Ne pas être qu'un "patient" ...

UNE EMISSION DE TELEVISION A NE PAS MANQUER

Un médi­ca­ment peut-​il chan­ger le compor­te­ment d’un homme ? Un médi­ca­ment peut-​il rendre accro au jeu et au sexe et l’en­traî­ner au bord de l’abîme ? […] Lire la suite…

[vu sur le net] PARKINSON : Vers un test de diagnostic sur la glande salivaire

Un test de la glande sali­vaire pour diag­nos­ti­quer la mala­die de Parkin­son, c’est la promesse de cette étude de la Mayo Clinic qui doit être présen­tée en mars à la Réunion annuelle de l’American Academy of Neuro­logy de San Diego. Alors que 30% des diag­nos­tics sont posés à tort, cette nouvelle procé­dure apporte une préci­sion précieuse en amont du trai­te­ment ou pour les essais cliniques portant sur de nouveaux trai­te­ments. […] Lire la suite…

Le concept physiothérapeutique « LSVT-Big »

Dérivé du Lee Silver­man Voice Trai­ning (LSVT), un concept ortho­pho­nique parti­cu­liè­re­ment effi­cace en cas de Parkin­son (Info parue dans le Parkin­so­nien Indé­pen­dant n°35 p.12 décembre 2008), le LSVT-​Big offre à présent un pendant physio­thé­ra­peu­tique. Trois théra­peutes suisses spécia­li­sés dans le Parkin­son ont déjà reçu une forma­tion dans ce domaine. […] Lire la suite…

« Freezing » : quand le traitement par Levodopa est responsable

Chez la plupart des patients, les blocages soudains de la marche se produisent quand leur concen­tra­tion médi­ca­men­teuse est trop faible. Cepen­dant, pour d’autres, ce phéno­mène de « free­zing » est provo­qué par les médi­ca­ments eux-​mêmes ! C’est tout du moins ce que postulent des scien­ti­fiques améri­cains dans une petite étude. […] Lire la suite…

Exposition aux pesticides et maladie de Parkinson : le lien confirmé chez les agriculteurs français

Une équipe de cher­cheurs de l’unité Inserm « Neuroé­pi­dé­mio­lo­gie » et de l’UPMC montre que l’exposition aux pesti­cides double quasi­ment le risque de surve­nue de la mala­die de Parkin­son parmi les agri­cul­teurs. Ce risque augmente avec le nombre d’années d’exposition et, chez les hommes, est prin­ci­pa­le­ment lié à l’usage d’insecticides, notam­ment de type orga­no­chloré. Ces résul­tats, qui posent égale­ment la ques­tion du rôle d’une conta­mi­na­tion rési­duelle de la popu­la­tion géné­rale par ces pesti­cides, sont publiés en ligne dans Annals of Neurology.
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Ortophonie et maladie de Parkinson

La prise en charge ortho­pho­nique des patients parkin­so­niens concerne quatre domaines : les troubles de la parole (dysar­thrie), de la déglu­ti­tion (dyspha­gie), de l’écriture (micro­gra­phie) et les troubles cogni­tifs (atten­tion, fonc­tions exécu­tives : orga­ni­sa­tion, planification).
Parole, déglu­ti­tion et écri­ture ont en commun d’être des actes moteurs haute­ment auto­ma­ti­sés qui néces­sitent une orga­ni­sa­tion séquen­tielle précise et rapide du mouve­ment pour abou­tir au bon geste ; or le dysfonc­tion­ne­ment des noyaux gris centraux dans la mala­die de Parkin­son a un impact sur ces sché­mas moteurs. […] Lire la suite…

