Ne pas être qu'un "patient" ...

Le parcours résumé de notre nouveau Ministre de tutelle

Au cours de ses années d’in­ter­nat en méde­cine, Agnès Buzyn s’est spécia­li­sée dans l’hé­ma­to­lo­gie. C’est dans ce domaine qu’elle a construit sa carrière. « J’ai fait ce choix car c’est une spécia­lité très tech­nique mais aussi très humaine », explique-​t-​elle à La Croix. « En chirur­gie, on opère puis on ne voit plus le patient. Moi, j’avais envie de soigner les gens en les accom­pa­gnant dans la durée ». A Paris, elle est respon­sable pendant près de vingt ans de l’unité de soins inten­sifs d’hématologie et de greffe de moelle osseuse à l’hô­pi­tal Necker, qui soigne notam­ment les leucé­mies. […] Lire la suite…

Parkinson et Alzheimer : Des tiques à l’origine de milliers de mauvais diagnostics

Les Cana­diens n’ont décou­vert l’existence de cette mala­die que depuis 3 ou 5 ans, alors que les auto­ri­tés du Center for Disease Control aux États-​Unis confir­maient qu’il y avait proba­ble­ment eu des milliers d’erreurs de diag­nos­tic. […] Lire la suite…

La nicotine transdermale – les essais en cours

A notre connais­sance, il n’y a actuel­le­ment que deux essais cliniques qui évalue­raient l’effet de la nico­tine trans­der­male chez des personnes atteintes de la mala­die de Parkin­son. Suite aux résul­tats préli­mi­naires encou­ra­geants de l’étude pilote effec­tuée à l’Hôpital Mondor, une étude de phase II à plus large échelle (40 patients) a débuté en 2009 et s’est conclue en 2013 (NICOPARK2, NCT00873392). […] Lire la suite…

Essai d’un appareillage d’aide à la marche

Tout d’abord, ce fut la présen­ta­tion du maté­riel : un boitier relié à des écou­teurs que l’on pose au niveau de la tempe prés de l’oreille. Cet appa­reil trans­met des bips qui ouvrent une nouvelle voie initia­trice audio. Puis plusieurs d’entre nous ont essayé le dispo­si­tif avec plus ou moins de réus­site, mais pour quelques-​uns ce fut spec­ta­cu­laire : marche « normale », buste redressé, marche assu­rée sans cannes néces­saires sans l’appareil. Les ques­tions ont fusé. […] Lire la suite…

Un nouveau traitement pour la maladie de Parkinson : Le Mannitol qui est un simple édulcorant.

Curieuse nouvelle pour cette Jour­née mondiale de la mala­die de Parkin­son : le manni­tol, entrant dans la compo­si­tion de chewing-​gums sans sucre ou de certaines confi­se­ries, pour­rait deve­nir un trai­te­ment. […] Lire la suite…

Situation des patients parkinsoniens sous traitement par nicotinothérapie

A la demande de l’as­so­cia­tion A2N repré­sen­tée par le Dr Davin, une réunion a été orga­ni­sée le 30 juin dernier avec le Pr Benoït VALLET, Direc­teur Géné­ral de la Santé, afin de clari­fier la situa­tion des patients parkin­so­niens sous trai­te­ment par nico­ti­no­thé­ra­pie et leur prise en charge. […] Lire la suite…

Opicapone : Traitement d’appoint dans la maladie de Parkinson

L’opicapone est un nouveau médi­ca­ment anti­par­kin­so­nien, inhi­bi­teur de la COMT, auto­risé par l’agence euro­péenne du médi­ca­ment EMA et commer­cia­lisé en Alle­magne (Ongen­tys® Kapseln 50 mg). Il est indi­qué en asso­cia­tion aux prépa­ra­tions à base de Lévodopa/d’inhibiteurs de la DOPA décar­boxy­lase (IDDC) comme trai­te­ment chez les patients adultes souf­frant de la mala­die de Parkin­son et présen­tant des fluc­tua­tions motrices de fin de dose, stabi­li­sées sous ces asso­cia­tions. Aucune infor­ma­tion n’est encore dispo­nible concer­nant la commer­cia­li­sa­tion en Suisse. […] Lire la suite…

La quercétine atténue la toxicité neurologique de l’aluminium.

