti­nal puis se dépla­cer vers le cerveau », explique le profes­seur Donato Di Monte cher­cheur au DZNE, co-​auteur de l’étude. « Notre approche actuelle a été d’observer cette trans­mis­sion longue distance dans l’autre sens, cher­chant la possi­bi­lité que l’alpha-synucléine puisse voya­ger du cerveau à l’intestin. »

Six mois pour passer du tronc céré­bral jusqu’à l’estomac
Avec l’aide d’un vecteur viral l’équipe a donc déclen­ché la produc­tion d’alpha-synucléine humaine dans les neurones de la partie supé­rieure du tronc céré­bral de rats. Puis elle a observé son dépla­ce­ment par l’ana­lyse des tissus. Et le voyage a eu lieu, sous leurs yeux. La protéine est d’abord descen­due le long du tronc céré­bral, puis a été détec­tée à l’embouchure du nerf vague. Progres­si­ve­ment elle a migré le long des longues fibres du nerf jusqu’à atteindre la paroi gastrique. Temps du parcours tronc céré­bral — esto­mac : six mois ! Pour­quoi cette protéine est-​elle si voya­geuse ? : « Nous n’en savons rien », répond Ronald Melki co-​auteur de la publi­ca­tion de 2014 de l’Uni­ver­sité de Lund. « Cela peut être dû au fait qu’elle est impli­quée dans une voie de signa­li­sa­tion dont nous igno­rons tout. Cela peut aussi être du trafic passif, c’est-à-dire une protéine qui se lie à autre chose qui est acti­ve­ment trans­porté par des moteurs molé­cu­laires le long des axones. »

Reste que l’étude alle­mande a précisé quelles fibres parti­cu­lières préfé­rait emprun­ter l’alpha-​synucléine au sein du nerf vague. « Certains neurones semblent avoir une propen­sion parti­cu­lière à prendre, trans­fé­rer et accu­mu­ler l’alpha-​synucléine, souligne Donato Di Monte. Nous ne connais­sons pas les méca­nismes précis qui sous-​tendent ce compor­te­ment neuro­nal sélec­tif. Cepen­dant, il est probable que ces méca­nismes pour­raient expli­quer pour­quoi certaines popu­la­tions neuro­nales et certaines régions du cerveau sont parti­cu­liè­re­ment sensibles à la pathologie. » 

Cette nouvelle donnée pour­rait avoir des impli­ca­tions inté­res­santes pour de futurs trai­te­ments qui cible­raient le blocage de la trans­mis­sion d’alpha-​synucléine. Donato Di Monte cite une étude récente qui montre que le risque de mala­die de Parkin­son a été signi­fi­ca­ti­ve­ment réduit chez des personnes ayant subi une vago­to­mie (abla­tion du nerf vague) pour des raisons médi­cales. « Bien sûr, nous ne préco­ni­sons pas la vago­to­mie comme trai­te­ment géné­ral de la mala­die de Parkin­son », commente le profes­seur. « Les études futures pour­raient toute­fois iden­ti­fier des méca­nismes spéci­fiques de trans­fert inter et intra-​neuronal d’alpha-​synucléine qui pour­raient être ciblés pour le déve­lop­pe­ment de médi­ca­ments et, fina­le­ment, pour le trai­te­ment de la mala­die. »

[vu sur le net] Maladie de Parkinson : sur la piste du microbiome

article trouvé sur le site Desti­na­tion Santé

Pour la première fois, des scien­ti­fiques améri­cains ont établi un lien entre la nature des bacté­ries intes­ti­nales et le risque de déve­lop­per la mala­die de Parkin­son. Le déséqui­libre du micro­biome fragi­li­se­rait en effet les compé­tences motrices.

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[vu sur le net] Maladie de Parkinson : le microbiote intestinal en cause ?

article trouvé sur le site Santé Maga­zine

Selon un groupe de cher­cheurs, la mala­die de Parkin­son peut trou­ver son origine dans l’in­tes­tin en raison des bacté­ries qu’il contient et non unique­ment dans le cerveau. Des modi­fi­ca­tions du micro­biome intes­ti­nal pour­raient en effet consti­tuer un facteur de risque important. 

