Conférence : « Maladie de Parkinson — ce que l’intestin nous apprend » 1er avril à Concarneau
Publié le 22 mars 2017 à 16:27![](http://gp29.net/data/2017/03/affiche_0401-350x500.png)
[vu sur le net] 10 nouvelles pistes de recherche sur la maladie de Parkinson
Publié le 14 mars 2017 à 11:42article trouvé sur le site de Retraite Plus
Si les causes de la maladie de Parkinson sont encore mal connues, ce syndrome cérébral est le mieux étudié en France et la recherche sur cette maladie y est très active. Voici quelques unes des pistes prometteuses qui sont aujourd’hui ouvertes :
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[vu sur le net] Sport sur ordonnance. Oui, mais pas remboursé !
Publié le 24 février 2017 à 05:16article trouvé sur le site du Télégramme
Seuls les assurés en affection de longue durée pourront se voir prescrire des séances d’activités physiques, à partir du 1e r mars, mais sans prise en charge de l’assurance-maladie. Comme un coup d’épée dans l’eau.
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[vu sur le net] La carte mobilité inclusion pour faciliter les déplacements
Publié le 31 janvier 2017 à 11:04article trouvé sur le site « pour les personnes âgées » (Portail national d’information pour l’autonomie
des personnes âgées et l’accompagnement de leurs proches)
À partir du 1er janvier 2017, les cartes d’invalidité, de priorité et de stationnement seront progressivement remplacées par la CMI (carte mobilité inclusion) pour simplifier vos démarches.
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Alzheimer, Parkinson… Les bretons lancent un plan d’actions
Publié le 30 janvier 2017 à 08:16Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°67
Sclérose en plaques, Parkinson, Alzheimer, Sclérose latérale amyotrophique… En Bretagne 80 000 personnes sont touchées. Autour de ces maladies neurodégénératives, les associations de patients, d’aidants et les professionnels de santé comme l’agence régionale de santé (ARS) s’organisent. Ils ont établi un plan d’actions pour « unir [leurs] forces et avancer grâce aux expériences qui ont déjà porté leurs fruits sur certaines pathologies. »
Mercredi 12 octobre, les acteurs de ce projet, comme France Alzheimer ou France Parkinson, se réunissaient pour leurs premières assises régionales. Le but ? Préciser les stratégies d’accompagnement, de recherche et de soins pour ces maladies touchant le système nerveux central.
Le plan d’actions vise à :
- Favoriser un diagnostic de qualité et éviter les situations d’errance. Avec notamment des centres spécialisés.
- Renforcer le rôle de la personne malade et de ses proches grâce à des formations
- Garantir une prise en charge partout sur le territoire
- Faire des droits de la personne et de la réflexion éthique un levier de la conduite du changement
- Faciliter la vie avec la maladie grâce à une société respectueuse et intégrative
Les maladies neurodégénératives en quelques chiffres :
![](http://gp29.net/data/2017/01/lpi67_01-316x500.jpg)
Transmis par Renée Dufant
[vu sur le net] La protéine de Parkinson voyage du cerveau à l’estomac
Publié le 23 janvier 2017 à 09:41Article trouvé sur le site de Science et Avenirs
La protéine alpha-synucléine est l’ennemi numéro 1 dans la maladie de Parkinson. C’est elle, en effet, qui s’agrège en amas dans les neurones à dopamine du cerveau et les détériore. Ce qui provoque les symptômes (troubles moteurs) de la maladie. Les premiers agrégats d’alpha-synucléine se forment à la base du tronc cérébral (qui relie l’encéphale et la moelle épinière) puis remontent progressivement avant de se répandre dans les différentes régions du cerveau. Les chercheurs du German Center for neurodegenerative Diseases (DZNE) de Bonn (Allemagne) associés à l’Université Purdue (Etats Unis) ont fait une découverte étonnante, publiée dans Acta Neuropathologica : l’alpha-synucleine serait aussi capable de voyager du cerveau jusqu’à l’estomac ! Et ce, via une autoroute, le nerf vague.