La quer­cé­tine atté­nue la mort neuro­nale dans la neuro­dé­gé­né­res­cence induite par l’alu­mi­nium dans l’hip­po­campe de rat. (Sharma DR, et al. Neuros­cience. 2016). L’alu­mi­nium est un métal léger et toxique présent partout sur la terre, qui a reçu une atten­tion consi­dé­rable en raison de ses effets neuro­toxiques. […] Lire la suite…

Pesticides : Alerte sur le cerveau de nos enfants

On les appelle pyré­thri­noïdes. Ils forment la deuxième géné­ra­tion des pesti­cides, suppo­sés moins dange­reux que leurs prédé­ces­seurs, les orga­no­phos­pho­rés. Problème : ce sont des neuro­toxiques qui modi­fient l’ac­ti­vité des neurones en les dépo­la­ri­sant, c’est-​à-​dire en provo­quant des afflux massifs d’ions –notam­ment de sodium– à travers leur membrane. Un mode d’ac­tion qui les rend très effi­caces contre les insectes et para­sites. Mais là où le bât blesse, c’est que ces compo­sés perturbent aussi, même à doses infi­ni­té­si­males, les neurones des enfants. […] Lire la suite…

Pourquoi ce gain de poids après une stimulation cérébrale profonde ?

La stimu­la­tion céré­brale profonde est une alter­na­tive – lorsque les médi­ca­ments ne parviennent plus à corri­ger les trem­ble­ments – qui a fait ses preuves sur les perfor­mances motrices et la qualité de vie des patients. Cette étude de l’Insti­tut SISSA (Trieste) dévoile les causes du gain de poids chez les patients atteints de Parkin­son trai­tés par stimu­la­tion céré­brale profonde. Ces données, présen­tées dans l’ex­cel­lente revue Cortex et qui révèlent entre autres conclu­sions, un niveau d’im­pul­si­vité élevé et un désir accru de nour­ri­ture, apportent des bases d’in­ter­ven­tions de préven­tion pour limi­ter le sur poids chez les patients Parkin­so­niens. […] Lire la suite…

La piste du venin d’abeille

La nature a de formi­dables ressources. Le venin des abeilles a montré son effi­ca­cité contre les symp­tômes de la Mala­die de Parkin­son. Le programme fran­çais de recherche DHUNE (Région PACA — Aix-​Marseille) s’est inté­ressé au venin d’abeille. Il contient de l’Apamine, une neuro­toxine qui joue sur les neurones à dopa­mine. Au début de la mala­die ils sont encore présents, et son rôle est alors de les exci­ter plus inten­sé­ment pour qu’ils produisent davan­tage de dopa­mine. Avec l’avan­cée de la mala­die, le patient perd ces neurones indis­pen­sables, mais le venin va ralen­tir cette chute.
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Un antibiotique contre Parkinson ?

Dans la Mala­die de Parkin­son, les agré­gats provoquent la mort de certains neurones, ce qui explique les symp­tômes moteurs : trem­ble­ments, rigi­dité des muscles, lenteur des mouve­ments. Aucun trai­te­ment, qui empê­che­rait la mort neuro­nale ou l’agré­ga­tion de la protéine patho­lo­gique, n’existe à ce jour, même si plusieurs pistes sont envi­sa­gées. Rita Raisman-​Vozari, Julia Sepulveda-​Diaz et leurs collègues, de l’Ins­ti­tut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM) à Paris, viennent de montrer qu’un anti­bio­tique clas­sique utilisé depuis plus d’un demi-​siècle pour­rait éviter la mort des neurones, en modi­fiant l’agré­ga­tion de l’alpha-​synucléine. […] Lire la suite…

Une pouponnière à neurones découverte dans les méninges.

Des cher­cheurs belges ont décelé une nouvelle poupon­nière de neurones dans les enve­loppes du cerveau. Un espoir pour la méde­cine régénérative.

Les méninges, couches de tissu protec­trices qui enve­loppent le cerveau, hébergent un trésor : une poupon­nière de neurones ! Telle est la surpre­nante décou­verte qu’a faite un groupe de cher­cheurs de l’Uni­ver­sité de Louvain (Belgique) mené par Peter Carmé­liet, publiée dans Cell Stem Cell. Contrai­re­ment à ce que l’on croit encore trop souvent, les neurones ne sont pas figés. Ils se régé­nèrent tout au long de la vie, et ce, grâce à des cellules spéci­fiques, dites « progé­ni­teurs neuro­naux », capable de se multi­plier à loisir et de se diffé­ren­cier en neurones. […] Lire la suite…

La recherche promet de nouveaux traitements

Les trai­te­ments médi­ca­men­teux s’amé­liorent, mais les méde­cins tentent de trou­ver le moyen de prédire quel malade va déve­lop­per un effet secon­daire. « C’est l’un des objec­tifs de la base de patients du réseau NS — Park des 24 centres experts de la mala­die, qui compte déjà 18000 patients : en combi­nant les infor­ma­tions sur les profils médi­caux, les données géné­tiques, les facteurs de risque, nous espé­rons pouvoir d’ici à dix ans dire quels patients sont plus à risque de déve­lop­per tel effet secon­daire », explique le Pr Olivier Rascol, neuro­phar­ma­co­logue (CHU Toulouse). Et, au-​delà, iden­ti­fier des sous-​groupes de malades homo­gènes faci­li­tant les recherches sur la mala­die de Parkin­son. […] Lire la suite…

Conférence du Professeur P. Derkinderen, Nantes le 22 avril 2017

Après une présen­ta­tion géné­rale, la Prési­dente de l’ADPLA, Annick Le Brun, demande au profes­seur Pascal Derkin­de­ren son ressenti au niveau du CHU du nouveau Plan des Mala­dies Neuro­dé­gé­né­ra­tives (PMND) qui a été remis à jour le 12 mai 2016.

