Ne pas être qu'un "patient" ...

[vu sur le net] Le stationnement gratuit pour les handicapés étendu à toute la France

article trouvé sur le site de France Info

Depuis lundi, le station­ne­ment est gratuit partout pour les personnes handi­ca­pées sur les empla­ce­ments réser­vés, mais aussi sur toutes les autres places dans toute la France. Pour les asso­cia­tions, il s’agit d’une avan­cée pratique mais elle demande des mesures pour contrô­ler l’usage des cartes de stationnement.

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le Parkinson’s Well-​Being Map

Le Parkinson’s Well-​Being MapTM a été conçu avec des méde­cins et des patients pour faci­li­ter la descrip­tion de vos diffi­cul­tés et faire ressor­tir ce qui vous gêne le plus afin d’orienter votre prise en charge.

Well-​Being-​Map_​FR

Pour avoir les instruc­tions qui vous permet­tront de prépa­rer votre rendez-​vous avec votre méde­cin, télé­char­gez ce docu­ment (au format .pdf)

[vu sur le net] Arrêter de fumer : une manifestation précoce de la maladie de Parkinson

article trouvé sur le site e‑santé.fr

Partant du constat qu’il y a moins de fumeurs parmi les malades de Parkin­son, des cher­cheurs améri­cains se sont deman­dés si cela pouvait être dû au fait que ces malades seraient tout simple­ment moins atti­rés par le tabac que le reste de la popu­la­tion générale.

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[lu sur le net] Freiner les ravages de Parkinson…

Article trouvé sur le site de l’uni­ver­sité du Québec

Les labo­ra­toires des profes­seurs Maria-​Grazia Marti­noli et Marc Germain du Dépar­te­ment de biolo­gie médi­cale ont uni leurs efforts afin d’iden­ti­fier de nouvelles cibles théra­peu­tiques suscep­tibles de retar­der les dommages cellu­laires dans la mala­die de Parkinson.

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La France est leader mondial dans la recherche et la lutte contre la maladie de Parkinson (Dr Etienne Hirsch)

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°59

Mala­die de Parkin­son : des progrès prometteurs
En France, on dénombre 120 000 personnes souf­frant de la mala­die de Parkin­son et 9 000 nouveaux cas par an. La plupart des troubles sont liés à la dégé­né­res­cence de la substance noire (voir schéma). Ce qui provoque un défi­cit de 50% à 70% de dopa­mine (molé­cule essen­tielle au contrôle du mouve­ment), à l’origine du ralen­tis­se­ment des gestes, de raideurs, trem­ble­ments, perte de la dexté­rité manuelle, troubles de la marche et dépres­sion. « Il n’y pas une mais des mala­dies de Parkin­son, insiste le Dr Etienne Hirsch, cher­cheur spécia­liste en neuros­ciences. Si 10% sont d’origine géné­tique, 90% n’ont pas de cause iden­ti­fiée, même si l’on soup­çonne des facteurs envi­ron­ne­men­taux », comme les pesticides.

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Amélio­rer le diag­nos­tic précoce
Outre les signes cliniques prédic­tifs de la mala­die (asso­cia­tion de troubles du sommeil et du tran­sit intes­ti­nal avec un défi­cit de l’olfaction), l’imagerie céré­brale par DAT-​scan pour­rait aussi favo­ri­ser les diag­nos­tics précoces mais en cas de doute clinique seule­ment. Des marqueurs biolo­giques sont à l’étude pour diag­nos­ti­quer, un jour, la mala­die à partir d’une seule prise de sang, ciblant la protéine alpha­sy­nu­cléine. Dans sa forme anor­male, cette dernière se propage d’un neurone à l’autre, alté­rant lente­ment de grandes régions du système nerveux.

Expé­ri­men­ter un trai­te­ment qui réduit le fer
La présence d’une surcharge ferrique loca­li­sée dans le cerveau des patients parkin­so­niens est désor­mais connue et notam­ment démon­trée par l’équipe du Dr Hirsch. Elle exacerbe le stress oxyda­tif, en partie à l’origine de la dégé­né­res­cence des neurones. L’étude d’innovation théra­peu­tique, pilo­tée par le Dr David Devos, neuro-​pharmacologue, en parte­na­riat avec des équipes natio­nales et inter­na­tio­nales, suscite beau­coup d’intérêt. Elle fait appel au défé­ri­prone, une molé­cule chéla­trice (attra­peuse) de fer. Ce médi­ca­ment réduit ce dernier à ses fonc­tions béné­fiques – oxygé­na­tion du sang des cellules et des muscles – si l’on en dimi­nue la quan­tité. « Un premier essai clinique sur 40 malades a montré que ce trai­te­ment était capable de ralen­tir la destruc­tion des neurones et la progres­sion du handi­cap. D’autres études sont néces­saires pour démon­trer de manière défi­ni­tive l’intérêt théra­peu­tique, avec une auto­ri­sa­tion de mise sur le marché (AMM) d’ici 5 à 10 ans » projette le Dr Devos. Son équipe a répondu à un appel d’offres de la Commis­sion euro­péenne (Hori­zon 2020) en vue de finan­cer une étude euro­péenne de phase 3 (incluant 338 patients) fin 2014, desti­née à vali­der ce trai­te­ment. En atten­dant, patience, car aucun malade ne peut actuel­le­ment en disposer.