La diffusion de l’alpha-synucléine demeure encore mal connue mais des études antérieures ont montré qu’elle pouvait « sauter » d’un neurone à l’autre et se retrouvait dans des organes périphériques comme l’intestin des malades. Mieux, en 2014 une équipe de l’Université de Lund (Suède) montrait que la protéine pouvait remonter de l’intestin vers le tronc cérébral (qui relie le cerveau et la moelle épinière) chez le rat. Elle empruntait pour cela le nerf vague, le nerf crânien reliant de nombreux organes et muscles du système cardiaque, digestif et respiratoire. « En partant de ces observations intrigantes, l’hypothèse a été faite que le processus pathologique sous-jacent de la maladie de Parkinson pouvait en fait débuter dans le tractus gastrointestinal puis se déplacer vers le cerveau », explique le professeur Donato Di Monte chercheur au DZNE, co-auteur de l’étude. « Notre approche actuelle a été d’observer cette transmission longue distance dans l’autre sens, cherchant la possibilité que l’alpha-synucléine puisse voyager du cerveau à l’intestin. »
Six mois pour passer du tronc cérébral jusqu’à l’estomac
Avec l’aide d’un vecteur viral l’équipe a donc déclenché la production d’alpha-synucléine humaine dans les neurones de la partie supérieure du tronc cérébral de rats. Puis elle a observé son déplacement par l’analyse des tissus. Et le voyage a eu lieu, sous leurs yeux. La protéine est d’abord descendue le long du tronc cérébral, puis a été détectée à l’embouchure du nerf vague. Progressivement elle a migré le long des longues fibres du nerf jusqu’à atteindre la paroi gastrique. Temps du parcours tronc cérébral — estomac : six mois ! Pourquoi cette protéine est-elle si voyageuse ? : « Nous n’en savons rien », répond Ronald Melki co-auteur de la publication de 2014 de l’Université de Lund. « Cela peut être dû au fait qu’elle est impliquée dans une voie de signalisation dont nous ignorons tout. Cela peut aussi être du trafic passif, c’est-à-dire une protéine qui se lie à autre chose qui est activement transporté par des moteurs moléculaires le long des axones. »
Reste que l’étude allemande a précisé quelles fibres particulières préférait emprunter l’alpha-synucléine au sein du nerf vague. « Certains neurones semblent avoir une propension particulière à prendre, transférer et accumuler l’alpha-synucléine, souligne Donato Di Monte. Nous ne connaissons pas les mécanismes précis qui sous-tendent ce comportement neuronal sélectif. Cependant, il est probable que ces mécanismes pourraient expliquer pourquoi certaines populations neuronales et certaines régions du cerveau sont particulièrement sensibles à la pathologie. »
Cette nouvelle donnée pourrait avoir des implications intéressantes pour de futurs traitements qui cibleraient le blocage de la transmission d’alpha-synucléine. Donato Di Monte cite une étude récente qui montre que le risque de maladie de Parkinson a été significativement réduit chez des personnes ayant subi une vagotomie (ablation du nerf vague) pour des raisons médicales. « Bien sûr, nous ne préconisons pas la vagotomie comme traitement général de la maladie de Parkinson », commente le professeur. « Les études futures pourraient toutefois identifier des mécanismes spécifiques de transfert inter et intra-neuronal d’alpha-synucléine qui pourraient être ciblés pour le développement de médicaments et, finalement, pour le traitement de la maladie. »
[vu sur le net] Maladie de Parkinson : sur la piste du microbiome
Publié le 20 décembre 2016 à 23:00article trouvé sur le site Destination Santé
Pour la première fois, des scientifiques américains ont établi un lien entre la nature des bactéries intestinales et le risque de développer la maladie de Parkinson. Le déséquilibre du microbiome fragiliserait en effet les compétences motrices.
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[vu sur le net] Maladie de Parkinson : le microbiote intestinal en cause ?
Publié le 06 décembre 2016 à 19:43article trouvé sur le site Santé Magazine
Selon un groupe de chercheurs, la maladie de Parkinson peut trouver son origine dans l’intestin en raison des bactéries qu’il contient et non uniquement dans le cerveau. Des modifications du microbiome intestinal pourraient en effet constituer un facteur de risque important.
