Ne pas être qu'un "patient" ...

Information de l’INSERM

Un docu­ment inté­res­sant que nous avons trouvé sur le net. 

Deuxième cause de handi­cap d’ori­gine neuro­lo­gique chez les personnes âgées, la
mala­die de Parkin­son touche près de 150 000 personnes en France. S’il existe des
médi­ca­ments qui atté­nuent les symp­tômes de celle-​ci, aucun n’a encore prouvé sa
capa­cité à ralen­tir l’aggravation progres­sive et inexo­rable de la mala­die. L’équipe de
Olivier Rascol (CIC 9302 Inserm/​CHU Toulouse), en colla­bo­ra­tion avec celle de Warren
Olanow (USA) et du labo­ra­toire TEVA (Israël) vient de montrer dans l’essai ADAGIO
qu’un médi­ca­ment anti­par­kin­so­nien, la rasa­gi­line, ne se contente pas seule­ment de
lutter contre les symp­tômes mais freine aussi leur progression.

Pour lire le docu­ment, suivez le lien suivant : INSERM-​Info

Vu sur le net : Avancée dans le domaine des cellules nerveuses artificielles

Suède — Les équipes des dépar­te­ments de physio­lo­gie des univer­si­tés de Stock­holm et de Linkö­ping ont réussi à créer la première cellule nerveuse arti­fi­cielle capable de commu­ni­quer avec les cellules nerveuses d’un homme.

Vous pouvez lire l’in­té­gra­lité de l’ar­ticle sur le site de Maxi Sciences.

Troubles du comportement observés avec des médicaments dopaminergiques…

Article inté­res­sant qui nous a été signalé sur le site de l’af­ssaps (Agence fran­çaise de sécu­rité sani­taire des produits de santé)

Troubles du compor­te­ment obser­vés avec des médi­ca­ments dopa­mi­ner­giques indi­qués essen­tiel­le­ment dans la mala­die de Parkin­son ou le syndrome des jambes sans repos.

Vu sur le net : A Zurich, on opère le cerveau sans ouvrir le crâne

Inté­res­sant article sur le site « swissinfo.ch » où on nous explique une nouvelle tech­nique opératoire.

Première mondiale à l’Hô­pi­tal univer­si­taire de Zurich : des chirur­giens ont opéré dix patients avec des ultra­sons – sans ouvrir la boîte crânienne.

Quel patient peut s’ima­gi­ner sabler le cham­pagne avec les chirur­giens juste après une opéra­tion au cerveau ? C’est pour­tant ce qui est arrivé au Centre de réso­nance magné­tique de l’Hô­pi­tal univer­si­taire pour enfants de Zurich.

Vous pouvez lire le reste de l’ar­ticle en cliquant ici.

Vu sur le net — Exposition aux pesticides et maladie de Parkinson : le lien confirmé chez les agriculteurs français

Une équipe de cher­cheurs de l’unité Inserm « Neuroé­pi­dé­mio­lo­gie » et de l’UPMC montre que l’exposition aux pesti­cides double quasi­ment le risque de surve­nue de la mala­die de Parkin­son parmi les agri­cul­teurs. Ce risque augmente avec le nombre d’années d’exposition et, chez les hommes, est prin­ci­pa­le­ment lié à l’usage d’insecticides, notam­ment de type orga­no­chloré. Ces résul­tats, qui posent égale­ment la ques­tion du rôle d’une conta­mi­na­tion rési­duelle de la popu­la­tion géné­rale par ces pesti­cides, sont publiés en ligne dans Annals of Neuro­logy.

Vous pouvez lire l’ar­ticle dans son inté­gra­lité en cliquant sur ce lien

Trouvé sur le net : les malades atteints de Parkinson sont incapable de mentir

La sincé­rité des patients atteints de Parkin­son était déjà connue des méde­cins. Une étude montre aujourd’­hui que cette qualité peut être vue comme une consé­quence d’une inca­pa­cité à mentir.

Nous savions déjà que les personnes souf­frant de la mala­die de Parkin­son font preuve d’un type compor­te­men­tal spéci­fique et qu’elles se distinguent par leur sincé­rité. Une étude, publiée par le maga­zine Brain, s’est deman­dée si cette sincé­rité est un simple trait de carac­tère ou s’il y a vrai­ment un rapport avec le cerveau.

Quand on débite un mensonge, une certaine partie du cerveau, le cortex préfron­tal, se met en marche. Mais ce n’est pas le cas des personnes atteintes de la mala­die. C’est la raison pour laquelle ces personnes ont tant de diffi­cul­tés à mentir. La sincé­rité typique des patients atteints de Parkin­son n’est qu’une inca­pa­cité à mentir.

Pendant les examens, les patients étaient obli­gés de racon­ter un mensonge sous le scan­ner. Les images du cerveau ont démon­tré la corré­la­tion entre l’in­ca­pa­cité à mentir et le fonc­tion­ne­ment du cortex préfrontal.