Ralen­tir la mort neuronale
Le Dr Hirsch et l’équipe théra­peu­tique expé­ri­men­tale de la mala­die de Parkin­son travaillent à faire en sorte que les lympho­cytes, protec­teur du système immu­ni­taire, n’attaquent pas les neurones surchar­gés en protéines alpha­sy­nu­cléine. « Le projet est d’identifier ces méca­nismes au niveau des vais­seaux plutôt que d’agir sur le cerveau, avec un hori­zon théra­peu­tique à dix ans. » Des trai­te­ments, voire des vaccins, visant à empê­cher l’agrégation de cette protéine sont à l’étude en Autriche.

Corri­ger les troubles de l’équilibre
Asso­ciés à des dérè­gle­ments psychiques, ils consti­tuent un risque vital pour les Parkin­so­niens. A partir d’une IRM fonc­tion­nelle, l’équipe du Dr Hirsch a réussi à loca­li­ser les régions céré­brales impli­quées dans ces troubles, grâce à l’étude de non-​malades imagi­nant qu’ils marchaient. « Nous avons ainsi visua­lisé un petit noyau du cerveau (noyau pedon­cu­lo­pon­tin) qui s’active lors de la marche imagi­naire », explique le neuro­bio­lo­giste. L’analyse de cerveaux « donnés » du vivant par des patients parkin­so­niens décé­dés a permis de prou­ver que « la mort neuro­nale dans le noyau de sujets chutant pouvait être respon­sable des troubles de l’équilibre ». Sont en cours des essais de stimu­la­tion céré­brale profonde, par intro­duc­tion d’électrodes dans le noyau pedon­cu­lo­pon­tin de patients. Pour des résul­tats prévus d’ici à trois ans.

Appor­ter la dopa­mine par des gènes-médicaments
Le Pr Stéphane Palfi, neuro­chi­rur­gien, travaille depuis 1998 sur une théra­pie génique. Le but : « Appor­ter au patient la dopa­mine qui lui manque en acti­vant les enzymes néces­saires à sa synthèse. » La théra­pie utilise un virus natu­rel « désarmé », et donc inof­fen­sif, chargé de trans­por­ter trois gènes-​médicaments qui codent les enzymes impli­qués dans la biosyn­thèse. Ce vecteur viral est injecté dans le stria­tum (voir schéma ci-​dessous), qui, à partir des infor­ma­tions senso­rielles (vue, toucher, etc.), adapte le mouve­ment au contexte. « Les neurones qui n’étaient pas compé­tents pour fabri­quer de la dopa­mine se mettent alors à en produire », constate le Pr Palfi.

Depuis 2008, un essai est mené auprès de 15 patients (12 au CHU Henri-​Mondor de Créteil, et 3 autres à l’hôpital Adden­brooke de Cambridge). « Les résul­tats publiés en janvier 2014 sont encou­ra­geants. D’une part, parce que nous avons constaté une bonne tolé­rance de ce type de vecteur (à grosse capa­cité de trans­port, 3 gènes), avec six ans de recul sur les premiers patients trai­tés. D’autre part, parce que l’essai a montré une amélio­ra­tion des symp­tômes moteurs chez tous les malades. » Avec un vecteur légè­re­ment modi­fié afin d’accroître la sécré­tion de dopa­mine, l’équipe du Pr Palfi a pour objec­tif d’augmenter les doses pour plus d’efficacité sur les symp­tômes de la mala­die et de dimi­nuer en paral­lèle la prise de dopa­mine par voie orale. Dès 2015, une dizaine de patients devraient être inclus dans les phases suivantes des études biomé­di­cales, puis une soixan­taine en France, en Europe et aux Etats-​Unis. Objec­tif : dispo­ser d’un médi­ca­ment de trans­fert de gènes à l’horizon 2020.