Diagnostiquer Parkinson, bientôt simple comme un coup de fil

La mala­die de Parkin­son est dégé­né­ra­tive et rava­geuse. Les trai­te­ments s’at­taquent aux symp­tômes, retardent l’échéance inéluc­table pour ses 6,3 millions de victimes dans le monde. L’aug­men­ta­tion de l’es­pé­rance de vie laisse présa­ger une flam­bée de cette patho­lo­gie. Méde­cins et labo­ra­toires tâtonnent. Les patients sombrent. Aucun trai­te­ment n’a raison du mal. Pour mieux comprendre la mala­die, il faudrait pouvoir tester les soins de façon plus rapide, et pour cela béné­fi­cier de larges échan­tillons de malades. Un rêve dans cette période de crise pour les Etats et les groupes phar­ma­ceu­tiques. […] Lire la suite…

Des cellules souches prélevées sur des patients pourraient améliorer la recherche sur les médicaments pour la maladie de Parkinson

Une étude soute­nue par NIH (Natio­nal Insti­tute of Health Insti­tut Natio­nal de la Santé améri­cain) montre que des cellules de patients diffé­rents ont une réponse unique aux médi­ca­ments. Les cher­cheurs ont fait une démarche vers une méde­cine person­na­li­sée pour la mala­die de Parkin­son en explo­rant les signes de la mala­die sur les cellules déri­vées de patients et en testant comment ces cellules répondent aux trai­te­ments médicamenteux.
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Éditorial

Tous mes vœux sincères pour cette nouvelle année qui va prochai­ne­ment débu­ter (à moins que les mystères de la Poste ne vous adressent cette revue qu’en tout début d’année !)… qu’elle vous soit la plus profi­table possible et que votre santé au moins se stabi­lise dans un statu quo équi­li­bré. […] Lire la suite…

[vu sur le net] Traitement anti-​parkinson : la condamnation du laboratoire confirmée

Il avait déve­loppé des effets secon­daires indé­si­rables impor­tants. Didier Jambart, atteint de la mala­die de Parkin­son et traité par le médi­ca­ment Requip a obtenu 197 000 euros en appel contre le labo­ra­toire GSK, dont la condam­na­tion est ainsi confir­mée. […] Lire la suite…

[vu sur le net] Deux pesticides augmentent le risque de Parkinson

Des cher­cheurs améri­cains des Insti­tuts natio­naux de la santé (NIH) viennent de publier une étude dans la revue Envi­ron­men­tal Health Pers­pec­tives montrant que les personnes expo­sées au cours de leur vie à la roté­none ou au para­quat, deux pesti­cides, ont plus de risques que les autres de déve­lop­per un jour la mala­die de Parkin­son, une affec­tion neuro­dé­gé­né­ra­tive. Or si le para­quat est un herbi­cide synthé­tique dont la dange­ro­sité, notam­ment pour l’homme, est connue depuis des lustres, la roté­none est un insec­ti­cide « natu­rel ». Extraite de diffé­rentes plantes tropi­cales, comme le roten (Para­der­ris ellip­tica), elle est utili­sée depuis des décen­nies en agri­cul­ture biolo­gique… De quoi contre­dire la distinc­tion abusive souvent entre­te­nue dans l’es­prit du public entre substances natu­relles, présen­tées comme étant forcé­ment « bonnes » ou inof­fen­sives pour la santé, et produits chimiques, mauvais par défi­ni­tion. […] Lire la suite…

Orthophonie et maladie de Parkinson

La prise en charge ortho­pho­nique des patients parkin­so­niens concerne quatre domaines : les troubles de la parole (dysar­thrie), de la déglu­ti­tion (dyspha­gie), de l’écriture (micro­gra­phie) et les troubles cogni­tifs (atten­tion, fonc­tions exécu­tives : orga­ni­sa­tion, plani­fi­ca­tion). […] Lire la suite…

Un nouveau défi contre le Parkinson

« Rele­ver le défi et reprendre le cours de la vie », ceci est le sujet prin­ci­pal du XIIe congrès natio­nal de Parkin­son Italie qui vient de se termi­ner à Verba­nia. Un moment de rencontre et d’échanges d’expériences. Les Italiens qui souffrent de Parkin­son sont plus de 200 000 (et 12 000 nouveaux malades chaque année). Dans le monde ils sont 4,1 millions, ils attein­dront 8,7 millions d’ici 2030. C’est une étude appa­rue dans Neuro­logy qui le signale. L’alerte est donnée et inquiète les experts de l’OMS.
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Constipation, symptôme récurent de la maladie de Parkinson

