Pratiques de Santé Décembre 2008 hors-série N°17
Publié le 30 mars 2009 à 10:42Paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT N°36 – mars 2009
Un numéro intéressant de présentation de la maladie, des traitements et surtout de la prévention : limiter le stress, surveiller son alimentation, éviter l’exposition aux toxiques, suivre un régime adapté, éviter toutes sources de pollution environnementales, protéger ses fonctions cognitives, prendre une complémentation nutritionnelle.
Bien sûr il s’agit de médecines naturelles et on peut ne pas y adhérer. Quant à moi, je retiendrais en particulier l’encart sur le décodage biologique tout en acceptant que nombre d’entre nous ne se sentent pas concernés voire agressés : l’important c’est que nous trouvions notre voie !
La maladie de la fuite
Selon le décodage biologique, qui permet de traduire ce que le mal physique nous dit de nos maux psychologiques, cette maladie apparaîtrait chez les personnes qui perçoivent une situation comme dangereuse et face à laquelle elles se sentent impuissantes. Elles voudraient la fuir, mais la situation persiste et elles n’ont pas la force de l’affronter, d’autant plus qu’elles éprouvent de la colère envers un être souvent cher qu’elles estiment responsable de cette situation et qu’elles intériorisent cette colère par culpabilité plus ou moins consciente de nourrir ce sentiment à l’encontre de quelqu’un dont elles savent combien elles sont redevables. Au final, les voila paralysées dans leurs mouvements.
La solution ? Premièrement, comprendre que la culpabilité ne sert qu’à aggraver le vécu intérieur et à bloquer toute possibilité de changement. Deuxièmement, se faire aider en coaching afin de reconnaître ses besoins profonds et ses besoins légitimes, apprendre à les exprimer de façon claire afin qu’ils soient entendus (et peut-être reconnus et respectés) de la personne proche et enfin apprendre à les satisfaire de plus en plus pleinement.
Résultats à attendre ? Même si une certaine régénération des cellules nerveuses est possible, il ne faut pas oublier que, lorsque la maladie se déclare, au moins 40% des neurones dopaminergiques sont déjà détruits. D’autre part, il n’existe aucune étude sur l’évaluation de l’efficacité du coaching. Ce que l’on peut raisonnablement supposer, c’est que la libération de vieux comportements ouvrira sur une vie plus épanouie et en conséquence le stress cellulaire sera réduit et l’évolution de la maladie ralentie.
Pour obtenir le dossier, nous contacter à notre adresse : graveleau.jean2@orange.fr
Par Jean Graveleau
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