Pleine Vie, octobre 2014
Lu par Jean Claude Moraines

[vu sur le net] Nouvel espoir Parkinson et maladies neurodégénératives

Article trouvé sur le site de l’Insti­tut du cerveau et de la moelle épinière

Les cher­cheurs de l’équipe « Théra­peu­tiques expé­ri­men­tales de la neuro­dé­gé­né­res­cence » diri­gée par Etienne Hirsch au sein de l’ICM – Insti­tut du Cerveau et de la Moelle épinière – et leurs colla­bo­ra­teurs, viennent de publier un travail qui repré­sente un réel bon en avant dans la lutte contre les mala­dies neuro­dé­gé­né­ra­tives. Ces travaux parus dans Nature Commu­ni­ca­tions – 21 octobre 2014 – mettent en évidence un petit peptide d’origine virale qui semble proté­ger les neurones impli­qués dans la mala­die de Parkin­son contre la dégénérescence.

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[vu sur le net] Parkinson. Une cuillère anti-​tremblements pour les malades

Article trouvé sur le site de Ouest-​France

Manger une soupe peut deve­nir un véri­table calvaire pour les malades de Parkin­son. Une cuillère anti-​tremblements vient d’être mise sur le marché par Google. 

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Nicotinothérapie — les documents

Le groupe Parkin­son de l’île de France (GPIDF) publié sur son site un docu­ments (au format pdf) qui explique les tenants de la « nico­ti­no­thé­ra­pie », écrit par le docteur Gabriel Villa­fane. Il s’agit du premier docu­ment, en haut et à droite de la page.

Extrait :

En 1998, le rapport entre le syndrome parkin­so­nien (seul ou induit par des neuro­lep­tiques) et la nico­tine est évident. De là, l’idée de donner pour la première fois de la nico­tine à l’état pur aux parkin­so­niens sous forme de dispo­si­tif trans­der­mique (NEPT).

A ce moment là, on ignore que la NEPT a la propriété de se fixer sur des récep­teurs nico­ti­niques et des récep­teurs dopa­mi­ner­giques (augmen­ta­tion de la dopa­mine) entraî­nant ainsi l’amélioration des symp­tômes dans la mala­die de Parkinson.

Ensuite des travaux montrent que la NEPT agit aussi sur la capa­cité de multi­plier les récep­teurs nico­ti­niques. En consé­quence, le béné­fice est accru pour les neurones dopa­mi­ner­giques chez le patient parkin­so­nien et aussi pour les neurones de l’acétylcholine chez le patient atteint de démence type Alzheimer. 

Une plante africaine contre les maladies d’Alzheimer et de Parkinson

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°58

Le Point.fr le 10 août 2014
Par Sophie Bartczak 

Au large du Gabon, dans le golfe de Guinée, l’ar­chi­pel de Sao Tomé-​et-​Principe est un des plus petits d’Afrique ‑moins de 200 000 habitants‑, consti­tué de deux îles prin­ci­pales. Cette ancienne colo­nie portu­gaise isolée du conti­nent afri­cain abrite une biodi­ver­sité unique, au niveau tant de la faune que de la flore. Une richesse qui inté­resse de près les scien­ti­fiques et qui pour­rait s’avé­rer un formi­dable espoir pour les patients atteints de troubles neuro­dé­gé­né­ra­tifs tels que la mala­die d’Alz­hei­mer ou de Parkinson.

Depuis des siècles, les guéris­seurs locaux pres­crivent des feuilles et de l’écorce d’un arbuste local, le Voacanga afri­cana, pour dimi­nuer l’in­flam­ma­tion et soula­ger les troubles mentaux. Le pouvoir de ces plantes pour­rait bien dépas­ser les croyances locales. En effet, les scien­ti­fiques du Salk Insti­tute for Biolo­gi­cal Studies, un centre de recherche améri­cain, ont décou­vert qu’un de ses compo­sés semble proté­ger les cellules des alté­ra­tions liées à la mala­die d’Alz­hei­mer, de Parkin­son et à la dégé­né­res­cence consé­cu­tive aux AVC. Les résul­tats viennent d’être publiés cette semaine dans le Jour­nal of Ethno­phar­ma­co­logy.

Neuro­pro­tec­teur et anti-inflammatoire : 
En colla­bo­ra­tion avec les guéris­seurs tradi­tion­nels locaux, les scien­ti­fiques ont étudié trois espèces de plantes de la petite île afri­caine qui auraient, d’après les prati­ciens, des effets sur le système nerveux. L’équipe a testé chaque échan­tillon avec des cellules humaines et des cellules de souris pour évaluer leur impact sur la neuro­dé­gé­né­res­cence. Les cher­cheurs ont notam­ment testé la capa­cité des extraits végé­taux à proté­ger les cellules du stress oxyda­tif, un proces­sus en cause dans les dommages sur l’ADN et la neuro­dé­gé­né­res­cence liée à l’âge. Ils ont égale­ment évalué les proprié­tés anti-​inflammatoires des compo­sés et mesuré la capa­cité des végé­taux à bloquer l’ac­cu­mu­la­tion de peptides bêta-​amyloïdes dans les neurones, un phéno­mène lié à la mala­die d’Alzheimer.