L’étude ne nous donne pas seule­ment plus d’in­for­ma­tions sur les dysfonc­tion­ne­ments liés à la mala­die de Parkin­son mais elle éclaire égale­ment les fonc­tions du cerveau impli­quées dans les mensonges.

Après la mala­die d’Alz­hei­mer, celle de Parkin­son est la mala­die de vieillesse la plus fréquente en Belgique. Le vieillis­se­ment crois­sant de la popu­la­tion ne fera qu’aug­men­ter le nombre de malades.

Knack.be, traduc­tion Céline Bouckaert
Source : Le Vif /​ L’ex­press, Belgique, article du 17 avril 2009

Trouvé sur le net : Parkinson Hérault est de tous les combats

L’as­so­cia­tion Parkin­son Hérault, pour la jour­née mondiale consa­crée à la mala­die, s’est instal­lée récem­ment dans le hall du centre hospi­ta­lier de Béziers où un sympa­thique accueil lui a été réservé. Les béné­voles ont reçu des person­nels du service neuro­lo­gie auxquels a été remise de la docu­men­ta­tion, mais aussi des anonymes inté­res­sés parce que l’un de leur proche ou eux-​mêmes souffrent de ce mal. A ce propos, l’un des respon­sables confie : « Souvent, peu osent l’avouer. C’est, au début, le pas le plus diffi­cile à fran­chir. » En outre, l’as­so­cia­tion a élu un nouveau bureau composé de Henri Aguera, président ; Jean­not Dagany, vice-​président ; Lyria Argento-​Tolo, secré­taire ; Danièle Galan, adjointe ; Claude Vianes, tréso­rière ; Chan­tal Rocche­sani, délé­guée commu­ni­ca­tion ; Geor­gette Segura-​Font, délé­guée docu­men­ta­tion ; Jean-​Pierre Rocche­sani, délé­gué poly­va­lent (commu­ni­ca­tion et docu­men­ta­tion). Les perma­nences se déroulent à la maison de la vie asso­cia­tive le troi­sième lundi de chaque mois, de 15 h 30 à 17 h. Tél 04 67 98 36 75.

source : A HREF0« http://www.midilibre.com/articles/2009/04/13/20090413-BEZIERS-Parkinson-Herault-est-de-tous-les-combats.php5 »>http://www.midilibre.com/articles/2009/04/13/20090413-BEZIERS-Parkinson-Herault-est-de-tous-les-combats.php5

Des cellules immunitaires deviennent des tueuses de neurones

Paru dans LE PARKINSONIEN INDÉPENDANT N°36 – mars 2009 

Une décou­verte de deux cher­cheurs fran­çais, Etienne Hirsch et Stéphane Hunot, ouvre de nouvelles pistes pour lutter contre la mala­die de Parkin­son. Des cellules du système immu­ni­taire sont impli­quées dans le déve­lop­pe­ment de la mala­die, car en s’infiltrant dans le cerveau, elles se trans­forment en « tueuses de neurones ». Leurs travaux devraient permettre d’affiner le déve­lop­pe­ment de médi­ca­ments plus ciblés.

Stéphane Hunot explique l’intérêt théra­peu­tique de ses recherches.

Les deux cher­cheurs de l’université Pierre & Marie Curie (Paris VI) ont décou­vert ce méca­nisme au cours d’autopsie : « Nous avons observé qu’une popu­la­tion parti­cu­lière de globules blancs circu­lant dans le sang, LES LYMPHOCYTES T, était présente en grand nombre dans le cerveau des patients atteints de la mala­die de Parkin­son »

Ils ont ensuite établi l’action des ces cellules, norma­le­ment exclues du cerveau. Leurs travaux montrent qu’elles contri­buent à l’inflammation céré­brale, et tuent les neurones. Les globules infil­trés dans le cerveau utilisent une molé­cule, dénom­mée « FasL » pour se lier à une cellule nerveuse, et provo­quer sa mort.

Stéphane Hunot précise qu’il n’envisage pas que cette décou­verte permette de soigner défi­ni­ti­ve­ment la mala­die de Parkin­son, mais unique­ment d’en ralen­tir l’évolution : « Notre hypo­thèse la plus sérieuse est que cette infil­tra­tion de lympho­cytes T dans le cerveau soit une consé­quence des premières morts de cellules dues à la mala­die. Ce méca­nisme serait donc un facteur de déve­lop­pe­ment de la mala­die, pas la cause première ».