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[vu sur le net] PARKINSON : On sait produire des neurones dopaminergiques de qualité
Publié le 09 novembre 2016 à 12:11article trouvé sur le site santé log
Traiter les cellules souches embryonnaires à partir desquelles seront cultivés les neurones dopaminergiques destinés à la greffe, réparer les neurones dopaminergiques défectueux de manière à leur permettre de produire à nouveau et normalement de la dopamine, voire ralentir ou réduire le vieillissement pour protéger nos cellules cérébrales de la maladie de Parkinson, de multiples pistes sont suivies par des équipes de recherche pour pallier à la déficience de neurones dopaminergiques dans la maladie de Parkinson.
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[vu sur le net] Douarnenez. Une formation gratuite pour comprendre Parkinson
Publié le 03 novembre 2016 à 15:37article trouvé sur le site de Ouest-France
Cinq séances gratuites sont proposées par la plateforme de répit et d’accompagnement, qui relève du centre hospitalier Michel-Mazéas, à Douarnenez. Le but : aider à comprendre la maladie de Parkinson et, ainsi, améliorer la relation aidant-aidé.
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[nicotinothérapie] Questionnaire anonyme créé par l’association A2N
Publié le 27 octobre 2016 à 07:33Questionnaire anonyme créé par l’association A2N
Le questionnaire est anonyme car il comporte des informations médicales. Il est destiné aux patients atteints de la maladie de Parkinson sous NEPT (Nicotine à l’État Pur Transdermique).
Cliquez ici pour accéder au questionnaire (format .pdf)
Après l’avoir imprimé et rempli, envoyez-le à l’adresse suivante :
418 montée du grand nantoin
38260 Nantoin
Les questionnaires seront remis à la Direction Générale de la santé
[vu sur le net] Alzheimer, Parkinson… Les bretons lancent un plan d’actions
Publié le 22 octobre 2016 à 07:28En Bretagne, 80 000 personnes sont atteintes de maladies neuro-dégénératives. Associations de patients, d’aidants et professionnels de santé s’organisent autour d’un plan d’actions. Mercredi 12 octobre, ils se réunissaient pour leurs premières assises régionales.
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Réunion d’information au sujet d’une formation : soutenir les patients et les proches : Douarnenez
Publié le 20 octobre 2016 à 13:51Dans le cadre de ses activités, la plateforme de répit et d’accompagnement du CH de Douarnenez accompagne un nombre croissant de familles où un des membres est atteint de la maladie de Parkinson.
Aussi, afin de soutenir encore plus efficacement et les patients et les proches , nous sommes heureux de vous convier à la conférence de presse qui se tiendra
le lundi 24 octobre à 10H dans les locaux de la plateforme de répit, rue des Plomarc’h ancienne école Jean Turmeaux à Douarnenez, afin d’évoquer devant la presse l’organisation par la plateforme de répit à court terme d’une formation à destination des usagers, atteint ou non de la maladie de parkinson et de leurs aidants ;
Cette initiative se déroulera sur 5 demi-journées dans les locaux de la plateforme de répit à Douarnenez, à partir du jeudi 3 novembre prochainVous trouverez ci-joint le flyer d’information ; L’accès à ces séquences de formation est libre et gratuit .
formation-parkinson
Effet placebo : plus un traitement est cher, plus il est efficace !
Publié le 29 septembre 2016 à 07:56Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°66
Dans une expérience avec des patients atteints de la maladie de Parkinson, des chercheurs ont montré que l’effet placébo (le terme placebo signifie « je plairai » en latin. Il a été choisi pour indiquer que l’effet se faisait au bénéfice du patient) est d’autant plus efficace que les patients croient que le produit actif administré est cher. Un résultat qui vient rappeler tout le mystère qui entoure encore ce phénomène biologique.
L’étude, réalisée par l’Institut de neurosciences de l’Université de Cincinnati (Etats-Unis) et parue dans la revue Neurology, a concerné 12 patients atteints d’une forme modérée à sévère de Parkinson, avec des atteintes motrices (rigidité, tremblements). Les chercheurs les ont préalablement informés qu’ils recevraient chacun une des deux versions d’une nouvelle drogue injectable antiparkinsonienne, un « agoniste de la dopamine » (molécule qui active les récepteurs de dopamine dans la membrane des neurones).