Les cher­cheurs avouent avoir été très surpris par la puis­sance de ces premiers essais. Une plante a en parti­cu­lier attiré leur atten­tion : le Voacanga afri­cana, un arbuste local dont les premiers résul­tats se sont avérés parti­cu­liè­re­ment promet­teurs, même à de faibles doses. L’ef­fet anti-​inflammatoire et neuro­pro­tec­teur de cette plante est essen­tiel­le­ment lié à une molé­cule, la voaca­mine, un alca­loïde puis­sant. Ce composé spéci­fique laisse présa­ger un poten­tiel phar­ma­co­lo­gique pour trai­ter la mala­die d’Alz­hei­mer, de Parkin­son ou les suites d’AVC.

Eldo­rado végétal : 
Le Voacanga afri­cana est un petit arbre d’Afrique qui peut atteindre six mètres et dont les diffé­rentes parties (écorce, graines, feuilles) sont la base d’un grand nombre de remèdes tradi­tion­nels dans plusieurs pays d’Afrique. Il est notam­ment utilisé contre l’hy­per­ten­sion, les œdèmes, et appré­cié pour ses vertus calmantes, aphro­di­siaques, voire pour les expé­riences vision­naires de certains sorciers afri­cains ! Ses diffé­rents compo­sés actifs inté­ressent de près les scien­ti­fiques et ont déjà été étudiés par l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique, notam­ment pour certaines patho­lo­gies cardiaques. Est-​ce que l’ar­buste de Sao Tomé-​et-​Principe offrira plus que ses congé­nères d’autres régions ? L’étude ne le dit pas, mais les scien­ti­fiques vont pour­suivre leurs inves­ti­ga­tions et espèrent décou­vrir d’autres trésors dans cet eldo­rado végé­tal reconnu dans le monde entier pour sa pharmacopée.

Plus de 100 espèces de plantes sont en effet exclu­sives à ce pays. Alors que les savoirs des guéris­seurs tradi­tion­nels mena­çaient de s’éteindre faute de trans­mis­sion orale aux jeunes géné­ra­tions, une ethno­bo­ta­niste portu­gaise, Maria do Céu Madu­reira, a rassem­blé durant vingt ans ces connais­sances, qui ont été publiées dans un recueil rassem­blant des infor­ma­tions sur 325 plantes et plus de 1 000 recettes médi­ci­nales issues d’une quaran­taine de guéris­seurs, sages-​femmes et grands-​mères « respec­tées ». Ces connais­sances empi­riques sont véri­fiées aujourd’­hui en labo­ra­toire. Certaines plantes s’an­noncent ainsi promet­teuses contre le palu­disme ou des cham­pi­gnons comme le Candida albi­cans, ou encore contre des bacté­ries, voire des tumeurs ; d’autres semblent avoir des proprié­tés anti­his­ta­mi­niques, anti diar­rhéiques, anal­gé­siques ou séda­tives… Ce travail sert aujourd’­hui de base aux scien­ti­fiques pour déve­lop­per leurs recherches sur les médi­ca­ments de demain.

Le poten­tiel théra­peu­tique des plantes à travers le monde est tel (plusieurs centaines de milliers restent à étudier) que la meilleure approche consiste à partir des connais­sances tradi­tion­nelles, recon­naissent les cher­cheurs. Sans piller les ressources locales, ils mettent en garde certains…

Trans­mis par Jean Le Corre

Les incontinences urinaires

Article paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT n°58

Intro­duc­tion
Les troubles urinaires sont fréquents au cours de la mala­die de Parkin­son. Ces troubles peuvent appa­raitre dès le début de la mala­die et parti­ci­per au diag­nos­tic neuro­lo­gique initial, mais cela est assez rare. Par contre, ils appa­raissent souvent alors que la mala­die est déjà instal­lée, à un âge où on peut obser­ver chez le patient les diffé­rentes patho­lo­gies urolo­giques, comme l’adénome de la pros­tate chez l’homme ou une carence hormo­nale chez la femme. La possi­bi­lité de diffé­rentes patho­lo­gies pose un problème diag­nos­tic de la compé­tence de l’urologue. Les troubles urinaires au cours de la mala­die de Parkin­son sont variés. La dysurie (diffi­culté à uriner), voire la réten­tion chro­nique sont assez rares. Le plus souvent, le patient se plaint d’incontinence urinaire.