Article relevé dans Le Monde du 16/​02/​09.
Par Soize VIGNON soize.vignon@orange.fr

Les jeux vidéo à la rescousse …

Trouvé sur le net : http://www.lavoixdunord.fr/journal/VDN/2008/12/11/PLUS/ART1447324.phtml

Extrait :

Mme Dhédin, douze petits-​enfants et bien­tôt un dixième arrière-​petit-​enfant, s’étonne encore de manier l’appareil. « S’ils voyaient ça !  » Pour M. Poppe, atteint de la mala­die de Parkin­son, c’est une belle revanche. Lorsqu’il lance la manette vers l’avant, il ne tremble pas : « Ça stimule énor­mé­ment. Ça nous fait faire de l’exercice et, moi, du bien aux arti­cu­la­tions. Faut se battre et bouger dans la vie… Et puis on joue et on oublie ses maux. »

Vu sur le net : Une nouvelle source de neurones dans le cerveau adulte

Des cher­cheurs de l’Institut Pasteur et du CNRS viennent d’iden­ti­fier une nouvelle source de produc­tion de neurones dans le cerveau adulte. Leurs travaux, publiés dans le Jour­nal of Neuros­cience, apportent la preuve des capa­ci­tés intrin­sèques du cerveau à s’auto-réparer. Ils ouvrent ainsi des pers­pec­tives inat­ten­dues pour le déve­lop­pe­ment de théra­pies, notam­ment pour le trai­te­ment des patho­lo­gies neuro­dé­gé­né­ra­tives, comme la mala­die de Parkin­son ou la Chorée de Huntington.

La suite de l’ar­ticle : http://www.gazettelabo.fr/2002breves/1008/cerveau.htm

Trouvé sur le net : Régime méditerranéen : un gage contre toute une série de maladies chroniques

Suivre stric­te­ment un régime alimen­taire dit médi­ter­ra­néen peut réduire la morta­lité géné­rale et celle provo­quée par les mala­dies cardio-​vasculaires ainsi que l’in­ci­dence de mala­dies chro­niques telles que cancer et mala­dies de Parkin­son et d’Alz­hei­mer, selon une étude.

Un article trouvé sur le site de Roman­die

Vu sur le net : une approche intéressante de la maladie

Nous avons en son temps fait part de notre lecture de l’ou­vrage de Thierry Jans­sen inti­tulé :« La solu­tion inté­rieure » paru chez Fayard (Le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n°30 de septembre 2007)
Son approche de la mala­die est suffi­sam­ment origi­nale pour nous donner quelques clés et nous aider à trou­ver nos propres solu­tions à toutes formes de maladie.

Dans l’in­ter­view suivant, il exprime clai­re­ment son point de vue qui peut nous donner espoir dans une réduc­tion de nos diffi­cul­tés si nous essayons de suivre ses conseils : Thierry Jans­sen : « La force des émotions »

Vu sur le net : Dix maladies graves reproduites in vitro pour faciliter la recherche médicale

Article trouvé dans Le Monde : http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/08/09/dix-maladies-graves-reproduites-in-vitro-pour-faciliter-la-recherche-medicale_1081935_3244.html

Génétique : ralentir le vieillissement du foie

Trouvé sur le net :

La cher­cheuse va à présent tester ce procédé sur des animaux atteints de l’équi­valent des mala­dies d’Alz­hei­mer et de Parkin­son et autres mala­dies neuro-​dégénératives pour voir si le main­tien d’une bonne élimi­na­tion des protéines anor­males dans le cerveau est suscep­tible d’ai­der au trai­te­ment et à repous­ser l’ap­pa­ri­tion des symptômes.

Le reste de l’ar­ticle est ici : http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200001&sid=9471098

La célérité à l’origine du ralentissement

Trouvé sur le net : article paru dans le Nouvel Obser­va­teur. La célé­rité à l’ori­gine du ralentissement

À lire !

Le GP29 dans le journal …!

Ouest-​France a publié avant-​hier un article consa­cré à la mala­die de Parkin­son et aux acti­vi­tés du GP29.

Cliquer pour décou­vrir l’article

Et comme le dit l’auteur :

À suivre samedi 14 juin à 14 h à Quim­perlé (salle du Coat-​Kaër), une confé­rence sur les troubles de l’hu­meur et mala­die de Parkin­son animée par les Dr Placines et Bonvalot.
Parkin­so­niens du Finis­tère : 02 98 20 61 85 et 02 98 71 36 71.

Trouvé sur le net : parkinson —  une pompe alternative à la chirurgie

Article trouvé sur le Télé­gramme

Trouvé sur le net : Un nouveau mécanisme permettant une transmission fidèle de l’information neuronale

Un inté­res­sant commu­ni­qué du CNRS.

Trouvé sur le net : On peut être parkinsonien et rester actif

Inté­res­sant article trouvé dans Ouest-France

On peut être parkin­so­nien et rester actif, entre­tien avec le neuro­logue Marc Vérin qui dirige l’unité de recherche « compor­te­ment et noyaux gris centraux » du Pôle des neuros­ciences cliniques de Rennes.

Des souris atteintes de Parkinson traitées par des cellules souches issues de leurs clones

Inté­res­sant article trouvé sur le site du jour­nal Le Monde

Extrait :

Une équipe américano-​japonaise a démon­tré qu’il était possible de trai­ter effi­ca­ce­ment des souris atteintes de la mala­die de Parkin­son au moyen de cellules souches embryon­naires obte­nues par clonage thérapeutique.

Pour lire l’ar­ticle entier, cliquez ici.

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