Une efficacité multipliée par 2 pour le placebo cher
Les chercheurs ont fait croire aux patients que la substance active était la même dans les deux médicaments, mais que l’un coûtait 15 fois plus que l’autre, pour des raisons diverses (conditionnement, transport, etc.). En réalité les seringues étaient remplies de la même solution saline. En prenant soin d’informer les patients du coût (supposé) de leur injection –une dose à 100 dollars ou une dose à 1500 dollars– les chercheurs ont ensuite menée une batterie de tests-types sur la maladie de Parkinson : questionnaire sur le ressenti des patients, impression clinique globale (CGI), échelle de notation unifiée de la maladie de Parkinson (Unified Parkinson’s Disease Rating Scale ou UPDRS) comprenant notamment des mesures d’activité cérébrale par IRM.
Un effet visible sur la motricité et l’activité cérébrale
L’aspect le plus parlant des résultats obtenus concerne la fonction motrice et l’activation cérébrale des patients : injection du placebo présenté comme une substance active chère a entraîné une amélioration deux fois plus importante qu’avec la « substance » présentée comme la moins chère.
Comparée à l’efficacité d’un véritable agoniste de la dopamine, ici la Lévodopa, l’efficacité du placebo cher se trouve à mi-chemin entre cette dernière et celle du placebo bon marché.
Des résultats qui viennent valider une multitude d’autres études sur l’effet placebo, prouvant que l’esprit contribue à la guérison du corps dans des proportions et selon des mécanismes qu’on commence à peine à dévoiler.
Article de Roman Ikonicoff dans Science et Vie
Lu par Françoise Vignon
La recette prometteuse du Pr. Afsaneh Gaillard contre Parkinson
Publié le 28 septembre 2016 à 13:06Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°66
Remplacer des neurones abîmés par leurs petits frères tout neufs, c’est ce qu’est en passe de réaliser le Pr Afsaneh Gaillard dans son laboratoire de Poitiers (Inserm 1084). Un réel espoir pour les malades de Parkinson. Le défi est de remplacer les neurones abîmés par de nouveaux neurones intacts. Pour cela, la greffe de cellules est la voie la plus prometteuse.
Dans les années 1970 et 1980, environ 700 patients en Suède, en Angleterre, au Mexique, aux Etats-Unis et quelques-uns en France ont bénéficié de greffes de neurones dopaminergiques dans le striatum, avec une réelle amélioration pour un tiers d’entre eux. « Un tiers seulement, car il est impossible de réguler la dopamine en la plaçant là où elle est consommée », précise Afsaneh Gaillard. « Nous voulons, nous, agir sur le siège de production, dans la substance noire, pour maîtriser les apports et améliorer les résultats. Quand ça fonctionne, cela dure pendant des années ! ».
Avec son équipe, le professeur a démontré il y a deux ans qu’il est possible de transplanter des neurones dans la substance noire et de libérer de la dopamine à distance dans le striatum. Si ces résultats obtenus sur des souris adultes sont à confirmer sur l’homme, ils ont déjà été salués comme une révolution par le monde de la neurologie !
Afsaneh Gaillard soulève un autre problème, d’ordre éthique celui-là : « A l’époque des tests sur l’homme, les neurones remplaçants étaient d’origine fœtale. Or, pour nous, il n’est pas possible de miser sur des interruptions médicales de grossesse pour soigner les patients ! Les greffes ont été stoppées ».
Une source illimitée de neurones
La solution est venue du Japon. Un médecin, Shinya Yamanaka, a découvert une alternative pour laquelle il a reçu le prix Nobel en 2012. Il a démontré comment prélever des cellules à partir d’un échantillon de sang ou de peau du malade pour les rajeunir et obtenir des cellules souches, c’est-à-dire des cellules indifférenciées, autrement dit sans identité. « Selon la recette de cuisine qui leur est appliquée, ces cellules peuvent devenir de la peau, de l’os, du muscle, etc.… » précise Afsaneh Gaillard.
A Poitiers, la chercheuse et son équipe ont travaillé sur la « recette » pour créer les cellules dopaminergiques qui leur manquaient. « C’est un trésor, une source illimitée et fiable de neurones, sans risque de rejet puisqu’il s’agit du matériel génétique du malade », s’enthousiasme-t-elle. Elle décrit à quel point ces découvertes pourraient changer la vie des malades de Parkinson. Une fois les neurones greffés, les traitements redeviendraient actifs. Peut-être même n’y aurait-il plus besoin de médicaments ? Néanmoins, il faut encore valider l’efficacité et l’innocuité de ces greffes.