L’incontinence urinaire se défi­nit par une perte acci­den­telle ou invo­lon­taire d’urine.
Ce trouble est large­ment répandu, puisque les spécia­listes s’accordent pour esti­mer à 3 millions en France (les 3/​4 sont des femmes), le nombre de personnes sujettes à des épisodes d’incontinence urinaire, lors de la miction (miction = action d’uriner). L’incontinence urinaire est pour beau­coup de ces personnes un sujet dont on ne parle pas, ni en famille ni même au méde­cin. Et pour­tant, il existe des solu­tions pour pallier certains troubles urinaires. 

C’est pour­quoi, il a paru inté­res­sant de reprendre un article paru en septembre 2009 dans le PI n°38 sous le titre «  les impé­rio­si­tés urinaires » et de le réac­tua­li­ser. Pour écrire ce nouvel article, nous avons plei­ne­ment utilisé les infor­ma­tions four­nies dans le Site Inter­net de Sphère Santé (L’incontinence urinaire par le docteur Dahan, urologue à Paris, mis à jour par Isabelle Eustache).

Un peu de vocabulaire
Il y a plusieurs formes d’incontinence urinaire : 

  • l’incontinence urinaire d’effort est carac­té­ri­sée par une fuite invo­lon­taire d’urine par l’urètre surve­nant à l’occasion d’un effort physique, à la toux ou aux éternuements.
  • L’incontinence urinaire par urgences miction­nelles est carac­té­ri­sée par une fuite invo­lon­taire d’urine, accom­pa­gnée ou immé­dia­te­ment précé­dée d’un besoin urgent et irré­pres­sible d’uriner abou­tis­sant à une miction ne pouvant être rete­nue. Les termi­no­lo­gies d’incontinence par impé­rio­sité ou d’impériosité urinaire (IU) sont aussi utili­sées. Les spécia­listes parlent aussi de vessie hyperactive.
  • L’incontinence urinaire mixte qui combine les deux formes d’incontinence

Quelles sont les victimes ?
Bien que l’incontinence soit un sujet tabou, on sait qu’elle touche un large public de tous les âges, hommes et femmes confon­dus. En effet, contrai­re­ment aux idées reçues, l’incontinence urinaire n’est pas l’apanage des troi­sième et quatrième âges. Les études de préva­lence montrent par exemple que l’incontinence des femmes est de 12% entre 20 et 29 ans et atteint 32%, après 80 ans. 

Chez la femme, l’incontinence est le plus souvent de type urinaire d’effort et concerne 50% des patientes, plutôt chez les femmes jeunes (moins de 50 ans), on ne trouve que de 10 à 20 % d‘impériosités urinaires, plutôt chez les femmes âgées. Les femmes sont plus touchées que les hommes par les problèmes de fuites urinaires. Cela est la consé­quence des gros­sesses, des accou­che­ments et de la ménopause. 

Chez l’homme, l’incontinence par impé­rio­sité est équi­va­lente à celle de la femme, soit de 12% à 16% pour la popu­la­tion jeune et la préva­lence augmente avec l’âge. L’incontinence urinaire d’effort chez l’homme est souvent consé­cu­tive à la présence d’une patho­lo­gie de la prostate.

Descrip­tion et fonc­tion­ne­ment de l’appareil urinaire
Pour mieux comprendre comment les choses se passent, faisons un peu d’anatomie, et décri­vons tout d’abord l’appareil urinaire. En premier, on trouve les reins qui filtrent et épurent le sang et produisent l’urine. L’urine sort des reins et s’écoule en perma­nence, via les uretères, vers la vessie. La vessie est reliée à l’orifice urinaire par un tuyau, l’urètre, long chez l’homme, plus court chez la femme. La vessie comprend 2 parties : 

  • la partie supé­rieure appe­lée « dôme vési­cal » ou « dôme de la vessie » Le dôme vési­cal est très élas­tique et permet à la vessie de jouer un rôle de réser­voir d’urine entre chaque miction. Il contient un muscle puis­sant, le détru­sor qui en se contrac­tant lors de la miction évacue l’urine vers l’office urinaire.
  • la partie infé­rieure appe­lée « col vési­cal » : Le col vési­cal est le point de départ de l’urètre. Il est consti­tué par 2 muscles en forme d’anneau, les sphinc­ters urétraux, interne et externe, dont le rôle est d’empêcher l’urine de sortir de la vessie. Ces sphinc­ters interne et externe sont ouverts pendant la miction et fermés en dehors de la miction (ils fonc­tionnent comme des robinets).

Comment fonc­tionnent norma­le­ment la vessie et l’urètre ?
Le fonc­tion­ne­ment de la vessie comprend 2 phases : une phase de remplis­sage et une phase de vidange. Pendant le remplis­sage, l’urine sort en perma­nence des reins et s’écoule vers la vessie, via les uretères. Entre 2 mictions, la vessie se remplit progres­si­ve­ment d’urine. A partir d’une certaine quan­tité d’urine, appa­rait un besoin d’uriner. Plus la vessie se remplit, plus le besoin d’uriner augmente. Cette sensa­tion se ressent grâce à des capteurs placés dans la paroi de la vessie. Pendant le remplis­sage, les 2 sphinc­ters sont fermés.