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[vu sur le net] PARKINSON : On sait produire des neurones dopaminergiques de qualité

article trouvé sur le site santé log

Trai­ter les cellules souches embryon­naires à partir desquelles seront culti­vés les neurones dopa­mi­ner­giques desti­nés à la greffe, répa­rer les neurones dopa­mi­ner­giques défec­tueux de manière à leur permettre de produire à nouveau et norma­le­ment de la dopa­mine, voire ralen­tir ou réduire le vieillis­se­ment pour proté­ger nos cellules céré­brales de la mala­die de Parkin­son, de multiples pistes sont suivies par des équipes de recherche pour pallier à la défi­cience de neurones dopa­mi­ner­giques dans la mala­die de Parkinson.

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[vu sur le net] Douarnenez. Une formation gratuite pour comprendre Parkinson

article trouvé sur le site de Ouest-​France

Cinq séances gratuites sont propo­sées par la plate­forme de répit et d’accompagnement, qui relève du centre hospi­ta­lier Michel-​Mazéas, à Douar­ne­nez. Le but : aider à comprendre la mala­die de Parkin­son et, ainsi, amélio­rer la rela­tion aidant-aidé.

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[vu sur le net] Alzheimer, Parkinson… Les bretons lancent un plan d’actions

En Bretagne, 80 000 personnes sont atteintes de mala­dies neuro-​dégénératives. Asso­cia­tions de patients, d’ai­dants et profes­sion­nels de santé s’or­ga­nisent autour d’un plan d’ac­tions. Mercredi 12 octobre, ils se réunis­saient pour leurs premières assises régionales.

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[vu sur le net] Et si on pouvait traiter le Parkinson par des diurétiques ?

article trouvé sur le site retraiteplus.fr

C’est là la théo­rie du Profes­seur Yehez­kel Ben Ari direc­teur d’une unité Inserm à Paris et fonda­teur il y a 10 ans d’un insti­tut de neuro­bio­lo­gie médi­ter­ra­néen à Marseille. Créa­teur d’une entre­prise de biotech nommée neuro­chlore, il est égale­ment aujourd’­hui grand prix de la recherche Inserm et grand prix de l’académie euro­péenne et améri­caine de l’épilepsie. Connu pour avoir fait émer­ger le concept de neuro archéo­lo­gie, il est consi­déré comme un expert en ce qui concerne la matu­ra­tion cérébrale. 

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[vu sur le net] Accueil de jour. Ti Ma Bro recevra les personnes atteintes de Parkinson

article trouvé sur le site du Télé­gramme

Désor­mais, l’ac­cueil de jour Ti Ma Bro, à Quer­rien, rece­vra une fois par semaine les personnes atteintes de Parkin­son. Hier, l’équipe parti­ci­pait à une jour­née de forma­tion pour se prépa­rer à rece­voir ce nouveau public. 

Note : Ti ma bro est situé à Quer­rien dans le Finis­tère et est joignable au numéro : 02 98 71 34 85

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[vu sur le net] — Parkinson : un test de vision pour dépister la maladie ?

Article trouvé sur le site de Metro­news

Des cher­cheurs ont mis au point un examen permet­tant d’iden­ti­fier, dans les yeux, des signes précur­seurs de la mala­die de Parkinson.
Certains chan­ge­ments peuvent être obser­vés dans la rétine.

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[vu sur le net] — La maladie de Parkinson

article trouvé sur le site du minis­tère des affaires sociales et de la santé

La mala­die de Parkin­son est une affec­tion chro­nique neuro­dé­gé­né­ra­tive : c’est-à-dire qu’elle se carac­té­rise par la dispa­ri­tion progres­sive de certains neurones dans le cerveau.

La consé­quence prin­ci­pale de cette dispa­ri­tion neuro­nale est la dimi­nu­tion de la produc­tion de dopa­mine (une molé­cule qui permet aux neurones de commu­ni­quer entre eux), dans une région essen­tielle au contrôle des mouve­ments. De ce fait, la mala­die de Parkin­son est avant tout une mala­die qui touche les fonc­tions motrices.

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[vu sur le net] Ouverte depuis plus de deux ans, la structure assure une prise en charge de la maladie de Parkinson

article trouvé sur le site de La Montagne

Ouverte depuis avril 2012, l’Unité Parkin­son d’Ydes (UPY) a été la première struc­ture d’hébergement et de soins pour personnes atteintes de la mala­die de Parkin­son, en France. Elle reste, aujourd’hui, très origi­nale et innovante.

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[vu sur le net] Parkinson : le nombre de cas a explosé en 30 ans

article trouvé sur le site pour­quoi docteur ?

La mala­die de Parkin­son a progressé de manière alar­mante en 30 ans. Le nombre de cas diag­nos­ti­qués par an est passé de 40 à 56 pour 100 000 personnes suivies.

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