Peu ou pas du tout évoquée, la consti­pa­tion est un symp­tôme quasi systé­ma­tique de la mala­die de Parkin­son. Un rapide sondage auprès de chacun, nous met très rapi­de­ment en contact avec cette diffi­culté désa­gréable et gênante. […] Lire la suite…

Le punding

Parmi les TCI (troubles du contrôle des impul­sions) favo­ri­sés par les trai­te­ments dopa­mi­ner­giques, on note habi­tuel­le­ment : le jeu patho­lo­gique, les achats patho­lo­giques, l’hypersexualité, les troubles du compor­te­ment alimen­taire (bouli­mie nocturne ou grigno­tage fréquent de sucre­ries) et l’addiction à la lévo­dopa (syndrome de déré­gu­la­tion dopa­mi­ner­gique). D’autres troubles ont été décrits, tels que des « errances » parfois loin du domi­cile, sans but iden­ti­fié ou le déve­lop­pe­ment d’une klep­to­ma­nie mais aussi le punding. Voici ce qu’en dit le Dr Virgi­nie CZERNECKI. […] Lire la suite…

Exploration des liens entre maladie de Parkinson et addictions comportementales, par l’exemple de jeu pathologique

La mala­die de Parkin­son (MP), mala­die neuro­dé­gé­né­ra­tive la plus fréquente après la mala­die d’Alzheimer, entre­tient des liens étroits et complexes avec le jeu patho­lo­gique. La préva­lence du jeu patho­lo­gique chez les patients parkin­so­niens trai­tés par agonistes dopa­mi­ner­giques varie entre 2.3 et 8% bien supé­rieur à celle de la popu­la­tion géné­rale. Il est possible d’envisager plusieurs modèles expli­ca­tifs de cette sur-​représentation du jeu patho­lo­gique chez les malades de Parkin­son. […] Lire la suite…

[vu sur le net] Parkinson : 15 patients traités par thérapie génique

Quinze malades atteints d’une forme avan­cée de la mala­die de Parkin­son ont été trai­tés en France et ailleurs en Europe par une théra­pie génique, grâce aux recherches menées par l’équipe de Stéphane Palfi, profes­seur en neuro­chi­rur­gie de l’hô­pi­tal Henri-​Mondor à Créteil et cher­cheur CEA/​Inserm. […] Lire la suite…

La greffe intracérébrale : comprendre et combattre le rejet.

La mala­die de Parkin­son est une mala­die progres­sive carac­té­ri­sée par la dégé­né­res­cence bila­té­rale des neurones dopa­mi­ner­giques de la voie nigros­triée. La destruc­tion des neurones dopa­mi­ner­giques de la substance noire a pour consé­quence une dimi­nu­tion de la sécré­tion de dopa­mine au niveau du stria­tum. […] Lire la suite…

Présentation de la maladie de Parkinson (seconde partie)

Actuel­le­ment on ne guérit pas la mala­die de Parkin­son, le trai­te­ment va cher­cher à compen­ser le défi­cit en dopa­mine […] Lire la suite…

Présentation de la maladie de Parkinson (première partie)

Défi­ni­tion : la mala­die de Parkin­son est une affec­tion neuro­dé­gé­né­ra­tive qui se carac­té­rise par des troubles moteurs (trem­ble­ment, akiné­sie et hyper­to­nie) et des troubles non moteurs (troubles de l’odorat, troubles gastro-​intestinaux, dysau­to­no­mie). Les troubles moteurs sont la consé­quence d’un défi­cit de dopa­mine dans le stria­tum. Ce défi­cit en dopa­mine résulte de la dégé­né­res­cence progres­sive des neurones dopa­mi­ner­giques de la substance noire. […] Lire la suite…

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