La phase de vidange est déclen­chée volon­tai­re­ment par la personne qui décide d’uriner. L’ordre part du cerveau et entraîne les actions suivantes simul­ta­nées et cordonnées : 

  • les 2 sphinc­ters se relâchent et s’ouvrent comme des robi­nets pour permettre à l’urine de sortir de la vessie vers l’urètre.
  • le détru­sor se contracte vigou­reu­se­ment et chasse l’urine vers l’urètre et l’office urinaire
  • la contrac­tion du détru­sor empêche l’urine de remon­ter vers les reins

Après la miction, le détru­sor se relâche et les sphinc­ters se ferment. Quand le fonc­tion­ne­ment de l’appareil est normal, comme il vient d’être décrit, il y a de 4 à 8 mictions par jour et géné­ra­le­ment aucune, la nuit.

Impé­rio­sité urinaire
Que se passe-​t-​il en cas d’impériosité urinaire ? La personne atteinte éprouve bruta­le­ment et sans aver­tis­se­ment préa­lable le besoin impé­rieux d’uriner. Ce besoin doit être satis­fait et ne peut être différé que de quelques dizaines de secondes, quel­que­fois après avoir mouillé ses sous-​vêtements, son panta­lon ou sa jupe ! Cela oblige la victime à étudier ses dépla­ce­ments et ses sorties du domi­cile en repé­rant à l’avance les toilettes et consti­tue un handi­cap fami­lial, social et professionnel.

De plus, pour le Parkin­so­nien atteint d’akinésie, se lever la nuit en toute hâte en cas d’impériosité, accroît le risque de chutes, pouvant entraî­ner des fractures.

Quelles sont les causes de l’impériosité ?
Les causes en sont des contrac­tions anor­males du détru­sor, alors que la vessie est peu remplie. Les sphinc­ters urétraux sont fermés, mais la pres­sion dans la vessie, en raison de la contrac­tion du détru­sor, devient supé­rieure à la pres­sion des sphinc­ters. Alors les sphinc­ters s’ouvrent et l’urine sort vers l’urètre. Cette miction se fait de façon invo­lon­taire et par ailleurs peut être favo­ri­sée par des stimuli (eau qui coule, clé dans une porte). On constate une augmen­ta­tion du nombre de mictions par jour et par nuit (parfois le double). On parle parfois « d’hyperactivité vési­cale » et aussi de « vessie hyperactive ».

Comment expli­quer la contrac­tion anor­male du détrusor ?
La contrac­tion du détru­sor est sous la dépen­dance de récep­teurs (appe­lés récep­teurs musca­ri­niques) conte­nus dans la paroi de la vessie. La contrac­tion du détru­sor se produit, lorsqu’une molé­cule appe­lée acétyl­cho­line, libé­rée par des neurones et trans­mise à la vessie par le nerf para­sym­pa­thique, se fixe au niveau des récep­teurs muscariniques.

Chez une personne non incon­ti­nente, la molé­cule acétyl­cho­line est libé­rée sous commande du cerveau, lorsque l’envie d’uriner se fait ressen­tir. La contrac­tion du détru­sor est comman­dée et la miction est contrôlée. 

Chez une personne atteinte d’impériosité urinaire, la molé­cule acétyl­cho­line est libé­rée par le cerveau, sans contrôle conscient et volon­taire de la personne, d’où des mictions incon­trô­lées. L’impériosité urinaire, dans ce cas, a donc une raison neuro­lo­gique, et se retrouve par exemple chez les patients atteints de la sclé­rose en plaques ou de la mala­die de Parkinson. 

On notera toute­fois que l’impériosité urinaire peut aussi avoir d’autres causes, par exemple des causes urolo­giques, comme les irri­ta­tions de la muqueuse vési­cale, dues à des cystites.

Les trai­te­ments médicamenteux
Parmi les diffé­rents types d’incontinence, seule l’incontinence urinaire par impé­rio­sité béné­fi­cie de médi­ca­ments effi­caces pour son trai­te­ment. On a vu comment la molé­cule acétyl­cho­line est émise de façon intem­pes­tive, puis captée par les récep­teurs musca­ri­niques, provoque la contrac­tion du détru­sor. Le rôle des médi­ca­ments sera donc de bloquer les récep­teurs musca­ri­niques et ainsi de dimi­nuer la capa­cité de la vessie à se contracter. 