Ses travaux ont valu à Afsaneh Gaillard le prix 2015 de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) qui participe au financement du laboratoire aux côtés de France Parkinson, de la Fondation de France, de l’INSERM et de l’Université de Poitiers. « Trouver des fonds demande beaucoup d’énergie. Les recherches iraient plus vite avec une équipe renforcée. A terme, un traitement coûtera moins cher que la prise en charge des malades durant de longues années », assure la chercheuse
Extrait de l’article d’Agnès Duperrin dans Notre Temps, juillet 2016,
Lu par Françoise. Vignon
Le Centre expert de Lyon propose un dispositif aux malades non éligibles à la stimulation cérébrale ou à la pompe sous-cutanée.
Publié le 25 septembre 2016 à 10:05Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°66
Due à une insuffisance de production de dopamine, la maladie de Parkinson relève d’une prise en charge thérapeutique complexe qui ne permet pas de guérir, mais de diminuer les symptômes moteurs.
Dans un premier temps, le déficit en dopamine est compensé par des médicaments, notamment un précurseur de la dopamine (L‑Dopa) ou un agoniste qui mime l’action de la dopamine. Mais au fil du temps, leur efficacité diminue et les fluctuations motrices s’intensifient : les patients sont bloqués ou, à l’inverse, en proie à des mouvements involontaires. Vient alors l’heure des traitements de seconde intention, et en premier lieu la stimulation cérébrale profonde.
Une technique utilisée dans les pays scandinaves
Mais tous les patients ne sont pas éligibles à cette neurochirurgie réservée aux moins de 70 ans, et certains ne veulent pas de ce dispositif invasif. Jusqu’à présent, la seule alternative était une pompe à apomorphine sous-cutanée, semblable à une pompe à insuline, diffusant en continu une substance proche de la dopamine. Cependant, ce dispositif n’est pas toujours bien supporté, en raison d’effets secondaires lourds (nodules sous-cutanés, hallucinations, addiction).
Aussi, le Centre expert Parkinson de Lyon, basé aux Hospices civils de Lyon, a décidé de proposer une alternative : une pompe à Duodopa, qui délivre dans l’intestin une forme gélifiée de L‑Dopa associée à une enzyme, ralentissant la dégradation de la dopamine. La technique n’est pas récente, mais elle est surtout utilisée dans les pays scandinaves.
« En France, la chirurgie est très dominante et nous pensions que le tube visible était un frein psychologique important pour les malades », explique le Dr Téodor Danaila, neurologue à l’hôpital Pierre-Wertheimer. Finalement, le dispositif a été proposé pour la première fois en 2014 à un viticulteur âgé de 73 ans qui ne supportait plus la pompe sous-cutanée, après avoir développé des nodules et commençait alors, faute de solution thérapeutique, à sombrer physiquement et psychiquement. « Le résultat a été formidable : il a retrouvé son autonomie », raconte le Dr Danaila.
Aujourd’hui, cinq patients utilisent ce dispositif qui nécessite une légère intervention chirurgicale d’une demi-heure, mais entraîne moins d’effets indésirables que la pompe à apomorphine. À terme, une vingtaine de patients devraient être équipés chaque année à Lyon soit autant qu’avec une pompe à apomorphine.
Article transmis par Renée Dufant
La NAC : la vitamine qui « booste » la dopamine
Publié le 23 septembre 2016 à 08:21Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°66
La NAC ou n‑acétylcystéine, un dérivé naturel de l’acide aminé cystéine, largement reconnu et utilisé pour ses effets antioxydants, montre, avec cette étude de l’Université Thomas Jefferson, un bénéfice très significatif chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. 3 mois de supplémentation avec NAC suffisent ici à améliorer les niveaux de dopamine – en cause dans la maladie – et les capacités mentales des patients. Des conclusions présentées dans la revue PLoS-ONE qui apportent un espoir dans la gestion des symptômes cognitifs de la maladie.