Le Profes­seur précise qu’il s’agit avant tout d’une déci­sion poli­tique qui regroupe sous le même terme les anciens plans Alzhei­mer, Parkin­son … L’intérêt prin­ci­pal est de créer une nouvelle dyna­mique. En atten­dant, le budget du plan Parkin­son n’est pas épuisé. L’ARS verse 100 000 euros par an au CHU, plus les frais de gestion. Ceci a permis l’embauche d’une infir­mière (spécia­le­ment affec­tée à la neuro­sti­mu­la­tion) et égale­ment de mieux enca­drer l’éducation théra­peu­tique. Tout l’argent n’est pas utilisé et il y aurait possi­bi­lité de faire plus, jusqu’à envi­sa­ger un méde­cin supplé­men­taire mais les sommes versées ne servent pas seule­ment pour le Parkin­son, elles sont inté­grées dans la gestion globale de l’hôpital. […] Lire la suite…

Editorial

« Encore un jour­nal archi bourré d’ar­ticles utiles à tous », me souligne une de mes correc­trices… En effet, l’impression qui ressort de ce numéro – comme dans le précé­dent d’ailleurs – c’est un foison­ne­ment d’informations diverses et variées qui ont toutes le même objec­tif  pallier les diffi­cul­tés provo­quées par la mala­die, cher­cher à la contrô­ler et décou­vrir le saint Graal  la maîtri­ser et donc guérir de cette horreur. […] Lire la suite…

Création (par l’association A2N) d’un groupe Facebook fermé qui s appelle : Parkinson nicotine

à la demande de l’as­so­cia­tion A2N, nous vous annon­çons la créa­tion (par l’as­so­cia­tion A2N) d’un groupe Face­book fermé qui s’ap­pelle : Parkin­son nicotine

Il s’adresse aux patients sous nico­tine ou leurs aidants ou un membre de leur famille qui a accès à Face­book (enfants, par exemple) le but est de fédé­rer les patients . Ils ne s’agit pas de donner des infor­ma­tions médi­cales mais pouvoir donner aux personnes sous nico­tine et ceux ayant déjà rencon­tré le Dr Villa­fane de faire le bilan et de donner des infor­ma­tions sur l évolu­tion des soins qui les concernent et sur la situa­tion au CHU Henri-​Mondor à Créteil. […] Lire la suite…

[gp29 lettre infos]Journée mondiale pour Parkinson à Concarneau 1er avril 2017

Après la présen­ta­tion de l’As­so­cia­tion de Parkin­so­niens du Finis­tère c’est Auré­lie COJEAN du CLIC qui nous a présenté son action sur le pays de Concar­neau. Les diffé­rentes aides à domi­cile, inter­lo­cu­teur de la maison du Handi­cap à Quim­per. Pour toute ques­tion pratique sur le sujet, merci de la contac­ter au 02.98.97.52.99, par voie postale au Clic de Concar­neau – Hôtel d’Agglomération ‑1, Rue Victor Schœl­cher 29900 CONCARNEAU ou par mail à l’adresse suivante : clic@cca.bzh […] Lire la suite…

[gp29 lettre infos] le XADAGO

Dans son numéro 61 notre jour­nal Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant nous parlait d’un médi­ca­ment LE XADAGO –

Il nous disait les démarches faites auprès de la ministre de la santé pour faire accé­lé­rer les proces­sus de déci­sions d’AMM (Auto­ri­sa­tion de Mise sur le Marché)

Il faut savoir que ce médi­ca­ment a obtenu l’accord de la Commis­sion Euro­péenne, qu’il est distri­bué dans tous les pays qui nous entourent.
En France il est toujours bloqué par un désac­cord sur le prix de vente et donc de la prise en charge par l’Assurance Mala­die. […] Lire la suite…

[vu sur le net] Parkinson : vers un test précoce par dépistage sanguin en Israël

Le labo­ra­toire israé­lien BioShai prévoit de cham­bou­ler l’horizon médi­cal par son test sanguin PDx commer­cia­lisé dès 2017. Il s’agit d’une prise de sang pour détec­ter et trai­ter la mala­die de Parkin­son à son stade le plus précoce.

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de diag­nos­ti­quer la mala­die avant l’apparition de ses premiers symp­tômes. Son dépis­tage, possible entre 5 et 10 ans après l’apparition des dommages, rend la mala­die diffi­cile à trai­ter voire irré­ver­sible. […] Lire la suite…

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