Les médi­ca­ments les plus utili­sés sont les anti­cho­li­ner­giques /​ anti­spas­mo­diques. Tous ces médi­ca­ments utili­sés dans le trai­te­ment de l’hyperactivité vési­cale agissent comme anta­go­nistes des récep­teurs choli­ner­giques musca­ri­niques, à l’origine des contrac­tions du détru­sor. Les médi­ca­ments les plus courants : le Tros­pium® (Trosec®), l’Oxybutynine® (Ditro­pan®), la Dari­fé­na­cine® (Enablex®), la Soli­fé­na­cine® (Vesi­care®).

Tous ces médi­ca­ments présentent des effets indé­si­rables (séche­resse buccale, maux de tête…), ainsi que des contre-​indications (risque de glau­come avec ferme­ture de l’angle). Mais ils ont fourni à certains patients atteints d’impériosités urinaires des solu­tions non inva­sives (en parti­cu­lier le Vesi­care®). Ces médi­ca­ments sont décrits dans le bulle­tin d’information du Centre Hospi­ta­lier Univer­si­taire du Québec. 

Consul­ter un urologue
Le patient parkin­so­nien au fur et mesure de l’évolution de sa mala­die consulte, après son méde­cin géné­ra­liste, tout d’abord un neuro­logue, puis assez rapi­de­ment après la confir­ma­tion des premiers troubles Parkin­so­niens et l’annonce du diag­nos­tic, un kiné­si­thé­ra­peute et un orthophoniste. 

Les troubles urinaires n’apparaissent géné­ra­le­ment pas tout de suite, et le parkin­so­nien n’éprouve donc pas la néces­sité de consul­ter un urologue. Le sujet des troubles urinaires est tabou pour beau­coup de personnes qui préfèrent ne pas en parler. Plus de la moitié des personnes atteintes garde le silence. Ce compor­te­ment est très domma­geable, car à partir d’un certain âge, le risque de surve­nue de patho­lo­gies urolo­giques, d’origine ou non Parkin­so­nienne, croit rapidement. 

Quand se mani­feste chez le Parkin­so­nien un trouble urinaire, quel qu’il soit, il faut en parler à son géné­ra­liste et au neuro­logue et consul­ter un urologue. L’urologue a la compé­tence et les moyens tech­niques pour analy­ser le problème et propo­ser des solutions. 

Par ailleurs, parler d’un trouble urinaire, par exemple de ses impé­rio­si­tés urinaires, à son entou­rage fami­lial, reste encore un sujet tabou pour beau­coup de personnes. En parler sobre­ment permet pour­tant de suppri­mer bien des incompréhensions. 

Pour conclure, il serait souhai­table, à partir d’un certain âge, par exemple 60 ans de consul­ter par préven­tion un urologue (éven­tuel­le­ment un gyné­co­logue pour les femmes).
Enfin, la consul­ta­tion d’un urologue est indis­pen­sable en cas de surve­nue de troubles urinaires, comme les impé­rio­si­tés urinaires. 

Biblio­gra­phie : Site Inter­net de Sphère Santé (L’incontinence urinaire par le docteur Dahan, urologue à Paris).
Rédigé par Jean Pierre Laga­dec

[vu sur le net] Maladie de Parkinson : des promesses de progrès

article trouvé sur le site du Figaro

Deuxième mala­die neuro­dé­gé­né­ra­tive par la fréquence, la mala­die de Parkin­son frappe près de 150.000 personnes en France, avec 9000 nouveaux cas par an. Elle se révèle souvent vers 60 ans, parfois bien plus tôt. Si les tout premiers signes de la mala­die peuvent être discrets 

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L’Éveil : un film à (re-)voir.

A l’ occa­sion de la dispa­ri­tion de Robin Williams, Henri DAVID (32 ans de Parkin­son), nous a recom­mandé de voir ou de revoir le film « L’ éveil », film de Penny Marshall, avec un scéna­rio de Steven Zaillian, d’ après le livre éponyme d’ Oliver Sacks.

Acteurs prin­ci­paux : Robert De Niro & Robin Williams. (Sortie en 1990 aux états-​Unis), en France le 20 février 1991.

Ce film parle de l’ avène­ment de la dopa­thé­ra­pie, de ses bien­faits et de ses effets psychiques secondaires. 

Ce film a été tiré du livre « Awake­nings » d’ Oliver Sacks, première édition 1973 par Gerald Duck­worth & Co, édition revue en 1976 et 1982 par Pan Books 

Traduit en fran­çais aux éditions du Seuil, avril 1987, avec comme titre : « L’ éveil » d’ Oliver Sacks, Pierre POLLAK en prend réfé­rence dans son livre « La mala­die de parkin­son au quoti­dien », page 104/​105 aux éditions Odile Jacob, août 1993. (On peut trou­ver ces deux ouvrages sur inter­net, ainsi que le DVD).