Les traitements actuels de maladie de Parkinson consistent généralement à remplacer, temporairement la dopamine déficiente dans le cerveau, ou à ralentir la progression du processus de la maladie. De récentes recherches ont montré le rôle essentiel du stress oxydatif dans le cerveau, dans le processus de la maladie avec une diminution associée des niveaux de glutathion, une substance chimique produite par le cerveau pour lutter contre le stress oxydatif. Or, la NAC contribue à réduire les dommages oxydatifs aux neurones en restaurant les niveaux de l’antioxydant « glutathion ».
Dans cet essai clinique préliminaire mené par des médecins des services de médecine intégrative, neurologie et de radiologie de l’Université Thomas Jefferson :
Les patients parkinsoniens qui ont poursuivi normalement leur traitement standard ont été répartis en 2 groupes. Le premier groupe a reçu une combinaison à la fois par voie orale et par voie intraveineuse de NAC, durant 3 mois. Le second groupe a poursuivi son traitement standard. L’expérience montre à la fois par évaluation clinique, une « reprise » des capacités mentales et physiques des patients ayant reçu la vitamine, et par études d’imagerie cérébrale une reprise des niveaux de dopamine, dont l’absence est impliquée dans la maladie de Parkinson. Comparativement aux témoins, les patients ayant reçu la NAC présentent des améliorations de 4 à 9% des niveaux de dopamine (visuel de droite) et de 13% dans les scores de tests cognitifs.
![lpi66-02](http://gp29.net/data/2016/09/lpi66-02.jpg)
Une nouvelle « avenue » pour la gestion des patients atteints de Parkinson est donc ouverte avec ces résultats, d’autant que la n‑acétylcystéine est une vitamine bien connue, utilisée dans la gestion de nombreuses maladies et disponible dans la plupart des magasins de nutrition.
Et bien que déjà bien connue, la NAC semble présenter une efficacité « jamais vue » dans la réduction de ces symptômes cognitifs de Parkinson.
Article de P. Bernanose du 19/06/16 de Santé Blog
Lu par Mileine Campredon
Création du « Café des Aidants » à Landerneau
Publié le 21 septembre 2016 à 11:05Nous (Communauté des Communes du Pays de Landerneau-Daoulas) avons le plaisir de vous annoncer la création d’un Café des Aidants® sur le territoire du pays de Landerneau-Daoulas, en partenariat avec l’Association Française des aidants et CAP Retraite Bretagne.
Animées par une psychologue et une animatrice sociale, les rencontres se déroulent au même rythme qu’un groupe de soutien, à savoir une fois par mois, autour d’un thème. Les participants y viennent librement, sans inscription. Le Café des Aidants est ouvert à tous les aidants, quelque soit la situation et l’âge de la personne aidée.
La première rencontre se tiendra le jeudi 6 octobre, Journée Nationale des aidants, de 14h00 à 15h30, au 1er étage de la Maison des Services Publics, 59 rue de Brest à Landerneau.
Le thème abordé sera le suivant : Aider ? Accompagner ? Prendre soin ?
![cafe-des-aidants_affiche-a3_ccpld](http://gp29.net/data/2016/09/Café-des-Aidants_Affiche-A3_CCPLD-353x500.jpg)
[vu sur le net] Et si on pouvait traiter le Parkinson par des diurétiques ?
Publié le 15 septembre 2016 à 13:01article trouvé sur le site retraiteplus.fr
C’est là la théorie du Professeur Yehezkel Ben Ari directeur d’une unité Inserm à Paris et fondateur il y a 10 ans d’un institut de neurobiologie méditerranéen à Marseille. Créateur d’une entreprise de biotech nommée neurochlore, il est également aujourd’hui grand prix de la recherche Inserm et grand prix de l’académie européenne et américaine de l’épilepsie. Connu pour avoir fait émerger le concept de neuro archéologie, il est considéré comme un expert en ce qui concerne la maturation cérébrale.
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[vu sur le net] Accueil de jour. Ti Ma Bro recevra les personnes atteintes de Parkinson
Publié le 05 septembre 2016 à 20:07article trouvé sur le site du Télégramme
Désormais, l’accueil de jour Ti Ma Bro, à Querrien, recevra une fois par semaine les personnes atteintes de Parkinson. Hier, l’équipe participait à une journée de formation pour se préparer à recevoir ce nouveau public.
Note : Ti ma bro est situé à Querrien dans le Finistère et est joignable au numéro : 02 98 71 34 85
pour lire cet article dans son intégralité, suivez ce lien…
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