[vu sur le net] Un espoir de vaincre Parkinson grâce à l’Uni

article trouvé sur le site de l’Es­sen­tiel

Des cher­cheurs de l’Uni­ver­sité de Luxem­bourg ont implanté des cellules arti­fi­cielles dans des cerveaux de souris. Une première qui pour­rait permettre de nouvelles thérapies.

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[vu sur le net] Mini-​électrode pour diminuer les tremblements lié à la maladie de Parkinson

article trouvé sur le site arcinfo.ch

Des méde­cins de l’Hô­pi­tal de l’Ile à Berne et des ingé­nieurs de l’EPFL à Lausanne ont déve­loppé une mini-​électrode desti­née aux patients atteints de la mala­die de Parkin­son. Implan­tée dans le cerveau, elle permet de dimi­nuer les trem­ble­ments invo­lon­taires tout en évitant les effets colla­té­raux, a indi­qué jeudi l’éta­blis­se­ment bernois.

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[vu sur le net] PARKINSON : Les troubles du sommeil, indice précoce de la maladie

article trouvé sur le site Santé log

Des éveils répé­tés au cours de la nuit, à la somno­lence exces­sive diurne, les troubles du sommeil « vont souvent avec » la mala­die de Parkin­son, confirme cette étude de l’Université de Dresde. Jusqu’à 70% des patients atteints de la mala­die souffrent aussi de ces troubles qui ajoutent un impact néga­tif supplé­men­taire sur leur qualité de vie. Ces travaux présen­tés dans le Jour­nal of Parkin­son’s Disease iden­ti­fient les causes sous-​jacentes de ces troubles, décrivent les comor­bi­di­tés, et suggèrent des options de traitement. 

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[Vu sur le net] MALADIE de PARKINSON : L’efficacité à large spectre d’une activité physique adaptée

Article trouvé sur le site santelog.com

La pratique quoti­dienne d’une acti­vité physique régu­lière est recom­man­dée pour limi­ter les réper­cus­sions biopsy­cho­so­ciales liées à la mala­die de Parkinson.

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[vu sur le net] Des chercheurs lillois mettent au point un traitement prometteur contre la maladie de Parkinson

Article trou­vé­sur le site de la Voix du Nord

Une équipe de cher­cheurs lillois a annoncé lundi qu’un trai­te­ment encore expé­ri­men­tal, rédui­sant la quan­tité de fer chez des patients atteints de la mala­die de Parkin­son, avait donné des résul­tats très prometteurs.

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[vu sur le net…] Du nouveau du côté de la maladie de Parkinson ?

Article trouvé sur le site de Sciences et Avenir

Elle concerne 1% des personnes ayant plus de 65 ans. Et comme notre popu­la­tion vieillit, le pic épidé­mio­lo­gique de la mala­die est sans doute pour demain. Comment progressent les recherches à ce sujet ?

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[vu sur le net] Un obstacle de moins vers un traitement de la maladie de Parkinson à l’aide des cellules souches

Article trouvé sur le site de bulletins-électroniques.com

L’une des carac­té­ris­tiques prin­ci­pales de la mala­die est le dérè­gle­ment du système dopa­mi­ner­gique. La dopa­mine est un neuro­trans­met­teur essen­tiel pour les fonc­tions motrices et psychiques. Il existe plusieurs trai­te­ments contre la mala­die de Parkin­son qui s’at­taquent au dérè­gle­ment du système dopa­mi­ner­gique. C’est un trai­te­ment de ce type que l’équipe du Dr Taka­ha­shi déve­loppe, il s’agit d’un moyen de rempla­cer les cellules dopa­mi­ner­giques détruites par la mala­die par de nouvelles cellules pour ainsi enrayer ou juste ralen­tir la progres­sion des symp­tômes de la maladie.

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Pétition nationale pour une reconnaissance officielle des recherches sur la nicotinothérapie

Le Collec­tif Natio­nal des Patients en Nico­ti­no­thé­ra­pie et l’Association Franco-​Internationale pour la Recherche Neuro­lo­gique ont lancé une péti­tion nationale

Les patients viennent de plus en plus nombreux à la consul­ta­tion d’Henri Mondor, non seule­ment de l’hexagone mais du monde entier, simple­ment infor­més par le bouche à oreille ; mais nous qui sommes fran­çais, atten­dons depuis des années l’homologation de ce proto­cole et la déli­vrance d’une AMM spéci­fique aux patchs utili­sés par les parkin­so­niens qui en auto­ri­se­rait le rembour­se­ment dans le cadre de l’ALD.

Pour lire et signer cette péti­tion : suivez ce lien

Pour plus d’in­for­ma­tions, vous pouvez contac­ter le collec­tif natio­nal des patients en nico­ti­no­thé­ra­pie en lui envoyant un cour­riel à l’adresse pknico@yahoo.fr

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